bekende Correspondent van den Times den proeftocht met den Orient-Express medemaakte zag hij den Bosphorus, dien hij zich naar allerlei beschrijvingen had gedroomd: ‘Ce que je voyais était-ce plus beau que ce que j'avais rêvé? Oui, parceque l'imagination humaine, quelque vagabonde qu'elle puisse être, ne peut point rêver le beau infini, et que ce que j'avais sous les yeux était infiniment beau, et surtout infiniment plus beau que ce que l'on peut rêver. Eh bien, ce qui m'est arrivé à moi arrivera à ceux qui me liront et qui liront cent autres descriptions encore. Quand ils entreront dans le Bosphore, ils s'apercevront qu'ils n'en avaient absolument aucune ideé exacte; et ceux qui me liront sans voir Constantinople se feront un Bosphore à eux, un Bosphore fantaisiste et portatif, dont l'image rêvée les plongera dans une illusion douce et sans réveil’.
Daarom is hier geen beschrijving beproefd, maar slechts het teruggeven van een indruk.
Den indruk heeft wel Goethe het fraaist geteekend in zijn Italienische Reise, als hij van zijn terugkeer naar Napels verhaalt: ‘Alles war auf dem Verdeck, voran ein für seinen Orient sehr eingenommener Griechischer Priester, der den Landesbewohnern, die ihr herrliches Vaterland mit Entzücken begrüssten, auf ihre Frage, wie sich denn Neapel zu Constantinopel verhalte, sehr pathetisch antwortete: Anche questa è una citta! Auch dieses ist eine Stadt.’
Naast Constantinopel verdient Napels slecht een ook.