Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome VIII 1581-1584
(1847)–G. Groen van Prinsterer– Auteursrechtvrij
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Lettre MCXVII.
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Ga naar margenoot+du Prince d'Orange (p. 149). Ceux d'entre les Réformés, qui avoient désapprouvé constamment les négociations avec des Papistes, furent d'autant moins disposés à traiter avec Anjou qu'ils s'imaginèrent être sauvés, en tendant la main à Truchsess et au Duc Casimir. Ce parti étoit puissant, surtout aussi dans la Gueldre et en Flandre. A Gand on avoit des intelligences avec Hembyze et les conseils du Prince y étoient odieux. Chimay (p. 139), dont l'ardeur apparente lui donnoit une grande influence au milieu de l'agitation des esprits, étoit un des principaux fauteurs d'une politique dont les résultats devinrent funestes. L'auteur de cette Lettre écrit dans son ouvrage historique ‘als het scheen dat d'uiterste noot des Princen raet soude hebben doorgedrongen, so na menschen oordeel één van beyden must geschieden, oft met Spanien oft met Vranckryck te handelen, en by desen wel groote gevaer, doch met eenige hoope vermenght, maer by den anderen niet dan die gewisse doodt te verwachten was, werdt by Chimay en Hembyze een derde voorgeslagen, te weten, dat men Hertoch Hans Casimir, wesende met ettelycke duysendt ruyters en knechten den Bisschop van Colen te hulp gecomen, heroepen en met den Bisschop en andere Rycksvorsten van de Religie verbont soude maken; 't welk den gemeenten seer aenghenaem synde, werden alle raetslagen den Hertoch van Alenzon betreffende in den windt geslagen:’ van Reid, p. 46. |