Subnormali BF àequalis est Be applicata in curva Ae, et sic ubique, jam ½ yy sive ½ qu. BH aequatur spatio AeB ex Barovij theor.aGa naar voetnoot3).
Quaerimus hic, ex cognita quantitate spatii AeB, expressa per x, a et b, quaenam sit aequatio curvae Ae, quae nempe exprimat relationem inter x et z, hoc est inter AB, et Be.
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turas ex quibus curva paucorum terminorum; ut patet comparatione hujus exempli cum illo quod pag. sequen.Ga naar voetnoot11) ubi tamen curva eadem utrobique oritur. |
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voetnoot1)
- Cet Appendice est emprunté aux pages 18-22 du livre H des Adversaria. Nous l'avons divisé en paragraphes.
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voetnoot2)
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Méthode de Huygens pour trouver l'ordonnèe Be d'une cour be Ae, quand l'aire AeB est donnée en fonction de l'abscisse AB. Application aux exemples empruntés au livre de Hubertus Huighens.
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voetnoot5)
- Hubertus Huighens représentait donc, dans son livre, l'aire AeB par aψ.
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voetnoot6)
- Il s'agit de calculer la soustangente de la courbe AH, pour en déduire la sousnormale BF=z; mais ici, comme toujours, Huygens évite d'employer la différentiation des expressions irrationnelles. Il commence donc par réduire l'équation de la courbe à sa forme rationnelle, afin d'y appliquer ensuite, pour trouver la soustangente, sa règle mentionnée dans la pièce No. 1101.
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voetnoot7)
- Peut-être Hubertus savait-il appliquer la différentiation des irrationnelles. Dans ce cas, il pouvait partir de l'équation originale.
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voetnoot8)
- Huygens a vérifié de même le 7e et le 8e exemple de Hubertus Huighens. Ensuite, à l'occasion du 11e, il s'est aperçu qu'on peut obtenir le même résultat avec des calculs moins longs, en omettant simplement le terme constant. Il donne à ce procédé, qu'il accompagne d'une réversion du signe des autres termes, si cela est nécessaire pour faire correspondre aux valeurs positives ½yy des valeurs positives de x, le nom de ‘Curtatio’, et il l'applique aux exemples 11, 5, 13, 14, 20 et 15 de Hubertus et à un exemple composé par lui-même, sur lequel nous revenons dans le § II. Ici nous faisons suivre l'application à l'exemple 15.
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voetnoot10)
- Cette équation a étéobtenue par Huygens de deux manières différentes, c'est-à-dire: 1o. à la page 21, en partant de l'‘aequatio curtata’ (avec réversion du signe):½
, qui représente la courbe ADK pour AN=x, NQ=y, AB=a, ;2o. à la page suivante, en partant de l'‘aequatio non curtata’ , qui représente la courbe HE et sur laquelle il remarque: ‘Haec forma differt ab Huighenianis in quibus semper si x=o etiam y=o. Quod tamen non est necesse ut ex hoc exemplo liquet. Sufficit enim ut posita certa quadam longitudine ipsius x, fiat y=o ut hic’.
Nous avons cru pouvoir nous dispenser de reproduire ici les calculs longs et enchevêtrés qui remplissent les pages 21 et 22, et qui ont mené à ce résultat. Remarquons seulement que la courbe EG ne représente des deux branches que l'on obtient en résolvant l'équation du texte par rapport à z, que la seule branche , où, en effet, z s'annule pour .
Quant au terme constant de l'équation ‘non curtata’, il a été choisi de telle manière que la courbe HE, qu'elle représente, aille passer par le point E. Ce point E, où la sousnormale z s'aunule, est un point double de cette courbe et la branche HE coupe, en réalité, l'axe AB sous un angle oblique.
D'ailleurs il est clair que Huygens aurait pu s'épargner tous ces détours, ingénieux mais inutiles, s'il avait pénétré un peu plus avant dans le nouveau calcul, tel qu'il avait été exposé en 1684 par Leibniz, dans l'article cité dans la Lettre No. 2205, note 5.
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voetnoot11)
- C'est-à-dire: par la comparaison des calculs dans les deux cas mentionnés dans la note précédente.
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