Verzen(1894)–Willem Kloos– Auteursrecht onbekend Vorige Volgende [pagina 253] [p. 253] CLXVIII. Oh, oh, mon Dieu, oh les pleurs qui ruissellent A force d'une douce, farouche extase, Lelong de mon pauvre visage, image De ma toute pauvre âme, telle quelle, Ame petite, voulant être belle, Quoique autour d'elle retonne l'orage Etincelant en éclairs. Oh, sois sage, Ame petite, ouï, mais vraiment belle, Chère âme, mon amie solitaire De la quelle, oh quelle! je sais puiser, Moi puiser sais la seule pure et claire Et l'éternelle en soi-même, lumière, O pauvre âme qui de toi-meme sais La vraie et pure sincèrité sévêre. Vorige Volgende