Oeuvres complètes. Tome XXII. Supplément à la correspondance. Varia. Biographie. Catalogue de vente

1689.

Manuscrit G, f. 132v.

1689. Maj. Tot Leyden geweest bij Mr. Zumbach van Coesveldt. en sijn Machina of planispherium gesien, daer mede hij uijt de bekende motus medius Planetarum haer plaetsen vindt in haer Weghen, met paerdehaeren

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daer over te spannen, leggende het planispherium horizontael en verheven als op een trommel. Verstaet oock de musieck. Had hem te voren mijn Automaton laeten sien¹⁶⁾.

16) Lotharius Zumbach van Koesfeld (1661-1727), né en Allemagne, dont on trouve une biographie par C. de Waard dans le T. VII de 1927 du ‘Nieuw Nederlandsch Biografisch Woordenboek’, habitait Leiden depuis 1688. Il y publia en 1691 une description de son planisphère, construit d'après les idées de Boulliau, intitulée: ‘Paradoxon novum mechanico-astronomicum’. La publication hollandaise de 1700 (Amsterdam op den Dam, in de Wackeren Hont) est intitulée: ‘Planetolabium, dat is Planeeten-Wijzer; door den welken men [mot superflu] gantsch vaardigh, light, ende seer na, sonder reekeninge, de plaatsen der seven Planeeten...[enz. enz.] werden aangewesen: uytgevonden door Loth. Zum-Bach van Koesfelt. Med. Doct^r: en in 't Kooper figurelijk ontworpen door Gerard Valck’.
Plus tard il fut lecteur d'astronomie à Leiden, ensuite, depuis 1708, professeur de mathématiques à Cassel. Il publia en 1715 en cette ville sa ‘Vera methodus inveniendi longitudines marinas’ (au moyen d'une horloge exacte à ressort moteur etc.) où il fait mention de Huygens. Il donnait aussi e.a. des cours de musique. - Son fils Conrad publia en 1749 et 1752, en latin et en hollandais, une description de l'‘Instrumentum novum seu horologium autobarum ad longitudines inveniendas’ d'après l'invention de son père (Lugduni Bat. G. Potvliet); il y fait une comparaison de cette horloge ‘cum illo celeberrimi Hugenii’, disant que cette dernière n'avait pas la ‘requisita exactitudo’ qu'il espère avoir obtenue lui-même.