Brieven 1888-1961
(1997)–Alexander Cohen– Auteursrechtelijk beschermdAan Kaya Cohenaant.Utrecht, ce vendredi, 5 h. soir. [entre 12-25 octobre 1934]
Kaya chérie,
Vite q.q. lignes pendant que je puis encore écrire: demain ce sera impossible. Je serai opéré dans la matinée, et on me dit que le traitement exige au moins 15 jours.Ga naar eindnoot1 - Tout le monde ici est absolument charmant, mais je m'ennuie déjà indiciblement loin de toi, chérie. - Je viens d'écrire a Albert de ne pas venir a Utrecht dimanche, après-demain. Ce serait un voyage tout à fait inutile. - Informez-vous téléphoniquement du jour où Rosy et toi ou Henri, RosyGa naar eindnoot2 et toi, pourront venir me voir. Apportez alors q.q. cartes postales, que je ferai écrire. Amuse-toi bien au théâtre, dimanche soir. Et couvre-toi bien. - Toutes mes plus grandes amitiés à l'oncle Henri et a tante Rosy, et deux baisers au petit M. van der Poel, autrement dit Jantje. Téléphone-t-il toujours Tout mon coeur méchant, Kaya chérie, pour toi.
Sandro.
Ecris-moi un mot en réponse a cette lettre. Avec exprès je l'aurai peut--être dimanche. | |
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J'ai déjà fait de la propagande A.[ction] F.[rançaise] avec deux Français ici, l'un médecin-oculiste, l'autre patient.
Essaye de lire ce gribouillis. On m'a tripoté les yeux, et je ne vois plus clair. |