Brieven (2 delen)

Aan Koning Lod. Napoleon.

409. Wildenborch ce 22 d'Octobre 1808:

Staring spreekt van de welwillendheid van den Koning, die toestaat dat wenschen mogen bekend gemaakt worden. Hij stuurt een Memorie¹⁾, die de belastingen betreft:

‘Elle etoit peu faite, cette question, pour etre resolue, par un homme, voué tout entier aux soins, qui demande la culture d'un héritage étendu, qu'il a été assez heureux de tirer en partie de son néant par une opération, utile a lui même et plus profitable encor au bien public. Mais je me suis flatté, que fortuitement je pourrois avoir ajouté a la masse des argumens, qui plaident, selon ma conviction, pour une bonne cause.

Attaché a mon paijs par les liens les plus indissolubles, par une famille naissante, par la nature de mes possessions, et par les bienfaits eminens, qu'il a plu a Votre Majesté de repandre sur mes plus proches parens²⁾, je serois au comble de mes souhaits, si ma démarche hazardée en trouvant son excuse dans le coeur genereux de mon Roi n'etoit pas entierement perdue pour les interets d'un Peuple, qui a tant de droit de s'attendre au bonheur, sous le sceptre bienfaisant de Votre Majesté’....

1) Het klad is bewaard. St. komt op tegen de gelijke belastingen voor handeldrijvend en landbouwend Nederland; de nieuwe belastingen (Gogel!) zullen den ondergang van landbouwstreken meebrengen. Staring was in 1808 benoemd tot Kiezer ter Kiesvergadering in het Departement Gelderland.

2) De VerHuell's (o.a. C.H. was Min. v. Marine).