Verzamelde gedichten(1968)–Victor E. van Vriesland– Auteursrechtelijk beschermd Vorige Volgende [pagina 258] [p. 258] Point du jour D'un soleil froid la lueur égarée Vient dépasser la tour. Souviens-toi, pour que tu sois justifiée, De nos pauvres amours. Ils n'auront, en somme, été que les traces De l'élan éternel Qui te frôla tandis que moi je passe En son pouvoir mortel. Souviens-toi, tant que ton jour continue Pendant ma longue nuit, De toute cette union non avenue Dont l'espoir m'avait lui. Alors la lumière qui nous sépare Et nous rend différents, Tissera de nos abandons trop rares Un songe enfin durant. Vorige Volgende