Verzamelde gedichten(1968)–Victor E. van Vriesland– Auteursrechtelijk beschermd Vorige Volgende [pagina 257] [p. 257] Le départ artificiel Voici qu'un immense silence vient M'envelopper de ses splendeurs déchues. Tu résumes toutes les femmes vues En vision de mes rêves éteints. Ta présence, que j'implorais en vain, Se refuse à notre austère entrevue: Elle plane, clarté de rien issue, Invisible lune, dissoute en rien. Quel est donc ce soudain déchirement, Plus âpre que les pleurs et plus méchant, Qui m'arrache de toi, mon immortelle? Je suis seul. Je suis seul. Et cependant Aux mondes et aux siècles t'enlevant, En toi tu rentres, taciturne et belle. Vorige Volgende