crois avoir este traduits en latin chez vousGa naar voetnoot7). Je vous prie Monsieur, d'avoir la bontè de dire à Monsieur CollinsGa naar voetnoot8) a qui Monsieur Vernon avoit escrit pour mes livres qu'il y veuille joindre cet autre.
A Monsieur
Monsieur de Grubendol
à
Londres. |
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voetnoot1)
- La partie de la lettre qui se rapporte au problème d'Alhazen a été traduite en latin par Oldenburg, qui l'a insérée dans la continuation de son résumé des solutions données par Huygens et de Sluse, Phil. Trans. No. 98, du 17 novembre 1673 [V. st.].
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voetnoot2)
- Voir la Lettre No. 1873, note 2. Huygens a en vue la partie de l'article de Newton (p. 3079), où celui-ci donne les raisons qui lui ont fait abandonner ses efforts pour perfectionner les lunettes à lentilles.
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voetnoot4)
- Dans la figure la continuation de la courbe FA est indiquée par erreur comme une droite qui serait le prolongement de la bissectrice de BAC.
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voetnoot5)
- Kinckhuizen avait publié les ouvrages suivants:
1. Het ghebruyck des Quadrants, Zijnde seer nut voor veel Persoonen, ende vermakelijck voor alle Liefhebbers. Noch is hier by ghevoegt een Toegift, Bestaende in eenighe vermaeckelijcke Questien, by dewelcke de antwoorden ghestelt zijn. Door G.K.J. Lieshebber der goede Konsten. Tot Haerlem. Gedruct by Hans Passchiers van Wesbusch, Boeck-drucker op 't Marckt-velt, in den beslagen Bybel, by de Vleys-Hall. 1643. in-4o.
2. Verklaringe Ende Ghebruyck Van den Altijdt-duerenden Maen-wyzer: Zijnde seer nut en vermaeckelijck voor alle Liefhebberen der Wis-konst. Noch is hier by gevoeght, een Aenhang: Vervat met eenighe nutte ende vermaeckelijcke Questien, de Schaduwe der Son aengaende. Door Gerard Kinckhuyzen, junior. Ghedruckt in 't Iaer ons Heeren Jesu Christi, 1645. in-4o.
3. De Grondt der Meet-konst, ofte Een korte verklaringe der Keegel-Sneeden, Met een Byvoeghsel. Door Gerard Kinckhuyzen. Te Haerlem, By Passchier van Wesbusch, Boeck-verkooper op de Marckt, in den beslagen Bijbel. Anno 1660. in-4o.
4. Algebra ofte Stelkonst, Beschreven tot dienst van de Leerlinghen, Door Gerard Kinckhuyzen. Tot Haerlem, (même éditeur). Anno 1661. in-4o.
5. Geometria ofte Meet-konst, Beschreven tot dienst der ghene die haer in dese Konst zijn oeffenende. Door Gerard Kinckhuysen. Tot Haerlem, (même éditeur). Anno 1668. in-4o. Ces trois derniers ouvrages, remarquables par leur clarté et concision, sont des modèles au point de vue didactique. Toutefois, Montucla (Histoire des Mathématiques Vol. II, page 165) exagère leur importance lorsqu'il dit: ‘Ces trois ouvrages réunis pourraient, à certains égards, être comparés à l'Arithmetica generalis de Newton.’
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voetnoot6)
- Gerard Kinckhuysen, mennonite, né à Harlem, y fut maître de mathématiques. Il épousa, le 2 janvier 1650, Elisabeth Ampen, dont il eut un fils Gerrit. Il fut enterré à Harlem, le 31 août 1661.
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voetnoot7)
- Sur les traductions latines des ouvrages de Kinckhuysen, voir la Lettre No. 1885, note 9.
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voetnoot8)
- John Collins, né le 5 mars 1625 à Wood-Eaton près d'Oxford, mort le 10 novembre 1683 à Garlick Hill, London. Apprenti dans une librairie, il s'appliqua à la tenue des livres et au calcul de commerce, devint accountant et ingénieur civil, membre et enfin Secrétaire de la Société Royale. On a de lui plusieurs ouvrages et une correspondance étendue avec le docteur Pell, Vernon, Oldenburg, Borelli, Townley, Baker, Barrow, Flamsteed, James Gregory, Wallis, Newton, Cotes et plusieurs autres savants de son époque, publiée dans Macclesfield Correspondence et dans le fameux ouvrage:
Commercium epistolicum D. Joannis Collins et aliorum de Analysi promota: Jussu Societatis Regiae in lucem editum. Londini. Typis Pearsonianis, Anno mdccxii. 1712. in-4o.
La seconde édition porte le titre:
Commercium epistolicum E. Joannis Collins et aliorum, De Analysi Promota, Jussu Societatis Regiae in lucem editum: et jam unà cum ejusdem Recensione praemissa, et judicio primarii, ut ferebatur, Mathematici subjuncto, iterum impressum. Londini: Ex officinâ J. Tonson et J. Watts. mdccxxii. in-8o.
La première a été publiée par les soins de Halley, Jones et Machin. La seconde paraît due à Newton, sous le couvert de Keill. La préface et la Recensio libri, ainsi qu'il est démontré aujourd'hui, sont certainement de Newton. Voir l'édition suivante:
Commercium Epistolicum J. Collins et aliorum De Analysi Promota, etc., ou Correspondance de J. Collins et d'autres savants célèbres du XVIIe siècle, relative à l'Analyse supérieure, réimprimée sur l'édition originale de 1712 avec l'indication des variantes de l'édition de 1722, complétée par une collection de pièces justificatives et de documents, et publiée par J.-B. Biot, Membre de l'Institut, et F. Lefort, ingénieur en chef des Ponts et Chaussées. (Nemo in causa propria sibi testis est. Newton.-Recensio libri...pag. 25). Paris, Mallet-Bachelier. 1856. in-4o.
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