Septentrion. Jaargang 30(2001)– [tijdschrift] Septentrion– Auteursrechtelijk beschermd Vorige Volgende Anton van Wilderode Doel 2 Le son des cloches mort on abandonne, vide, l'après-midi dominical; les paresseux filets pendus s'étalent, sacs pleins de vent mais à bord plus personne. Et les caux fatiguées enfin l'emportent dans leur combat sur les frottoirs, les barges; comme lié à une frêle corde un bruant par à-coups s'élève au large. [pagina 47] [p. 47] La boue épaisse grossit vers l'amont sous les roseaux pris dans leurs gaines tendres. On voit grandir les docks à l'horizon. Le dernier pêcheur ne veut rien entendre. Extrait de ‘Ik adem mijn eigen aarde’ (Je hume ma terre), in ‘Volledig dichtwerk’ (Poésies complètes), Lannoo, Tielt, 1999, p. 238. Traduit du néerlandais par Liliane Wouters. Vorige Volgende