Oeuvres complètes. Tome XVII. L'horloge à pendule 1656-1666
(1932)–Christiaan Huygens– Auteursrecht onbekend
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IV.
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Vesica corio vestita ne possit disrumpi. Recens adhuc sacculo coriaceo condenda, deinde inflanda et siccandaGa naar voetnoot2). | |
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IV. § 2 (1658)Ga naar voetnoot1). Intestina bovis alia alijs superinducta ut unum quasi faciant, et in canalem AB [Fig. 31] immissa cui cauum C conjunctum sit. Versus A occlusa sint intestina. Jam si desuper premantur, aër compelletur in cauum C, et cum impetu sursum expellere deinde conabitur baculum D. Qui motus horologio vel alijs machinis applicari poterit. Videndum an non ad volatum, cum levitatem simul et vires habeamus. Quidsi C vesica fuerit corio vestita, eaque ope alterius similis vesicae in follem ut supra adaptatae, vehementissimè tenta. Canali desuper alae accommodandaeGa naar voetnoot2). [Fig. 35.]Ga naar voetnoot10)
IV. § 3 (1658)Ga naar voetnoot3). Voir les Fig. 33 et 34 aux pages 309 et 310.
IV. § 4 (1661)Ga naar voetnoot4). a experimenter dans le vuide [Fig. 35]. larme de verreGa naar voetnoot5) si elle s'y casse avec autant de bruit. je croy que non. si l'eau montera de mesme dans des petits tuyauxGa naar voetnoot6), je croy qu'ouij. si la poudre a canon en sortant d'une clefGa naar voetnoot7) fera du bruict comme dans l'air. je croy que non. si l'ambre y attire comme dans l'air. qu'il ait premierement attirè un festu et voiez s'il ne tombera pasGa naar voetnoot8). Hoe lang een pendulum blijft gaenGa naar voetnoot9). | |
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[Fig. 33.]
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[Fig. 34.]
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IV. § 5Ga naar voetnoot1). Le 29 nov. 1661. Ga naar margenoot+ Le récipient [Fig. 36] resta fermé toute la nuit avec les boyaux enflés par le vide qui s'y trouvaient, sans que le lendemain ceux-ci fussent tant soit peu dégonflésGa naar voetnoot2). Le robinet CGa naar voetnoot3) était bouché avec de la térébenthine ou du vernis préparé depuis longtemps et fort visqueux, auquel était d'ailleurs mêlé superficiellement un peu de suif parce que sans cela le robinet tournait trop difficilement. L'écuelle B contenait du ciment composé de résine et de cire jaune qui avait servi au moulage de mainsGa naar voetnoot4). Ga naar margenoot+ Le 1 déc. des fragments enflés de boyaux furent placés sous le récipient pour les faire crever, mais ils devinrent perméables par la très grande tension avant que de vouloir rompre; ce qui se montra lorsqu'on laissa rentrer l'air dans le récipient, car en ce moment ils s'aplatirent presque complètement, tandis qu'auparavant ils avaient été pleins d'air. Ga naar margenoot+ Le même jour un petit serin fut placé sous le récipientGa naar voetnoot5). Il ne parut pas encore très incommodé par les deux premiers coups, mais ensuite il commença à haleter et après cela il pencha la tête en clignotant des yeux. Puis il se ranima, fut un instant complètement en éveil et battit des ailes; mais bientôt il redevint tranquille et tomba sans connaissance, mort. A chaque coup on le voyait s'enfler quelque peu. Ga naar margenoot+ Le même jour de l'eau chaude fut mise sous le récipient dans le petit flacon d'un sablier. D'abord de menues particules s'élevèrent de dessus le fond. Au deuxième, au troisième et au quatrième coup il en vint toujours davantage. Quand on évacua de nouveau, une partie de l'eau sauta jusqu' à la paroi supérieure du récipient A, atteignant ainsi une hauteur de 7 ou 8 pouces et continua ensuite durant quelque temps à bouillonner en faisant de grosses bulles, comme si cette eau eût été en forte ébullition. Et lorsqu'on évacua encore davantage l'eau atteignit de nouveau la même hauteur, trois ou même quatre fois. Mais en fin de compte elle se refroidit trop et ne remua plusGa naar voetnoot6). Ga naar margenoot+ Le même jour, le 1 nov.Ga naar voetnoot7), l'air ayant été évacué aussi complètement que possible, je fis tomber du haut du récipient une plume bien légère du petit oiseau mort [Fig. 37]: elle tomba aussi rapidement qu'un morceau de plomb, tandis que dans l'air il lui aurait fallu deux ou trois secondes pour sa chute. J'attachais avec du ciment à la paroi | |
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IV. § 5Ga naar voetnoot1). 29 November 1661 [Fig. 36]. [Fig. 36.]
Ga naar margenoot+ stond de fles den heelen nacht over dicht, met darmen daer in die door 't vacuum opgeblasen waren, sonder dat se iets gesloncken waren 's anderendaeghsGa naar voetnoot2). De kraen CGa naar voetnoot3) was dicht gemaeckt met ouden terpentijn of vernis die heel taeij was, maer daer over wat keersmeer gestreken om dat anders al te traegh draeijde. In 't schoteltie B was cement, van hars en geel was, 't welck gedient had om handen in af te gietenGa naar voetnoot4). Ga naar margenoot+ 1 Dec. opgeblasen stuckjes van darmen in de fles gedaen om se te doen bersten, maer wierden ondicht door het geweldigh spannen, eerse breecken wilden; het welck bleeck als men weer lucht in de fles liet, want dan wierdense bijnae heel plat, daer se te vooren vol lucht waeren. Ga naar margenoot+ Eod. Een cijsje in de fles gesetGa naar voetnoot5). De eerste en tweede treck scheen noch niet seer geincommodeert. Daer nae begost te hijghen. Daer nae sijn hooft te laten hangen en met sijn oogen te knicken. Daer nae wierdt noch eens heel wacker en sloegh met sijn vleugels, maer sat haest weer stil en viel voort van sijn selven en doot. Ieder treck saghmen dat het wat swol. Ga naar margenoot+ Eod. heet water in de fles geset in een flesie van een sandloper. in 't eerst quaemen kleine brockjes van onderen van de gront naer boven. De 2de en 3de of 4de treck hoe langhs hoe meer. Daer nae de lucht weer door de kraen uytlaetende, sprongh een deel van 't water tot boven tegen de fles A, wel 7 of 8 duijm hoogh en bleef doen noch wat staen borrelen met groote bellen gelijck of het hard stond en zooy. En wederom lucht uijt laetende sprongh weer soo hoogh tot 3 of 4 mael toe; doch wierdt eyndelijck te laeuw en dede doen niets meerGa naar voetnoot6). Ga naar margenoot+ Eod. 1 Nov.Ga naar voetnoot7). De lucht soo veel als moghelijck uijtgepompt sijnde maeckten ick dat een licht veertien [Fig. 37] van 't dode vogeltie van boven in de fles, nederwaert viel: en viel soo ras neer als een stuck loot daer het in de lucht wel 2 of 3 | |
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supérieure du récipient un petit crochet en plomb, sur lequel je plaçais la plume. Pour la faire tomber j'approchais ensuite du récipient, à l'extérieur, un charbon ardent qui faisait fondre la cire et tomber le crochet. La plume quoique posée légèrement sur le crochet semblait y adhérer puisqu'ils tombaient ensemble. Mais une fois la plume tomba seule avant que le crochet eût été détaché par la chaleur, et alors je vis qu'elle tomba, cette fois aussi, avec une vitesse égale à celle du plomb. Ga naar margenoot+ Le même jour, je fis mouvoir sous le récipient un pendule suspendu à un sil de soie très mince. Le pendule oscilla en vérité plus longtemps que dans l'air; mais l'amplitude diminuait plus vite que je n'avais pensé. J'ignore donc si la diminution et la cessation de ce mouvement proviennent uniquement de la présence de l'air, puisqu'il y avait si peu d'air sous la cloche qu'il semble que celui-ci n'aurait pas dû avoir tant d'influenceGa naar voetnoot1). Ga naar margenoot+ Un fragment de boyau contenant très peu d'air avait été attaché à la paroi latérale du récipient. Ce fragment s'enflait raide lorsqu'on évacuait l'air. Par ce moyen je pouvais examiner si l'air ne rentrait pas dans la cloche après l'évacuation; en effet, dans ce cas la petite ‘vessie’ commençait à se dégonfler peu à peu. Or, ce soir, ceci avait toujours lieu quoique bien lentement, de sorte que je ne pus tenir le récipient fermé comme deux jours auparavant. Le robinet ne laissait rien à désirer, mais je pense que la faute en était au ciment, celui-ci étant devenu trop friable, sans doute par les fusions réitérées à l'aide d'un fer chaud. C'est pourquoi je me suis résolu à en faire un nouveau, de cire jaune et de térébenthine au lieu de résine. Ga naar margenoot+ Lorsqu'on expulse l'air du récipient la première fois, et encore deux ou trois fois après, on voit la cloche se remplir rapidement de vapeur semblable à celle d'un pot bouillant. Cette vapeur tournoye et plane durant quelque temps dans la cloche et tombe ensuite. Quelquefois, tenant une chandelle de l'autre côté de la cloche, j'ai constaté que dans cette vapeur des anneaux colorés se montrent autour de la chandelle, l'anneau intérieur étant rouge et l'autre vert, mais l'un et l'autre faiblement colorés. C'est cette vapeur que Boyle considère comme une lueur soudaineGa naar voetnoot2); en effet, elle en a l'apparence puisque la cloche s'est couverte d'une buée blanche. Lorsque le récipient est un peu chauffé, on n'aperçoit pas cette vapeur, de sorte qu'il doit ....Ga naar voetnoot3). Ga naar margenoot+ Le samedi 3 déc. un fragment enflé d'un boyau fut placé sous le récipient et amené à crever par évacuation de l'air. En crevant il fit un saut et se déchira largement, non | |
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seconden onderwegh soude geweest sijn. Ick plackten met
[Fig. 37.]
cement een haeckje van loot boven in de fles en leyde daer 't veertien op. Om het daernae te doen vallen hield een kool vier van buijten nae aen de fles, die het was dede smelten en 't haeckje vallen. De veer alhoewel t'eenemael los daer op geleyt sijnde scheen daer aen vast te blijven, om dat te saemen neer vielen. maer eens viel het veertien alleen eer ick den haeck los smolt, ende sagh doen dat het mede evenzoo ras als loot om leegh quam. Ga naar margenoot+ Eod. Een pendulum daer in doen bewegen hangende aen een draetje van flossijde heel dun. gingh wel langher als in de lucht doch verminderden noch al eer als ick gedacht had. soo dat ick niet en weet of alleen de lucht dese bewegingh doet verminderen en ophouden, dewijl daer soo weynigh lucht in was, dat het scheen soo veel niet soude hebben konnen doenGa naar voetnoot1). Ga naar margenoot+ Een stuckje darms met heel weynigh lucht daer in, tersijden in de fles vast gemaeckt, het welck stijf op swol als de lucht wierdt uitgepompt. waer door sien konde of er daer nae weer geen lucht in de fles drongh. want dan begonst dit blaesje weer allenghs in te krimpen. En dit gebeurde desen avont altijdt alhoewel seer langhsaem; soo dat de fles nu niet konde dicht maecken als over 2 daegen. De kraen was wel. maer meen dat het aen 't cement schorten, en dat het misschien door het veel smelten met het heet ijser, te bros geworden was. Daerom meen ander te maecken van geel was en terpentijn in plaets van hars. Ga naar margenoot+ Als men de eerste reijs en noch 2 of 3 daer nae lucht uijt de fles laet, soo siet mense schielijck vol van waessem komen gelijck die van een kokende pot. Dese draeyt en sweeft een wijltijdts door de fles en valt dan neerwaert. Ick heb oock somtijdts gesien, als de keers aen d'ander sijde van de fles hield dat in dien damp gecouleurde ringhen om de kaers sich verthoonden de binnenste root en d'ander groen, doch beijde van geen stercke kouleur. Desen damp is het die Boile een schielijcke flickeringh van licht meent te sijnGa naar voetnoot2), want schijnt soo, om dat de fles wit beslaet. als de fles wat warm gemaeckt is, werd men desen damp niet gewaer, soo dat hij moet ....Ga naar voetnoot3). Ga naar margenoot+ Sat. 3 Dec. Een opgeblasen stuck van een darm in de fles geleght, en doort uytpompen van de lucht doen bersten. sprongh op in 't bersten, en scheurden heel wijt | |
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pas pendant qu'on évacuait l'air, mais un peu plus tard. Le bruit ne fut pas fort, mais plutôt sourd. Ga naar margenoot+ Le 4 décembre j'ai fait éclater sous la cloche, après évacuation, une des larmes de verre. À cet effet je fis tomber sur la pointe de la larme un petit morceau de plomb que je détachai au-dessus d'elle par la chaleur [Fig. 38]. Elle se brisa de la même manière que dans les expériences faites dans l'air et éclata en mille morceaux. Ga naar margenoot+ Le même jour je mis une horloge sonnante sous le récipient, sur de l'étoupe. On entendait les sons beaucoup moins bien que lorsque la cloche était pleine d'airGa naar voetnoot1). Ga naar margenoot+ Le même jour de l'eau-de-vie chaude et de l'eau-de-vie froide y furent placées. La première ne fit pas de petites bulles, mais l'eau-de-vie froide en fit, sans cependant bouillonner ou ébullir comme de l'eau chaude. Du vin blanc français chauffé ne fit que de très petites bullesGa naar voetnoot2). Ga naar margenoot+ Le même jour, à 5 heures de la nuit. Le récipient était resté vide depuis le soir et était donc bien fermé. Le robinet avait été enduit de suif frotté sur une pierre avec de la céruse. Le récipient lui-même était bouché avec du ciment de cire jaune fondue d'abord et mêlée ensuite avec une quantité presqu' égale de térébenthine ordinaire. Ce ciment est détaché de la cloche avec un fer chaud lorsqu'on veut enlever cette dernière, car c'est un ciment assez visqueux. Il faut prendre garde à ne pas le mettre en contact avec de l'huile: dans ce cas il n'isole plus. Ga naar margenoot+ Le 21 décembre la pompe était hermétiquement fermée, de sorte qu'elle tira tout l'air du récipient, ce qui se montra dans l'expérience suivante. La fiole A [Fig. 39] pleine d'eau ayant été placée sous la cloche avec l'ouverture plongée en bas dans l'eau D, après cinq ou six coups de pompe l'eau commença à évacuer l'espace A; et elle descendit enfin si bas que dans le col de la fiole A elle était de niveau avec celle qui se trouvait dans le verre B et qui était montée jusqu'en C. Lorsque je laissai ensuite rentrer l'air, toute la fiole A se remplit de nouveau d'eau avec cette exception qu'il y resta une petite bulle d'air, un peu plus grande qu'une graine de chèvenis; toutefois je ne suis pas sûr que c'était de l'air véritable, parce que, lorsque j'eus mis les verres ainsi remplis de côté, après un jour et une nuit Ga naar margenoot+ cette petite bulle avait disparu et la fiole entière était pleine d'eau. C'est ce que j'ai constaté deux fois successivementGa naar voetnoot3). | |
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open. niet met het uytlaeten van lucht maer een weijnigh nae. de slagh was niet hard maer doofachtigh. Ga naar margenoot+ 4 Dec. Een van de springende glaesjes inde fles doen breken,[Fig. 38.]
nae dat geleeght was, door een lootje dat boven los smeltende, op het dunne endt viel [Fig. 38]. Het brack even eens als anders in de lucht en buijtelde aan gruijs. Ga naar margenoot+ Eod. Een slaende horologe daer in geleght, boven op wat werck. men hoorden de klock vrij flaeuwer dan als de fles vol lucht wasGa naar voetnoot1). Ga naar margenoot+ Eod. heete brandewijn en koude daer in geset. De warme wierp geen belleties op, maer de koude, doch geensins tot kokens toe als heet water. Warme witte fransche wijn maeckten maar kleine belletiesGa naar voetnoot2). Ga naar margenoot+ 5 Snachts Eod. de fles leegh overgestaen en was[Fig. 39.]
dicht gebleven, de kraen was bestreecken met keersmeer, gevreven op een steen, met lootwit daer bij. De fles was toe gemaeckt met cement van geel was, eerst gesmolten en dan bijnae even soo veel gemeene terpentijn daer onder gemenght. welck cement met een ijser wert losgesmolten als men de fles wil afnemen, want is taeijachtigh. men moet toesien datter geen olie aen en komt, want werdt anders ondicht. Ga naar margenoot+ Den 21 Dec. was de pomp perfect dicht, soo dat al de lucht uijt de fles haelden. het welck bleeck door dat de fles A [Fig. 39] vol water daer binnen geset sijnde, ende onder met de mondt in 't water D, het water uyt A nae 5 of 6 mael pompens begost daer uyt te sacken en eijndelijck soo leegh tot dat het water in den hals van de fles A gelijck stondt met dat int glas B, 't welck tot C toe gewassen was. Als ick daer nae weder lucht in liet, liep de fles A weer tot boven toe vol water, uytgesondert een klein blaesje van lucht, wat grooter als een hennipsaet; doch weet niet of dit oprechte lucht was, Ga naar margenoot+ om dat, als ick de glasen soo wegh setten, een dach en nacht langh, soo verdween dit blaesjen weer, en de fles was gansch vol water, dit heb ick tot 2 maels aldus bevondenGa naar voetnoot3). | |
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Ga naar margenoot+ Le robinet [Fig. 40] était en bois dur enveloppé d'une étroite courroie peu élastique, comme le sont aussi les manches des maillesGa naar voetnoot1), graissé d'huile, et percé à l'aide d'un fil de cuivre chaud. Des robinets de ce genre sont tout-à-fait imperméables à l'air. Mieux vaut encore imprégner le cuir de suif que d'huile. Ga naar margenoot+ Le 26 décembre. Construction d'une pompe imperméable à l'air. La barre BB [Fig. 41] fait corps avec la tige du piston et traverse ce dernier. A cette barre est soudée avec du cuivre un disque de fer CC. Contre celui-ci on applique le disque de bois AA, dans lequel une cavité a été faite au tour pour pouvoir y introduire la petite plaque de fer DD faisant office de vis. A la partie supérieure du disque AA est cloué de toutes parts le morceau de cuir EE; c'est un cuir à chaussures des plus épais; la surface du disque à l'endroit nommé est travaillée de manière qu'elle rentre en-dedans, pour que les têtes des petits clous FF ne saillissent pas. Quant au cuir, il a été coupé obliquement auprès du joint, afin que les bords puissent s'appliquer l'un sur l'autre sans que l'épaisseur totale soit augmentée. Pour remplir ensuite la partie creuse HHGGHH, le piston imprégné d'huile est introduit dans le tuyau de cuivre MM, maintenu sens dessus-dessous par une vis; ensuite une partie d'une vessie de porc, rédigée en forme de bonnet par application sur un cylindre, est adaptée à la paroi latérale du creux HHGG; cette partie a le fond troué pour pouvoir être enfilée sur la tige de piston NN. A cette partie de vessie un deuxième ‘bonnet’ du même genre est appliqué à l'intérieur, fabriqué celui-ci de cuir mince tendu et imprégné d'huile. Après cela le disque GG en peau de chamois également imprégnée d'huile y est introduit, lequel presse fortement la dite vessie ainsi que le cuir mince contre le disque de fer CC. Sur ce disque GG on applique, en l'enfonçant dans le creux, un cylindre HH en cuir identique avec celui de EE; on dispose en outre contre la paroi de cet anneau cylindrique les morceaux de liége KK, et dans le reste du creux on introduit encore | |
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Ga naar margenoot+ De kraen [Fig. 40] was van hardt
[Fig. 40.]
houdt, met een dun leer, dat niet veel recken kost, omwonden, gelijck de steelen van maillesGa naar voetnoot1); en dan vet van olie gemaeckt, en 't gaetie daer door met een heet koperdraet gebrant. Dese kranen sijn perfect dicht. Het is beter in plaets van olie het leer te laten doortrecken van keersmeer. Ga naar margenoot+ 26 Dec. De pomp dicht gemaeckt. BB [Fig. 41] is de steel van den hengel, stekende door de prop. aen welke steel vast [Fig. 41.]
gesoudeert is met koper een ronde ijsere plaet CC. Tegen dese aen werdt van d'eene sijde geschoven de houte schijve AA, boven wat hol uyt gedraeijt, om plaets te maecken voor 't ijsere plaetje DD, daer mede vast geschroeft werdt. Boven aen de schijve AA is rondtom het leer EE gespijckert. van't dickste schoenleer. zijnde de schijve daer wat schuyns af gedraeijt, op dat de hoofden van de spijckerties FF niet souden uytsteken. Ende het leer op de voeghe schuijns gesneden op dat sonder dickte te maecken overmalkanderen kome te leggen. Voorts om het hol HHGGHH te vollen, soo werdt de prop met olie gesmeert sijnde in de kopere buijs MM gesteken die 't onderste boven tusschen een schroef wert vast geset; ende dan een mutsje van een verckensblaes, 't welck op een cylinder eerst soo gereckt werdt, tegen de kanten van 't hol HHGG in gepast; doch een gat in den bodem hebbende, om te konnen schuijven over den hengel NN. daer over noch een diergelijcke mutsje, van dun leer gereckt, en geoliet. Dan de schijf GG van seem leer vol olie in geschoven, dewelcke de voors. blaes en dun leer tegen de ijsere plaet CC aen druckt. Op dese schijf GG werdt neergeschoven een ringh van leer HH, van 't selfde als EE: Ende de stucken van korck KK rondtom tegen desen | |
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d'autres morceaux de liége tels que LL. Enfin on fourre entre tous ces morceaux, et aussi entre le cuir HH et les morceaux de liége KK, autant de laine qu'on peut, en se servant d'un petit ciseau mince et obtus; çà et là on y enfonce de plus quelques clous pour maintenir la laine d'autant mieux en place. Faisant rentrer ensuite un peu le corps de piston dans le tuyau (ce qui doit exiger un si grand effort qu'il faut tirer la tige NN avec une force presqu' égale au poids du corps humain) on verse sur la matière qui remplit le piston une couche d'huile de l'épaisseur d'un doigt et on laisse reposer une nuit pour que l'absorption s'effectue. Toutefois ma pompe à moi était de suite hermétiquement close. Ga naar margenoot+ Le même jour, le 26 décembre. Trouvé la recette d'un ciment plastique, composé de térébenthine mêlée d'un peu de cire fondue. Ce ciment-ci n'a nullement besoin d'être fondu à l'aide d'un fer chaud lorsqu'on met les cloches en position ou qu'on les enlève: quand on a enfoncé un peu la partie inférieure d'une cloche dans le ciment, celle-ci y pénètre davantage d'elle-même dès qu'on commence à évacuer l'air. Et lorsqu'on a enlevé la cloche, on aplanit le ciment du doigt. Ce ciment est très imperméable. Ga naar margenoot+ Le 27 décembre, je répétai l'expérience du 21 décembre et constatai avec étonnement que lorsque j'avais rempli la fiole A d'eau purgée d'air, celle-ci ne voulait pas redescendre lors même que j'avais évacué l'air aussi complètement que possible; mais lorsque j'eus retiré la fiole de la cloche et que j'y eus introduit une bulle d'air pas plus grosse qu'une graine de navette, l'eau descenditGa naar voetnoot1) jusqu'à la hauteur d'un pouce au-dessus de la surface plus basse de l'eau contenue dans le verre B. Aux premiers six coups le volume de la bulle augmentait chaque fois à peu près de la moitié, mais au septième coup le globe A se vida à moitié et au huitième le vide gagna plus que le globe entier. Lorsque je remplis de nouveau le globe, l'eau encore une fois ne voulut pas redescendre. Ga naar margenoot+ J'y introduisis ensuite une petite bulle d'air à peine visible, pas plus grosse qu'un cheveu. Celle-ci s'installa quelquepart contre la paroi du globe, après avoir quitté le fil de cuivre à l'aide duquel elle avait été introduite; mais après cinq ou six coups de pompe elle monta jusqu'en haut, ayant acquis environ la grosseur d'un grain de chènevis et Ga naar margenoot+ au septième coup elle s'étendit de nouveau si fortement qu'elle évacua d'eau la moitié du globe A, lequel au huitième coup, comme auparavant, se vida de plus de son volume entier. C'est ce qu'on devrait examiner plus amplement en se servant de tubes plus longs, de 2 ou 3 pieds. Il semble d'après ces expériences que l'air peut se dilater cent mille fois et davantage et exercer même dans cette condition une force grâce à son élasticité, à moins qu'il n'y ait encore à considérer dans ceci autre chose, inconnue jusqu'ici, que le poids de l'air et son élasticitéGa naar voetnoot2). | |
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ringh gestelt, en noch andere als LL in de overighe holte. Eyndelijck tusschen dit alles soo veel wol ingestampt met een kleyn smal en stomp beyteltie als mogelijck is, oock tusschen het leer HH en de korcken KK, ende hier en daer in 't leste een spyckertie geslagen om de wol te beter vast te doen houden. De prop daer nae een weijnigh in gedouwt sijnde (het welck soo traegh moet gaen dat men bijnae met het gewight van 't heele lijf aen den hengel NN daer toe moet hangen) soo giet men een vingerbreet olie boven op het vulsel van de prop, en laet se soo een nacht in trecken, doch de mijne was al terstondt perfect dicht. Ga naar margenoot+ Eod. 26 Dec. Sacht cement gevonden van terpentijn met weijnich was daer onder gesmolten. Dit hoeft men met geen heet yser te smelten als men de glasen op en af set, maer de selve daer een weynich met de onderste kant in gedouwt sijnde, perssen voorts van selfs daer door, als men de lucht begint uijt te pompen. Ende als men de fles af getrocken heeft, soo maeckt men het cement weer wat effen met een vinger. Ende is heel dicht. Ga naar margenoot+ 27 Dec. Het experiment van den 21 Dec. gerepeteert, ende met verwonderingh bevonden, dat als ick het glas A opgevolt hadde met water dat van lucht gesuijvert was, soo wilde het selve niet weder neersacken, hoewel ick de lucht soo nae als mogelijck uijt gepompt hadde; maer het selve uijtgenomen hebbende ende een bolletie van lucht soo groot als een raepsaedt alleenlijck daar in gedaen hebbende, soo quam hetGa naar voetnoot1) tot op een duijm nae aen de superficie van 't onderste water in 't glas B. De eerste 6 trecken wierdt het ontrent elcke reijs de helft grooter, maer de 7de wierdt den halven bol A leegh, de 8e meer als den heelen bol. als ickt weer op volde wilde weer niet om laegh; dede daer Ga naar margenoot+ nae een belletie van lucht daer in dat even sighbaer was, niet dicker als een haerbreet; dit bleef ergens aen de kant van den bol sitten, sijnde met een koperdraet daer in gebracht daer 't eerst aen kleefde, doch nae 5 a 6 mael pompens quam nae boven, sijnde ontrent geworden als een hennepsaedt, en de 7de Ga naar margenoot+ reijs reckten 't weder soo geweldigh dat het den halven bol A leedigh van water maeckte, die weder meer als heel ledigh wierdt met den 8e treck als te vooren. Dit most men vorder ondersoecken met langer pijpen van 2 à 3 voet. Het schijnt hier uijt dat de lucht wel hondert duijsend mael en meer sich uijtreckt, ende dan noch gewelt doet met sijn veerachtighe kracht, ofte daer moet behalven het gewight en de Elater van de lucht noch iets anders daer in te considereren sijn, tot noch toe onbekentGa naar voetnoot2). | |
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Ga naar margenoot+ Le 28 et le 29 décembre je répétai encore une fois la même expérience, remplissant le globe et son tube d'eau purgée, sans y introduire une bulle d'air. Après que j'eus donné 8 ou 9 coups de pompe, l'eau ne descendit pas encore, mais enfin j'aperçus une petite bulle d'air qui croissait à l'extrémité inférieure du tube, contre la paroi, comme elles en ont l'habitude. Cette bulle, ayant acquis peu à peu la grosseur d'une graine de chèvenis, se détacha et monta le long du tube, mais étant parvenue jusqu'en E [Fig. 42], à un pouce environ au-dessus de la surface de l'eau D, elle s'étendit vers le haut jusqu'à la paroi supérieure du globe A, tandis que la partie inférieure de la bulle était toujours en E. Et comme la bulle s'étendait ainsi vers le haut, l'eau quittait le globe A tout entier et la plus grande partie du tube, s'arrêtant à la hauteur E. Lorsqu'ensuite j'évacuai encore une ou deux fois, le niveau de l'eau baissa encore un peu. Ceci eut lieu si rapidement qu'on ne put guère voir de quelle façon les choses se passaient, mais la deuxième fois je pus mieux l'observer que la premièreGa naar voetnoot1). Lorsque je laissai rentrer de l'air, qui refoula l'eau de sorte que la fiole A en fut remplie, il y resta au-dessus de l'eau une bulle d'air plus grande qu'une graine de chènevis. Ga naar margenoot+ Cet air doit provenir de l'eau, car la petite bulle qui était montée en partant d'en bas était une bulle d'air dilaté qui sinon n'aurait pas été de grandeur visible. C'est pour cette raison sans doute que cet air, provenant de l'eau, s'y dissout de nouveau en moins de 24 heuresGa naar voetnoot2). Ga naar margenoot+ J'ai fait ensuite la même expérience en me servant de tubes droits. Dans ceux-ci j'ai trouvé la petite bulle d'air environ de la même grandeur que dans le globe. Ga naar margenoot+ Le 19 janvier 1662 je fis de nouveau la même expérience en me servant d'un tuyau de 2 pieds et .... pouces [Fig. 43]. L'eau avait été purgée d'air durant un jour et une nuit. Néanmoins après cinq ou six coups de pompe une petite bulle apparut sans que je pusse bien voir d'où, mais je crois qu'elle venait de tout en bas. Celle-ci commença à se dilater vers le haut à partir du point E, jusqu'à ce que l'eau, descendant depuis le sommet fermé du tuyau, s'arrêta en E. Lorsque je continuai à évacuer, le niveau s'abaissa encore de manière à n'être plus qu'un pouce au-dessus de celui de l'eau contenue dans le verre B. | |
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Ga naar margenoot+ 28 en 29 Dec. het selve experiment
[Fig. 42.]
[Fig. 43.]
nochmaels gerepeteert, vullende de bol en pijp daer aen met gesuyvert water, sonder blaesie van lucht daer in te doen, naer dat ick 8 à 9 mael getrocken hadt quam 't water noch niet om laegh, maer eyndelijck vernam een kleyn belletie van lucht, dat onder aen binnen de pijp groeijde, tegen de kant aen, gelijckse altijdt gewoon sijn. Dit allengs soo dick ontrent als een hennepsaedt geworden sijnde ginck los en steegh op in de pijp, doch gekomen sijnde tot in E [Fig. 42], een duijm ontrent boven de superficie van 't water D, reckten sich voort na boven toe uijt, tot boven in den top van den bol A, blijvende ondertusschen 't onderste deel aen E. En terwijl aldus nae bovenen reckten, sackten al 't water uijt het meestendeel van de pijp en bleef staen op de hooghde E. Ende daer nae noch eens of 2 mael lucht uijt halende quam noch een weynigh laegher. Het gingh soo schielijck in sijn werck dat men quaelijck recht sien konde hoe het toegingh, doch de 2e reijs merckten ick het perfecter als d'eersteGa naar voetnoot1). Als ick weer lucht in liet komen, waer door het water weder in A geperst wierdt, soo bleef een belletie van lucht daer boven in grooter als een hennep- Ga naar margenoot+ saedt, welcke lucht uyt het water moet komen, want het bolletie van onder op gekomen was van gereckte lucht, die anders geen sichtbare grootte soude gehadt hebben. Daerom oock die lucht uyt het water gekomen sijnde binnen 24 uren weder daer in trecktGa naar voetnoot2). Ga naar margenoot+ Dit selve hebbe oock daer nae met rechte pijpen beproeft, daer in het overblijvende belletie van lucht ommers soo groot bevond als dat in den bol. Ga naar margenoot+ 19 Jan. 1662. Weder het selve geexperimenteert met een pijp van 2 voet...... duym [Fig. 43]. het water was van lucht gesuijvert een dagh en nacht lang. doch evenwel nae 4 of 5 mael pompens quam daer een belletie, sonder dat ick te deghe sien kost van waer, maer geloof dat van onderen op quam, en begost sich van E opwaerts te dilateren, tot dat het water van boven uijt de pijp sinckende tot in E bleef staen; waer nae noch continuerende te pompen quam tot op een duijm boven de superficie van 't water in 't glas B. | |
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ACGF est un cylindre en verre sans fond; celui-ci repose sur le ciment plastique dont l'écuelle CG est remplie, et porte en guise de couvercle une écuelle en cuivre du même genre, également pleine de ce ciment. À cette écuelle est soudé un petit tuyau KH, à travers lequel passe le tube de verre, y étant figé avec du ciment après avoir été d'abord enveloppé d'un ruban. Ga naar margenoot+ Le 30 janvier l'eau avait continué à se purger d'air un jour de plus, mais pendant la nuit l'appareil avait cessé d'isoler et le tube s'était rempli d'eau avec cette exception qu'il s'y trouvait en haut une petite bulle grosse comme un pois. Après avoir démonté l'appareil, expulsé la bulle et remis tout en ordre, j'évacuai d'air le cylindre ACGF, la pompe étant hermétiquement close et travaillant bien, mais l'eau ne descendit pas et ne quitta donc pas le tube; nulle part aucune bulle ne se produisit dans toute la masse d'eau DD. Durant plus de deux heures je laissai les choses dans cet état et lorsque je revins pour examiner la situation, le tube était encore plein d'eau comme auparavantGa naar voetnoot1). Alors je fis rentrer l'air par le robinet. Ga naar margenoot+ Le 9 février je fis une expérience pour voir si, oui ou non, du mercure purgé d'air descendrait. Le tube AD [Fig. 44] fermé au sommet et plein de mercure était plongé, en bas, dans le même liquide. Ce tube avait une largeur telle que le petit doigt | |
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ACGF is een cylinder van glas sonder bodemen; staet onder in 't weeck cement in 't schoteltie CG, en is boven gedeckt met een diergelycke kopere schoteltie daer mede sulck cement aen is. ende een pijpje KH daer aen gesoudeert, daer de glase pijp door steeckt, en met ciment vast in is, eerst met lint omwonde. Ga naar margenoot+ 30 Jan. Had het noch een dagh te purgeren gestaen doch was 's nachts ondight geworden, en de pijp vol water gelopen, behalven een belletie boven in als een erwete, hebbende dan alles afgenomen en het belletie wegh gedaen en weder als te voren geset, soo pompten ick de lucht uijt het glas ACGF, zijnde de pomp perfect dicht en goet, doch het water en quam uijt de pijp niet om leegh, noch in 't gansche water DD quam nergens eenigh belletie te voorschijn. Ick liet het meer als 2 uren soo staen ende als daer weder quam nae sien, was de pijp noch als te voren vol waterGa naar voetnoot1). doen liet ick door de kraen lucht in komen. Ga naar margenoot+ 9 Febr. geproeft of gepurgeert quicksilver (van lucht) niet neer[Fig. 44.]
soude komen. de pijp AD [Fig. 44] boven toe en vol quicksilver, stond onder mede daer in. was van de wijdte dat de kleenste vinger daer bijnae in konde, en eerst 11 duijm lang, daer nae afgekort tot op 5, 4, en endelyck dat min als 2 duym boven 't quicksilver uytstack. doch het quicksilver uyt de pijp quam door het pompen altijdt om leegh; hoe seer ick het meijnde van lucht gesuijvert te hebben. Evenwel saghmen even te vooren eer het neersackte geen lucht met allen boven in de pijp, daer van daen het nochtans schielijck begost te sincken. Doch een weijnigh gesoncken sijnde, als men lucht liet in komen, soo bleef er altijdt boven in de pijp een klein stippeltie, dat pas sienlijck was, van luchtGa naar voetnoot2). | |
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pouvait presqu'y entrer. Primitivement il avait une longueur de 11 pouces, ensuite il fut raccourci jusqu'à ne mesurer plus que 5, puis 4, pouces; enfin il fut rendu si court qu'il ne s'élevait que de deux pouces au-dessus du mercure ambiant. Mais dans tous ces cas le mercure du tube descendait par l'évacuation de l'air, quelque parfaitement que je croyais l'avoir purgé d'air. On ne voyait pourtant, un instant avant que le mercure commençait à descendre, point d'air du tout dans le sommet du tube; se détachant néanmoins de ce sommet, le mercure baissait rapidement. Mais lorsque le mercure était tombé quelque peu et qu'on laissait rentrer l'air, il restait toujours à l'extrémité supérieure du tube un globule d'air à peine visible. [voir la note 2 de la p. 324]. Ga naar margenoot+ Conformément à la proportion de la gravité du mercure à celle de l'eau, le mercure dans les tubes les plus courts aurait dû rester tout aussi bien en suspens, sans descendre, que l'eau dans le tuyau de 2 pieds et .... pouces. C'est pourquoi je doute s'il ne restait pas encore un peu d'air dans le mercure. On dirait cependant qu'il n'y en avait pas puisqu'il ne se montra nulle part avant que le mercure commença à descendre. Ga naar margenoot+ Il est bien difficile d'expulser tout l'air du tube à mercure. Je commençai par remplir le tube, ensuite je le mis sous le récipient et fis descendre le mercure, puis, ouvrant le robinet, je le fis remonter. Lorsqu'ensuite je retournai le tube, l'air qui y était ne voulut pas quitter la paroi inférieure et monter, mais dut en être retiré avec un mince chalumeau. Ga naar margenoot+ Jamais aussi je ne réussis a faire baisser le mercure dans le tube jusqu'au niveau qu'il aurait dû atteindre en comparaison avec l'eau; en effet, l'eau purgée descend jusqu'à un pouce au-dessus du niveau de l'eau environnante, et le mercure ne descend que jusqu'a un demi-pouce ou un peu moins. La raison en est que plus d'air provient de l'eau que du mercure, tandis que l'eau tiède en produit encore beaucoup plus; c'est pourquoi cette dernière baisse encore plus que l'eau froideGa naar voetnoot1). Car il est certain que l'air occupant la partie délaissée du tube, quelque dilaté qu'il soit, exerce pourtant encore une certaine pressionGa naar voetnoot2). Ga naar margenoot+ Comme l'eau purgée se maintient dans le tube AE [Fig. 42] à une hauteur de 2 pieds et davantage, après évacuation aussi complète que possible du récipient S, il s'ensuit que le peu d'air qui reste dans ce dernier exerce encore, grâce à son élasticité, une si grande pression sur l'eau D que les deux pieds d'eau nommées sont portés par luiGa naar voetnoot3). Mais on constate que lorsque la moindre bulle d'air (qui cependant se dilate en ce moment jusqu'à la grosseur d'un grain de chènevis) est introduite dans le tube EA, le niveau de l'eau descend jusqu'en E et s'y arrête, ED ayant la hauteur d'un pouce seulement. Nécessairement cette petite quantité d'air, quoique distribuée sur un espace | |
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Ga naar margenoot+ Nae de proportie van swaerheijt van 't quicksilver tegens water, soo most het in het kortste pijpien even soo wel hebben blijven staen sonder uyt te sincken, als het water in de pijp van 2 voet .... duym. Daerom twijffel of er niet noch eenige lucht in 't quicksilver overigh was, alhoewel der geen schijnt geweest te sijn, dewijl nergens te voorschijn Ga naar margenoot+ quam eer het neer begost te sacken. Het is seer moeyelijck al de lucht uyt de pijp met quicksilver te krijgen. Ick gootse eerst vol, daer nae settense in 't recipient en dede 't quicksilver om leeg komen, en dan de kraen openende, waer om hoogh. Dan de pijp omkeerende, wilde de lucht die er in was niet van onderen[Fig. 42.]
op komen, maer most met een dun spaentie uyt gehaelt werden. Ga naar margenoot+ Het quicksilver en konde ick oock noijt so leegh brengen in de pijp als behoorde te komen naeradvenant van 't water, want het gepurgeert water komt tot op een duijm aen 't onderste water, en het quicksilver alleen tot op een halven duijm of weijnigh min. De reden is om dat uijt het water meer luchts voortkomt als uijt het quicksilver, en uijt laeuw water noch veel meer, daerom sackt dit noch meerder als koutGa naar voetnoot1), want het is seecker dat de lucht die in 't verlaeten deel van de pijp is, hoe seer die gereckt is, evenwel noch persinghe maecktGa naar voetnoot2). Ga naar margenoot+ Dewijl het gepurgeert water 2 voet en meer hoogh blijft in de pijp AE [Fig. 42] staen, als ick de lucht soo veel mogelijck is uijt het recipient S getrocken heb, soo volght dat het weijnigh lucht daer in resterende door de kracht van sijn veer noch soo sterck perst op het water D, dat daer door de voornoemde 2 voet water om hoogh gehouden werdenGa naar voetnoot3). Maer men bevindt dat het minste belletie van lucht in de pijp EA komende (twelck nochtans sich dan tot de grootte van een hennepsaedt vermeerdert), het water tot in E neer valt, en soo blijft staen, sijnde ED maer een duijm hoogh. Soo moet nootsaeckelijck die kleine quantiteyt van lucht, alhoewel in soo grooten plaets verdeelt als is den bol A met de pijp | |
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de la grandeur du globe A et de son tube, doit donc encore exercer sur l'eau E une pression égale à celle des 23 pouces d'eau qui se trouvaient d'abord au-dessus de ce niveauGa naar voetnoot3). Car si la surface E éprouvait de la part de ce peu d'air une pression moindre que celle que l'eau exerçait primitivement sur elle, la pression de l'air en S l'emporterait et ferait monter le niveau E de l'eau, attendu que cette dernière pression était capable de balancer la force exercée sur E par 23 pouces d'eau. Il s'ensuit que lorsque l'eau descend dans un tuyau par l'effet d'une pompe, c'est toujours le peu d'air qui se trouve au-dessus d'elle qui exerce la pression nécessaireGa naar voetnoot3). Il apparaît en outre que l'air, lorsqu'il n'éprouve qu'une certaine faible pression, attire et unit à soi encore une autre quantité d'air provenant de l'eau, et que les deux combinés peuvent se dilater de manière à occuper un grand volume; en effet, la petite bulle D (lorsque le tube AD est encore plein d'eau, et que le récipient S a été évacué) ne se dilate pas beaucoup en montant de D en E, mais à partir de là elle envahit tout l'espace AE, ce qu'elle peut faire grâce surtout à l'air provenant de l'eau: on le constate en laissant entrer l'air par le robinet, car alors on trouve à l'extrémité supérieure de A une bulle d'air grande comme une graine de chènevis, tandis que la bulle d'air D était si petite qu'on ne la voyait guère. Mais il n'est pas facile de dire comment l'air sort de l'eau (car dire qu'on tire cet air de l'eau, c'est ne rien dire du tout) et pourquoi il n'en sort pas davantage, et comment l'air y rentre si lentement par après. Il semble que cet air provenant de l'eau a un plus grand pouvoir de s'étendre que l'air ordinaire, car si l'on introduit dans A une bulle d'air de la grandeur de deux graines de chènevis l'eau ne descend que très peu en-dessous du niveau où elle parvenait grâce à la pression exercée sur elle par l'air provenu de l'eau qui occupait la moitié seulement du volume mentionné. Car sinon une double quantité d'air, la pression étant la même, devrait se dilater deux fois plus. Le 20 février 1662. Examiné la pesanteur de l'air. Je pesai d'abord le plus grand récipient de verre avec son grand et son petit couvercle, le récipient étant bien essuyé tant à l'intérieur qu'à l'extérieur. Après avoir trouvé son poids exact qui était d'une livre et de 12½ onces, je le plaçai sur l'écuelle et l'évacuai aussi complètement que possible; le pesant alors de nouveau je trouvai que son poids était inférieur de 9/32 demi-once au poids placé dans la balance avec lequel il faissait d'abord équilibre. Mais lorsque j'eus laissé rentrer l'air dans le récipient, il pesa de nouveau autant qu'auparavant. Attendu que le récipient évacué ne contenait pas d'air, ou peu d'air, le poids de l'air qui le remplissait d'abord était donc un peu plus de 9/32 demi-once. Mais l'eau qui emplit le même récipient pèse 137½ onces ou 275 demi-onces. Par conséquent, comme 9/32 demi-once est à 275 demi-onces, c.à.d. comme 1 est à 978, ainsi serait la gravité de l'air à celle de l'eau: toutefois, comme l'air pesait un peu plus de 9/32 demi-once, et que le récipient ne peut être évacué complètement, il faut augmenter quelque peu la grandeur de cette proportion, savoir à 1 : 970 ou un nombre approché. Répétant la même expérience le même jour, je n' évacuai pas le récipient aussi complètement et je trouvai de la manière décrite ci-dessus le poids de l'air chassé de | |
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daer aen, evenwel noch soo sterck drucken op het water E, als te vooren daer op druckte de 23 duijm water die daer op stondenGa naar voetnoot3). Want indien de superficies E minder gedruckt wierd van dat weynigh luchts, als te vooren van 't water, soo soude de persingh van de lucht in S d'overhandt nemen en het water E hooger op jaegen, dewijlse machtigh was te wederstaen de persingh van de 23 duijm water op E. Het volght hier uijt dat het water in een pijp door 't pompen om leeg komende, altijdt van de weijnigh lucht daer boven geperst wertGa naar voetnoot3). Voorts soo blyckt dat de lucht alleenlijck met een seeckere kleine kracht geperst werdende, alsdan noch andere lucht uyt het water treckt en tot sich vergaert die dan te samen seer wijdt uyt konnen recken, want het kleine belletie D (als de pijp AD noch vol water is, en het recipient S geleeght) opklimmende van D tot E reckt sich niet veel; maer daer van daen voorts beslaet het de gansche spatie van AE, doch meest door de lucht uijt het water komende, 't welck blijckt als men de lucht door de kraen in laet komen, want dan vindtmen een belletie van lucht boven in A soo groot als een hennep saed, daer het belletie D soo klein geweest is dat het onsighbaer was. Doch hoe de lucht uijt het water gehaelt werdt is niet licht te seggen, (want getrocken te werden is niet met al geseijt) en waer om der niet meer uyt en komt, en hoe die er daer nae soo langhsaem weer in gaet. Het schijnt dat die lucht uyt het water komende grooter kracht van sich uyt te breijden heeft als andere gemeene lucht; want als men al 2 hennepsaden groot lucht in A doet soo komt het water maer weijnigh leegher als het door de lucht uyt het water gekomen, die maer half soo veel is, geperst werdt. Want anders behoorden dubbele quantiteijt van lucht sich 2 mael meer uyt te strecken, zijnde de persing de selve. 20 febr. 1662. De swaerte van de lucht ondersocht. Ick woegh eerst de grootste fles met sijn groot en klein decksel, sijnde de fles van binnen en buyten schoon afgeveeght, en haer gewight juijst gevonden hebbende, het welck was van 1 pond. 12½ onc. soo liet ick het in de schael staen en trock doen de lucht uijt de fles, soo nae als konde; welcke daer nae weder wegende, bevond dat ruijm 9/32 van een loot te licht was voor het gewicht in de schael leggende, dat se te vooren opwoegh. doch weder lucht in de fles latende, woeghse weer even soo veel als te vooren. Dewijl dan de fles uijtgepompt sijnde geen of weijnich lucht in hadt, soo was dan 't gewicht van de lucht die se te voren vulde van ruijm 9/32 van een loot. Maer het water dat de selve fles vult weeght: 137½ once of 275 loot. Ergo gelijck 9/32 van een loot tot 275 loot, dat is gelijck 1 tot 978, soo soude het gewight van lucht tot water sijn: doch om dat de lucht ruijm 9/32 loots woegh, en de fles noijt heel ledigh van lucht wert, soo moet dese proportie wat groter genomen werden te weten als van 1 tot 970 of daer ontrent. Eodem. Noch het selfde ondersocht sijnde de fles niet soo wel geleeght, bevond op de manier als boven het gewicht van de lucht die daer uytgepompt was juyst ¼ loot. | |
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l'appareil exactement égal à ¼ demi-once. Pour savoir maintenant combien d'air avait été expulsé, je plongeai le récipient dans de l'eauGa naar voetnoot1) et ouvrant l'orifice j'y laissai entrer l'eau librement: elle s'y élança avec impétuosité, faisant l'effet d'une fontaine. L'eau qui prit ainsi la place de l'air expulsé, pesait 120¼ onces ou 962/4 demi-onces. On tire de là, pour la valeur de la proportion de la gravité de l'air à celle de l'eau, 1 : 962. Cette expérience est plus exacte que celle qui précèdeGa naar voetnoot2). Pour la méthode d'enlever le récipient A de l'appareil [voir la Fig. 46]. BFGC, soit dit d'abord, est une coupole en fer-blanc, ouverte en bas et placée dans la petite écuelle à ciment BC, fermée en haut en FG, surface un peu creusée, sur laquelle est appliquée une plaque de cuivre de même forme et de même grandeur mais pourvue de deux petites oreilles H, K, légèrement recourbées vers le bas. Là-dessus se trouve le récipient A, dont le couvercle en cuivre DE est appuyé sur la plaque. Chacune de ces trois plaques est percée d'un petit trou circulaire, et entre chaque couple de plaques se trouve du ciment plastique avec lequel elles sont collées l'une sur l'autre, de telle manière que les trois trous se trouvent l'un au-dessus de l'autre; à cet effet un fil de cuivre est passé à travers les trois trous, tandis que les plaques sont serrées l'une contre l'autre aussi fortement que possible. L'air ayant été ensuite expulsé du volume BFGC ainsi que du récipient A, on donne au récipient A un petit mouvement horizontal en maintenant la plaque HK en place, de sorte que les petites ouvertures de cette plaque et de DE ne se correspondent plus, mais sont bouchées l'une et l'autre par le ciment plastique. Ensuite on donne un mouvement horizontal à la plaque HK avec le récipient A qui y adhère, et on enlève les deux ensemble, le récipient A restant de sorte fermé et vide. Il ne faut pas mettre beaucoup de ciment entre les dites plaques, car sinon il arrive aisément que pendant l'évacuation les petits trous s'en bouchent. Inutile aussi d'en entourer de très près le petit trou en FGGa naar voetnoot3).
IV. § 6Ga naar voetnoot4). Le 7 oct. 1662. Puisque d'après la méthode primitive de Boyle la | |
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Om nu te weten hoe veel luchts daer uyt was getrocken, soo dompelden ick de fles onder waterGa naar voetnoot1), en doen het gaetjen openende, liet daer soo veel water in lopen als wilde, 't welck met groot gewelt als een fonteijn daer in sprongh. Het water dan dat de plaets van d'uytgetrocken lucht vervulde, woegh 120¼ onc. dat is 962/4 loots. Waer uyt dan de proportie der swaerheden der lucht tot het water komt als 1 tot 962. Dit experiment is correcter als 't voorgaendeGa naar voetnoot2). [Fig. 46]
Om de fles A [Fig. 46] uytgepompt sijnde af te konnen nemen van de machine, soo is eerstelijck BFGC een rond huysje van bleck, onder open en int schoteltie met cement BC staende, en boven toe in FG welck bodemtie een weijnigh hol in gaet; op het selfde komt een kopere plaetie van de selve figuer en grootte als het bodemtie, doch met 2 oorties, wat nederwaerts gebogen H, K. Hier boven staet de fles A met sijn kopere decksel DE op. Door ieder nu van deze 3 plaeten is een klein gaetie ○. en tusschen elcke 2 leght weeck cement, waermede op malkander geplackt werden, doch soo dat de 3 gaeties recht overmalkander komen, waartoe een koperdraet door alle 3 gesteken werdt terwijl mense soo vast als mogelijck is op malkander douwt. De lucht dan uyt het block BFGC en te gelijck uijt de fles A gepompt sijnde, soo verschuijft men eerst de fles A een weijnigh, houdende het plaetie HK vast, soo dat de gaeties van dit en van BE niet meer over een en komen, maer beijde door het weeck cement gestopt sijn. Dan verschuyftmen voorts het plaetie HK met de fles A daer boven op, en werden beyde te samen afgenomen, blijvende de fles A daer mede dicht en ledigh. Men moet niet veel cement tusschen de voorseyde bodemties doen, want anders gebeurt het lichtelijck dat in 't uytpompen de gaetjes door 't cement gestopt werden. Het en behoeft oock niet dicht om het gaetje in FG te leggenGa naar voetnoot3).
IV. § 6Ga naar voetnoot4). 7 Oct. 1662. Om dat op d'oude manier van Boile de pomp met moeijte | |
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pompe ne pouvait que difficilement être rendue hermétiquement close, et qu'elle perdait bientôt cette qualité, il m'a semblé bon de retourner sens dessus-dessous le tuyau de cuivre, comme la figure ci-jointe [Fig. 47] l'indique, de sorte que le piston se meut de bas en haut lorsqu'on tourne la manivelle. Toutefois [on n'élève] pas entièrement [le piston], mais seulement à une distance près qui est égale à 2 ou 3 fois la largeur d'un doigt, et on remplit ce volume d'eau. Par ce moyen l'entrée de l'air dans le cylindre est rendue impossible même lorsque le corps du piston n'est pas parfaitement imperméable; un peu d'eau seulement suinte à travers. Le robinet doit maintenant être placé au milieu de la paroi cylindrique; de là part le tuyau de cuivre AC, qui est soudé à l'écuelle de cuivre E, mais attaché à A avec du ciment plastique seulement; il porte un petit disque appliqué contre la pièce de cuivre dans lequel tourne le robinet. B est un morceau de cuir qui ferme le petit orifice [indiqué dans la figure] lorsqu'on élève la tige du piston en tournant la manivelle; ce morceau de cuir s'écarte, lorsqu'on fait descendre le piston de la même manière, et laisse écouler dans le bassin F le peu d'eau qui a suinté à travers le corps du piston. Cette méthode est beaucoup meilleure que celle de Boyle. Le 8 oct. 1662 je plaçai sous la cloche une pomme crue encore assez dure. Elle s'enfla un peu de tous côtés. Lorsque je laissai rentrer l'air, son volume diminua notablementGa naar voetnoot1). | |
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[Fig. 47.]
konde dicht gemaeckt werden, en ras weer leck wiert, soo heb ick goet gevonden de kopere buijs t'onderste boven te setten, als hier geteyckent staet [Fig. 47], soo dat de suijger naer boven toe uytgewonden wert. Doch niet geheel, maer op 2 of 3 vingerbreet nae, dewelcke met water gevult worden; waer door onmogelijck is dat er lucht in de buijs komt, alhoewel de prop niet heel dicht is, maer alleen een kleijn weynigh water. De kraen komt nu ter sijden midden aen de buijs, en daer van daen de kopere pijp AC, die aen't kopere schoteltie E vast gesoudeert is, maer aen A alleenlyck met sacht cement aengeset, hebbende een ront plaetie dat tegen het koper daer de kraen in steeckt aen komt. B is een leertie dat het klein gaetie stopt als men de stamper uytwindt, en wert daer van geschoven als men de stamper weer neer windt om het weynighe water dat door de prop ingedrongen is uyt te laeten loopen in 't backie F. Dese manier is veel beter als die van Boile. 8 Oct. 1662. Een rauwen appel die noch vrij hardt was onder het glas geleght, swoleen weynigh op aen alle kanten; en weder lucht inlaetende, slonck merckelijckGa naar voetnoot1). |
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