Hy zal 't gevonden hebben naast of op een van de stoelen die, naar
ik me later herinnerde, vóór hy en henri daarop
plaats-namen, waren bezet geweest door 'n familie die er wel naar uitzag alsof
ze leefde van eksteroogen. Doch hoor nu wat er in dat briefje stond:
‘Mon bon petit Léon, Je serai au C. d. F. mais sans
danser. Les onze sont trop bête. Fais-moi le plaisir de venir
mystifier un peu l'étranger dont je te parlai. Je lui en veux de ce
qu'il m'a vue sans crinoline, la nuit de cette sotte escapade. Abbas sera
à la porte pour te le montrer. Au reste tu le reconnaîtras
aisément à son air pédant. Donne-moi un signe que tu te
prêtes à ce petit caprice, un salut archi-respectueux ou quelque
chose de semblable. Je m'amuserai à observer comment tu taquines ce
maître d'école pour mon compte. Je suis sûre qu'il enseigne
des mathématiques ou le grec ou quelque chose de pareil. Je m'ennuie
trop. Oh, les onze! Adieu mon petit chéri, toute à toi...
á 11/12 près, helas! Ton
adele.’
Er waren in dat briefje meer of andere taalfouten dan ik nu in-staat
ben korrekt natebootsen. Maar den zin geef ik vry juist weder. Ik moest
gemystificeerd worden, geplaagd, getaquineerd, ik! En waarom? Omdat ik
adele betrapt had op... magerheid.
De zeer brave lezer eischt moraal? En voici: