| |
| |
| |
nous, les flamands de france
In het voorjaar van 1970 publiceerden de Frans-Vlamingen Jacques Fermaut en Joseph Tillie een brosjure, ‘Nous, les Flamands de France’. De tekst is bedoeld om de Frans-Vlamingen in te lichten over het Nederlands karakter van hun dialekt en de betekenis van de kultuurtaal, het Nederlands.
Omdat dit stuk tevens een pleidooi bevat voor het onderwijs van het Nederlands in Frans-Vlaanderen, heeft de redaktie gemeend er goed aan te doen de publikatie ervan aan te vragen. De auteurs hebben graag toestemming gegeven, waarvoor wij hen van harte dank zeggen.
De laatste bladzijde van de brosjure vermeldt als verantwoordelijke uitgevers Jacques Fermaut en Joseph Tillie en een redaktiekomitee van 28 Frans-Vlamingen, De brosjure werd gedrukt bij de Imprimerie Landais te Duinkerke.
Met uitzondering van het bijvoegsel over handboeken Nederlands en Nederlandse literatuur in Franse vertalingen, hebben wij de tekst integraal overgenomen.
De redaktie.
| |
1. Nous, les Flamands de France.
Nous, Flamands de France, sommes fiers d'être citoyens d'un grand pays à l'ancienne et riche tradition, un pays où l'on peut faire des centaines de kilomètres sans en atteindre les frontières. Dans le passé, nous avons contribué à défendre ces frontières aussi souvent que nos concitoyens, et nous le ferions à nouveau si celles-ci devaient à l'avenir être menacées.
Cependant, nous comprenons mieux que quiconque, en tant que frontaliers, la relativité de ces frontières d'autant plus que la coopération européenne future va tendre à les faire disparaître. De même, nous nous rendons plus souvent que les Parisiens, par exemple, au-delà de notre frontière septentrionale, et nous savons mieux qu'eux qu'habitent là des gens calmes et paisibles qui nous ressemblent. Nous ne craignons plus autant qu'eux non plus cette disparition des frontières, et, avant eux nous serons prêts à préparer nos enfants à cette nouvelle Europe de l'Ouest dans laquelle l'égoïsme national se rencontrera de moins en moins. Ils devront pouvoir évoluer dans le monde plus facilement que nous, et la connaissance de la seule langue française ne leur suffira plus. Nous ne vivons pas seulement à la frontière de deux pays, mais aussi à la frontière de deux cultures: la culture germanique et la culture romane, qui nous sont toutes deux aussi familières. Nous savons que dans notre région, la culture française a des liens avec la culture anglaise, la culture néerlandaise et même, à un degré moindre, avec la culture allemande. De par l'enseignement que nous avons suivi, la culture française nous est très familière, mais la culture germanique nous est plus naturelle, parce que nous sommes Flamands de langue et d'origine.
| |
2. Qu'est-ce que le Flamand?
Certains d'entre nous pensent que le Flamand est un vieux dialecte respectable au vocabulaire limité, et qui ne se pratique que sur un très petit territoire.
| |
| |
Ils pensent qu'on ne le parle pas en dehors de notre Westhoek et ont parfois un peu honte de l'employer.
Mais, font-ils un petit voyage au nord de notre frontière, ils s'aperçoivent alors que là aussi, ils se font comprendre, bien que parfois plus difficilement à mesure qu'ils s'en éloignent. Il y a cependant des liens entre le flamand de France et le flamand de Belgique. Souvent, hélas, ils ne parviennent pas à s'expliquer totalement ce phénomène.
Il s'agit pourtant d'un phénomène très simple. En Europe aussi, nous distinguons différentes régions linguistiques. Ce sont des régions où l'on parle des dialectes étroitement apparentés et, où dans les écoles, est enseigné le plus souvent une langue unique (la langue culturelle) étroitement liée à ces dialectes.
Ainsi, en Angleterre, par exemple, la plupart des dialectes sont des dialectes anglais. Cela ne signifie pas que quelqu'un de Londres comprenne un habitant d'Edimbourg qui parle son dialecte. Mais un linguiste peut immédiatement énumérer une quantité de particularités surprenantes, communes aux dialectes de Londres, d'Edimbourg, etc... et à l'anglais en tant que langue culturelle. Nous ne retrouvons pas ces particularités en français, en néerlandais ou en allemand.
De même que les Anglais ne parlent pas tous un dialecte anglais - il s'en trouve qui parlent le gallois - tous les Français ne parlent pas non plus un dialecte français: il en est qui parlent l'occitan, le corse, le flamand, l'allemand, le basque ou le breton. Mais ils veulent être pratiques et, comme tous leurs compatriotes, ils apprennent à l'école la langue culturelle française comme langue véhiculaire. Cela est très judicieux.
En revanche, le territoire linguistique français s'étend, par endroits, au-delà des frontières de la France: une partie de la Suisse, une partie de la Belgique et une partie du Canada appartiennent au territoire linguistique français parce que là aussi, sont parlés des dialectes français. De même que le territoire linguistique français couvre la France, déborde en Belgique, en Suisse et se retrouve jusqu'au Canada, de même le territorie linguistique néerlandais couvre les Pays-Bas, une partie de la Belgique, déborde en Allemagne et en France et se retrouve jusqu'en Afrique du Sud. De même que nous formons politiquement une unité de 50 millions de citoyens français, nous formons linguistiquement et culturellement une unité de 20 millions de néerlandophones, et nous sommes de ce fait bilingues.
Les francophones forment une minorité au Canada. Outre l'anglais, langue de la majorité, ils apprennent également, à l'école, le français, leur langue maternelle. En parlant le français, en l'aimant, un Canadien ne trahit pas sa patrie.
En Belgique, les francophones (les Wallons) forment une minorité. A l'école, ils peuvent apprendre, et le néerlandais, la langue de la majorité, et leur langue maternelle. Le Wallon qui parle français et aime cette langue ne trahit pas davantage sa patrie.
Bien que la majorité des Wallons parlent un dialecte wallon - le dialecte wallon fait partie des dialectes français - à l'école, ils n'apprennent pas à écrire ce dialecte, mais le français.
De même, les enfants flamands de Belgique n'apprennent-ils pas le flamand à l'école - le flamand fait partie des dialectes néerlandais - mais le néerlandais. Ils n'apprennent pas à écrire ‘nuce koeë es zieke’ (en flamand), mais ‘onze koe is ziek’ (en néerlandais). Le flamand n'est compris que de quelques centaines de milliers de personnes, le néerlandais est compris par 20 millions de personnes.
‘Le (flamand) n'est pas comme on se plaît parfois à dire, un patois. C'est un dialecte néerlandais fait d'éléments francs, frisons et saxons. D'autre part, purement verbal, il ne s'enrichit guère auprès des écrivains de la langue néerlandaise, celle qu'on parle à Gand, An- | |
| |
vers, Amsterdam.’ (E. Lotthé, Feux verts sur les routes de Flandre, page 108. Lille, Silic).
| |
3. Voyager en parlant le flamand.
De passage en Belgique, et ne parlant que notre seul dialecte, celui de la Flandre Occidentale, nous arriverons à nous faire comprendre non seulement dans le Westhoek, mais aussi dans toute la province de la Flandre Occidentale belge. Aux Pays-Bas, on le comprend encore facilement dans la Flandre Zélandaise occidentale, moins aisément dans le reste de la Zélande, mais avec beaucoup de difficulté hors de cette région. En Belgique également, à l'ouest de la Flandre Orientale, nos interlocuteurs comprendront assez aisément notre flamand occidental, ce qui ne sera plus le cas, à mesure que nous nous écarterons de cette région.
Ceci est typique de chaque dialecte, et c'est précisément la raison pour laquelle aucun dialecte ne peut faire l'objet d'un enseignement scolaire systématique.
Pour quelqu'un qui voyage beaucoup, le flamand a donc apparemment peu de valeur; il est mieux armé avec le néerlandais, l'anglais et l'allemand.
| |
4. A partir du flamand, on apprend l'anglais et l'allemand.
En réalité, le flamand présente une énorme importance pour celui qui veut traverser nos frontières. En effet, nous, Français, sommes prêts à reconnaître qu'apprendre à parler quelques mots d'anglais et d'allemand nous demande un effort considérable. Ces langues germaniques nous causent beaucoup de difficultés. L'anglais est pourtant une langue mondiale.
Il est cependant beaucoup plus facile d'apprendre l'anglais ou l'allemand à partir d'une autre langue germanique et plus précisément du dialecte flamand.
Voyez plutôt:
mien kienders speeln den heeln dag in huus (flamand);
mijn kinderen spelen de hele dag in huis (néerlandais);
meine Kinder spielen den ganzen Tag im Hause (allemand);
my children play the whole day at home (anglais);
mes enfants jouent à la maison pendant toute la journée (français).
Il est, dès lors, d'un grand intérêt pour le voyageur qui s'en donne la peine, d'étudier de plus près cette langue flamande, à première vue quelque peu déshéritée, mais qui n'en contient pas moins une très grande richesse: elle est la clef de l'anglais, de l'allemand et du néerlandais.
Ce serait une bêtise impardonnable que de priver nos enfants de cette richesse en ne leur parlant plus flamand! Celuici, leur ouvre, en quelque sorte, la porte du monde.
| |
5. Le bilinguisme est une grande richesse.
‘La disparition du bilinguisme ne constitue pas un progrès, bien au contraire. La perte d'une langue, pour un pays, c'est un peu la perte de son âme.’ (Déclaration de Monsieur Zelle (M.R.P.) adjoint au maire de Strasbourg, devant le Conseil du Bas-Rhin, en conclusion d'une intervention dans laquelle il se fit le promoteur de l'enseignement bilingue. Le Monde, 12 janvier 1967).
‘Sous le prétexte de faire des citoyens français, chaque jour on détruit ce qu'il y a sans doute de meilleur chez nous, nos petits paysans. On s'attache comme à plaisir à relâcher, à briser tous les liens qui attachent aujourd'hui l'enfant, et demain l'homme, à sa terre. Leur langue maternelle, ils ne la parlent plus. On leur apprend à la mépriser. Ce faisant, on ne s'aperçoit pas que ce ne
| |
| |
sont pas les mots qu'on détruit, mais des affections vivaces et des manières profondes de sentir.’ (Maurice Barrès).
‘Il est naturel que les Flamands veuillent rester Flamands et aient conscience qu'ils n'y parviendront qu'autant qu' ils continueront à s'exprimer en flamand.’ (Aurélien Sauvageout, professeur à l'école des langues Orientales, membre de la Commission du français élémentaire, dans Vie et langage, février 1966.)
‘On ne voit pas pourquoi un bilinguisme franco-néerlandais serait préjudiciable aux intérêts nationaux français. On peut même penser qu'une Flandre française, où les cultures française et néerlandaise s'épanouiraient librement, offrirait un heureux exemple à nos voisins de Belgique.’ (Paul Sérant, On veut une ‘région du Nord’, on ne veut plus de Flandre, dans Monde et Vie, janvier 1968. Ce numéro peut vous être adressé, contre 2,50 F. en timbres, sur demande à Monde et Vie, avenue d'léna, Paris 16me).
En 1851, déjà, Louis de Baecker écrivait ce qui suit: ‘par tout ce qui précède vous avez pu apprécier, Monsieur le Ministre, combien la connaissance du néerlandais est utile et d'un haut intérêt. Pourquoi la France ne relèverait-elle pas l'enseignement de cette langue dans une partie de son territoire où elle est encore pleine de vie? Elle procurerait aussi à la jeunesse studieuse de la Flandre française un moyen facile d'apprendre un peu les langues du Nord, qui sont toutes congénères et ont entre elles de nombreux traits de ressemblance.’ (De Torrewachter, 13 nov. 1930, page 3).
‘Qualifiés de dialectes allogènes, l'alsacien, le flamand et le corse, constituent des rameaux de trois langues nationales étrangères: l'allemand, le néerlandais et l'italien... Il devient précieux dans le cadre du Marché Commun de posséder (tout naturellement) ou de s'assimiler (sans grand effort) une langue comme l'allemand, le néerlandais ou l'italien.’ (Michel Legris, dans Parlers Maternels, Le Monde 17-23 sept. 1964).
Le bilinguisme est une grande richesse, non seulement pour celui qui veut savoir ce qui se passe dans le monde, mais aussi pour tout Flamand de France qui refuse de se laisser couper de son passé. Nous sommes nos propres ancêtres. Pouvons-nous nous désintéresser de nous-mêmes? Devons-nous en outre oublier combien notre passé fut riche?
R. Hennart attire également l'attention sur le fait que des centaines de milliers de Flamands de France parlent encore un dialecte néerlandais. ‘Ils peuvent ainsi participer au patrimoine spirituel des seize millions de Flamands et de Hollandais.’ (Robert Hennart, Flamands de France, page 13).
Cet héritage spirituel n'est pas mince: ‘Première, en Europe, fut la Flandre à se libérer du servage. Première, avec Liège, sa voisine, à rédiger la Charte des Libertés. Première à inventer la liberté des échanges, ouvrant à Anvers, avant toute autre ville, une bourse d'affaires (son fronton portait ces mots: Ouverte à toutes les nations). Première à fonder à Louvain, ce centre de l'humanisme érasmien, le Collège des Trois Langues, qui inspira le Collège de France et le Cardinal College d'Oxford. Quand s'allumèrent de toutes parts les bûchers de l'Inquisition, premier fut le Flamand Josse van Clichthoven, professeur à l'Université de Paris, à déclarer toute guerre injuste, même la guerre contre l'hérésie. Premiers, les Etats Généraux de Bruxelles à proclamer la liberté de conscience vingt ans avant l'Edit de Nantes.’ (Roger Bodart, membre de l'Académie de Langue et de Littérature françaises de Belgique, dans sa préface aux ‘Belles Heures de Flandre’ de Liliane Wouters, Paris 1961).
| |
6. L'importance économique du néerlandais.
Dans le tome 18 des Annales du Comité Flamand de France, C. Delesalle écrit un important article sur ‘La Flandre et les Flandres’ où il pose, notamment l'importante question suivante: la Flandre française et la Belgique occi- | |
| |
dentale ne formeront-elles pas à l'avenir une unité économique? Ne serait-il pas bon que ces deux régions coopèrent autant qu'il est possible du point de vue de l'aménagement du territoire et de la construction?
En complément à cet article, l'auteur attire l'attention sur le fait que Lille - un des centres d'expansion du développement économique futur - se trouve à 26 km. de Courtrai. Les Chambres de Commerce des deux villes entretiennent des relations amicales. Les Facultés Catholiques de Lille coopèrent avec le département universitaire de Courtrai dans un excellent climat; de même les Universités d'Etat de Lille et de Gand.
Nous sommes conscients de ce qui a été réalisé jusqu'ici, mais il est évident que tout ceci n'est encore qu'un timide début. La situation de la Flandre française, à proximité de la frontière, en fait naturellement un médiateur et un intermédiaire.
Chaque année, des milliers de Flamands belges visitent notre région. Il est normal - et nous souhaiterions pouvoir le faire davantage - que dans les cafés et magasins qu'ils fréquentent, nous leur répondions dans leur langue maternelle. Il ne s'agit peut-être pas pour nous d'un fait d'importance capitale, mais il souligne cependant le grand intérêt économique et l'impérieuse nécessité que revêt pour nous le néerlandais. Les Flamands belges (et les Néerlandais) se montrent reconnaissants de ce qu'on leur adresse la parole dans leur langue.
| |
7. Le néerlandais nous attend.
Notre dialecte flamand est pauvre en vocabulaire. S'il nous est facile de parler d'une ‘vache’ et d'une ‘brebis’, nous ne pouvons trouver aucun mot flamand pour ‘mathématiques’, ‘géographie’ ou ‘trinité’. Quelle est la raison de ce phénomène? Pourquoi le flamand est-il si pauvre en vocabulaire?
Cela provient du fait que nous, les Flamands de France, avons perdu depuis des siècles le contact avec notre langue culturelle, le néerlandais; aussi, notre dialecte a-t-il dépéri et s'est-il atrophié. Il n'est heureusement pas trop tard pour rétablir ce contact avec le néerlandais. Des dizaines de nos compatriotes nous en ont déjà donné l'exemple au cours de ces dernières années.
Nous découvrions alors, non sans surprise, que notre langue culturelle n'est pas moins riche qu'une autre, que ‘mathématiques’ se dit ‘wiskunde’, géographie ‘aardrijkskunde’, et, trinité ‘drieëenheid’. Il est certain que l'on rencontre en néerlandais des mots empruntés au français (l'anglais en a beaucoup plus), tout comme il y a des mots d'emprunt néerlandais dans la langue française: une crampe (de ‘kramp’), le colza (de ‘koolzaad’), le nord (de ‘noorden’), le sud (de ‘zuiden’), le boulevard (de ‘bolwerk’), le polder (de ‘polder’), le beaupré (de ‘boegspriet’), la digue (de ‘dijk’), etc...
Le néerlandais et le français empruntent à l'heure actuelle des centaines de mots à l'anglais. A ce sujet, le professeur Etiemble a employé le terme franglais, en manière de reproche. (D'ailleurs, il a conçu le sympathique projet de choisir comme langue internationale celle de l'un des plus petits groupes ethniques, pourvu que ce soit une langue riche. A titre d'exemple, il cita le néerlandais).
Quelques centaines de professeurs et de lecteurs enseignent depuis quelque temps le néerlandais dans toutes les parties du monde et dans tous les pays. Pour ne citer que l'Allemagne, le néerlandais s'y enseigne dans 22 universités. Toutes proportions gardées, ce nombre est hélas encore beaucoup trop restreint dans notre pays.
| |
Ont un enseignement du néerlandais les universités suivantes
1. | Université de Lille. ‘Cours de Langue, Littérature et Civilisation Néerlandaise’, 9, rue Ausguste-Angellier - 59, Lille.
Maître de Conférence associé: Prof. Dr.
|
| |
| |
| Walter Thys, Groeningenlei 155, Kontich (près d'Anvers). Tél. (03) 53.19.83. |
| |
2. | Facultés Catholiques de Lille, 60, boulevard Vauban - 59 Lille. Lecteur: Prof. Dr. M. Deswarte, route de Wormhout - 59 Steenvoorde. |
| |
3. | Université de Paris (Sorbonne), Section d'Etudes Néerlandaises, Grand Palais, Paris 8me.
Prof. P. Brachin, 81, boulevard Malesherbes, Paris 8me.
W. Merkus, lecteur à l'Université et directeur du Collège Néerlandais, Fondation Juliana, 61, boulevard Jourdan, Paris 14me. |
| |
4. | Université de Paris (Nanterre) - 92, Nanterre.
Prof. P. Brachin, 81, boulevard Malesherbes, Paris 8me.
M. Van der Stap, lecteur, 26, Chemin Rural - 78 L'Etang-la-Ville. |
| |
5. | Université de Strasbourg, Institut de Néerlandais, Faculté des Lettres, 1, rue de Rome, Strasbourg.
Dr. A.J.M. van Seggelen, professeur associé, 17, rue de l'Esplanade, Strasbourg. Tél. 34.45.09.
Mlle A. van de Ven, lectrice assist., 2, rue Berlioz, Strasbourg. |
| |
6. | Université de Besançon, Faculté des Lettres, G. van der Louw, 22, rue Gambetta, Nancy. |
| |
7. | Université de Metz, Faculté des Lettres, M. Lejosne, chargé de cours. |
| |
Il y a ensuite des cours de néerlandais dispensés en dehors des universités
1. | Enseignement Secondaire: Petit Séminaire, rue Warein, Hazebrouck, et Collège Saint-Jacques, Hazebrouck. Professeur: Maxime Deswarte. |
| |
2. | Enseignement Primaire: Ecole Primaire Libre de Bambecque. Professeur: Guy Duyck, de Bambecque. |
| |
3. | Hors du cadre scolaire: Cours du soir de néerlandais à Steenvoorde. Professeur: Joseph Tillie, place du Dr. J.M. Ryckewaert, Steenvoorde.
Bailleul: 2 cours de néerlandais. Cours moyen (Professeur: M.W. Verdonck). Cours élémentaire (Professeur: M.C. Taccoen).
Lille: Cours du soir sous les auspices du Consulat de Belgique. Professeur: Monsieur Salembier (Wevelgem, Flandre Occidentale, Belgique). Adresse du cours: 14-16, rue Mazagran, Lille. |
| |
4. | Cours par correspondance: Le Ministère de l'Education Nationale Belge organise des cours de néerlandais par correspondance, et ceux-ci peuvent être suivi gratuitement. Pour tous renseignements, écrire à Madame Ch. De Bièvre, directrice du Service d'Etat des Cours par Correspondance, 68, rue Joseph II, Bruxelles 4. |
Le récent projet ministériel tendant à remanier l'enseignement des langues vivantes fait figurer le néerlandais parmi les six langues vivantes à étudier en première option.
Comité de rédaction:
Mme Nicole Berger, Béthune; Valentin Bresle, Saint-Brévin-les-Pins; L'Abbé Cattoor, Armentières; Damien Debril, Godewaersvelde; Roland Dauchy, Lambersart; L'Abbé Decalf, Esquelbecq; Henri Decoopman, Steenvoorde; René Decroo, Bourbourg; M. Delecaut, Lille; Alain Desaegher, Dunkerque; Prof. Maxime Deswarte, Steenvoorde; J. Déthune, Menin; Jean-Xavier Dillmann, Aulnoy-Aymèries; Aimard Drieux, Broukerque: L'Abbé Gérard Dujardin, Houtkerque; Guy Duyck, Bambecque; Jacques Fermaut, Bergues; Docteur Jean Klaas, Saint-Omer; Jean-Claude Lejosne, Lille; Le Chanoine Lescroart, Esquelbecq; Mlle Jeanne Leveugle, Roubaix; Fred Leys, Lille; Emmanuel Looten, Bergues; J. Steelandt, Tourcoing; Joseph Tillie, Steenvoorde; Prof. Toussaert, Roubaix; L'Abbé Vandaele, Bailleul; L'Abbé Van den Driessche, Boeschèpe; Mme Berthe Verbeke, Merville; Paul Verbeke, Saint-André-Lille. |
|