positie van den priester en hoofdstuk VII zijne opvoeding in het seminarie, waaruit hier het een en ander een plaats moge vinden:
‘.... L'instruction donnée dans les séminaires fut donc, après nos révolutions, ce qu'elle avait été auparavant, c'est-à-dire scolastique, étrangère à l'esprit du siècle et, dans son ensemble comme dans ses principes, hostile au développement spontané des connaissances humaines. Le Syllabus, qui en est désormais la base, anathématise la raison humaine (art. 3), lui interdit l'étude même historique des dogmes religieux (9) et lui ordonne de n'emprunter ses principes et ses méthodes qu' à la scolastique (13). En même temps il impose au professeurs et aux écrivains catholiques une entière soumission aux définitions de l'Eglise, c'est à-dire du pape, maintenant infaillible (12). .... Il refuse à l'autorité civile le droit de s'immiscer dans la direction ou la discipline des écoles publiques, même autres que les séminaires, il revendique, au contraire, pour l'autorité ecclésiastique, l'intervention dans ces écoles, leur direction, leur discipline, les choix des maîtres et la collation des grades (45). Enfin, après avoir affirmé l'origine divine du pouvoir temporel de l'Église et son indépendance vis à vis des États, il déclare anathème quiconque dans un Êtat professe une autre religion que la religion catholique et ne fait pas profession d'intolérance (77)’.
Ziedaar eenige van de leerstellingen, die de jongste verklaringen en besluiten van het hof van Rome verkondigd hebben en ten grondslag gelegd aan de opvoeding van den priester, die op zijn beurt duizende medemenschen zal hebben op te voeden. Men moge, na met deze leerstellingen kennis te hebben gemaakt, ze onderschrijven of verafschuwen, in elk geval zal men toestemmen, dat zij de kennismaking in hooge mate verdienen en niemand