Orion
(1836)–Pieter Nieuwland– Auteursrechtvrij
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C'est qu'en fixant mes yeux sur la voûte divine,
Retentissante encor de tes chants, Lamartine!
De magiques concerts je me suis enivré.
Oui! j'avais médité tes suaves cantiques;
J'avais nourri mon coeur de tes sons séraphiques,
Ces sons que j'idolâtre et que j'entends toujours!
Dans mon ravissement, rempli des chants du cygne,
Pardonne! j'essayai d'épeler une ligne
Du grand livre des cieux où tu lis tous les jours!
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