[Préface]
Au moment de soumettre ma thèse au jugement de la Faculté des Lettres et de Philosophie de l'Université d'Amsterdam, je tiens à remercier tous ceux qui, de façon ou d'autre, ont contribué au succès de mes études.
Monsieur le Professeur J.-J. Salverda de Grave a droit à ma reconnaissance pour avoir bien voulu être le ‘promotor’ de ce travail qui, je l'espère, ne sera pas indigne de sa gracieuse attention.
C'est à vous, Monsieur Gallas, que je dois d'avoir repris mes études et d'avoir terminé ce travail. Vous avez dirigé mes recherches, vous avez mis à ma disposition tout le trésor de vos vastes connaissances. Vivre, pour vous, c'est travailler et servir: de tout mon coeur je vous remercie de tout ce que vous avez été pour moi.
C'est avec un vif plaisir que je me rappelle la façon prévenante dont Messieurs Gustave Cohen et C. de Boer ont voulu, lors de mes études universitaires, me prodiguer leur concours et leurs conseils.
Je remercie Monsieur S.-W.-F. Margadant, de la Haye, secrétaire de la ‘Bilderdijk-commissie’, qui m'a gracieusement offert l'hospitalité pour me mettre à même de consulter son immense collection de lettres et de documents sur la vie et l'oeuvre du grand poète hollandais. Sa maison est le rendezvous des muses: Bilderdijk, à qui aucun logis n'a plu, a trouvé enfin la demeure où ses rêves inquiets peuvent sourire à la vie.
Je voudrais n'oublier aucune personne ayant facilité mon travail. Tout particulièrement j'ai profité des conversations intéressantes avec mon collègue Monsieur M. Visser, qui comprend si bien que la recherche de la vérité doit se faire dans un esprit de modestie et de bienveillance.