Sommaire
Dans le second volume de la présente étude sur Bacchus - dont le premier volume parut chez le même éditeur en 1968 - on a examiné de plus près les poèmes bachiques de l'Antiquité et de la Renaissance qui étaient parvenus à la connaissance du poète neérlandais Daniel Heinsius, quand il composa sa louange de Bacchus (1618).
D'abord il s'agit de quelques hymnes orphiques et d'un poème de l'Anthologie Grècque. La poésie latine est représentée e.a. par deux poèmes d'Horace; la poésie française par quelques poèmes de Ronsard.
La traduction des exemples révérés, l'imitation des prédecesseurs et l'effort de les surpasser - tout ce jeu de don et de réception constitue la substance de cette étude centrée sur Bacchus.