dat sijn bovenste platien ECGa naar voetnoot1) niet noodsaeckelijck is, noch behoeft in 't spiegeltie te schijnen dewijl, in plaets van dat schijnsel alleen van noden is met een diamant een schrab op het spiegeltie te trecken.
Traduction:
Que sa petite lame de dessus ECGa naar voetnoot1) est superflue et qu'il n'est pas nécessaire que l'image de cette lame soit observée dans le petit miroir, attendu qu'au lieu d'employer cette image il suffit de tracer une ligne sur le petit miroir avec un diamant.
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voetnoot1)
- La Pièce a été empruntée à la p. 73 du Manuscrit B. Consultez sur sa portée les p. 522-523 de l'‘Avertissement’ qui précède. Voici ce qu'on lit sur la figure: ‘plat glas sonder foelie’ (verre plat sans tain).
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voetnoot2)
- D'après le lieu que la Pièce occupe au Manuscrit B.
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voetnoot3)
- Ce premier alinéa et les trois suivants se rapportent à une arbalète ordinaire.
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voetnoot3)
- Ce premier alinéa et les trois suivants se rapportent à une arbalète ordinaire.
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voetnoot4)
- Voir p.e. la p. 6 du treizième Chapitre de l'ouvrage de van Breen, dont nous parlerons dans la note suivante. Van Breen y remarque que chez les arbalètes ordinaires une erreur provient de l'impossibilité de faire coïncider le centre de l'oeil avec le bout du bâton de l'arbalète.
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voetnoot5)
- Cet alinéa et les suivants se rapportent à un instrument, inventé par Joost van Breen, où l'addition d'un miroir permet de mesurer la hauteur en tournant le dos â l'astre observé. On trouve la description et le dessin de cet instrument aux p. 9-19 du treizième et dernier Chapitre de l'ouvrage: ‘Stiermans Gemack, Ofte een korte Beschryvinge van de Konst der Stierlieden. Daer in alle Voorstellen ('t sy dezelve voorvallen in de Cromstreecx Rekeninge, ofte in de Clootsche Werckstucken seer duydelijck ende gemackelijck (door toebereyde Tafelen, in klare getallen, sonder eenige calculatie werden opgelost, tot groote verlichtinge voor den Stierman inde dagelijckse practijcke, ende oock de aenkomende Leerlingen in de Rekenkonst niet wel ervaren synde, alsmede voor die geene die de fondamenten der selver konst in 't korte soude trachten te begrypen. Mitsgaders de Beschrijvinge en 't gebruyck van een nieuwe geinventeerde Graetboog, daer mede men by nacht de Sterren van achteren mach schieten, en oock by dage de Son, schoon hy geen schaduwe en geeft, maer dat men hem alleen flaeuwelijck sien mag, tot groot gerijf voor den Zeeman. Alles gecalculeert en geinventeert door Joost van Breen van 's Gravenhage, Liefhebber der vrye Konsten, eertyts bij der zee gevaren hebbende, ende nu bedienende 't Equipagemeesterschap van hare Ed. Mog. ter Admiraliteyt in Zeelandt tot Middelburgh, ende mede Schips Ycker en Wynroeyer aldaer. In 's Graven-Hage, gedruckt by Iohannes Rammazeyn, voor loost van Breen en Iohannes Tongerloo, Boeckverkooper in 's Gravenhage, 1662. Met Privilegie voor vijfthien Iaren.’
Nous reproduisons icî à deux tiers de sa grandeur véritable le dessin en question:
Remarquons que les Pièces EC ed FD peuvent être fixées en trois différents endroits, savoir: pour les petites hauteurs respectivement en H et G; pour les hauteurs intermédiaires comme la Figure l'indique; pour les grandes hauteurs en des endroits qui ne sont pas indiqués puisqu'ils tomberaient en dehors de l'espace occupé par la Figure. La tige AB, sur laquelle on fait glisser la Pièce A avec le petit miroir KILM, est munie de trois échelles différentes (invisibles dans la Figure) qui correspondent chacune à l'une des trois situations des Pièces EC et FD.
Pour faire une observation de la hauteur du Soleil on place l'oeil devant la fente R et l'on manoeuvre (en faisant glisser le miroir le long de la tige) de sorte que l'image du bord supérieur de la Pièce EC coïncide avec l'horizon et avec le centre de l'image du Soleil.
Ajoutons que l'instrument pouvait être arrangé aussi de manière à prendre la hauteur du Soleil à l'aide de l'ombre du bord supérieur de la Pièce EF sur une plaque qui remplace le miroir KILM.
Van Breen avait obtenu des États Généràux des Provinces Unies le privilège (daté du 25 septembre 1660) de la fabrication et de la vente de l'instrument.
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voetnoot4)
- Voir p.e. la p. 6 du treizième Chapitre de l'ouvrage de van Breen, dont nous parlerons dans la note suivante. Van Breen y remarque que chez les arbalètes ordinaires une erreur provient de l'impossibilité de faire coïncider le centre de l'oeil avec le bout du bâton de l'arbalète.
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voetnoot5)
- Cet alinéa et les suivants se rapportent à un instrument, inventé par Joost van Breen, où l'addition d'un miroir permet de mesurer la hauteur en tournant le dos â l'astre observé. On trouve la description et le dessin de cet instrument aux p. 9-19 du treizième et dernier Chapitre de l'ouvrage: ‘Stiermans Gemack, Ofte een korte Beschryvinge van de Konst der Stierlieden. Daer in alle Voorstellen ('t sy dezelve voorvallen in de Cromstreecx Rekeninge, ofte in de Clootsche Werckstucken seer duydelijck ende gemackelijck (door toebereyde Tafelen, in klare getallen, sonder eenige calculatie werden opgelost, tot groote verlichtinge voor den Stierman inde dagelijckse practijcke, ende oock de aenkomende Leerlingen in de Rekenkonst niet wel ervaren synde, alsmede voor die geene die de fondamenten der selver konst in 't korte soude trachten te begrypen. Mitsgaders de Beschrijvinge en 't gebruyck van een nieuwe geinventeerde Graetboog, daer mede men by nacht de Sterren van achteren mach schieten, en oock by dage de Son, schoon hy geen schaduwe en geeft, maer dat men hem alleen flaeuwelijck sien mag, tot groot gerijf voor den Zeeman. Alles gecalculeert en geinventeert door Joost van Breen van 's Gravenhage, Liefhebber der vrye Konsten, eertyts bij der zee gevaren hebbende, ende nu bedienende 't Equipagemeesterschap van hare Ed. Mog. ter Admiraliteyt in Zeelandt tot Middelburgh, ende mede Schips Ycker en Wynroeyer aldaer. In 's Graven-Hage, gedruckt by Iohannes Rammazeyn, voor loost van Breen en Iohannes Tongerloo, Boeckverkooper in 's Gravenhage, 1662. Met Privilegie voor vijfthien Iaren.’
Nous reproduisons icî à deux tiers de sa grandeur véritable le dessin en question:
Remarquons que les Pièces EC ed FD peuvent être fixées en trois différents endroits, savoir: pour les petites hauteurs respectivement en H et G; pour les hauteurs intermédiaires comme la Figure l'indique; pour les grandes hauteurs en des endroits qui ne sont pas indiqués puisqu'ils tomberaient en dehors de l'espace occupé par la Figure. La tige AB, sur laquelle on fait glisser la Pièce A avec le petit miroir KILM, est munie de trois échelles différentes (invisibles dans la Figure) qui correspondent chacune à l'une des trois situations des Pièces EC et FD.
Pour faire une observation de la hauteur du Soleil on place l'oeil devant la fente R et l'on manoeuvre (en faisant glisser le miroir le long de la tige) de sorte que l'image du bord supérieur de la Pièce EC coïncide avec l'horizon et avec le centre de l'image du Soleil.
Ajoutons que l'instrument pouvait être arrangé aussi de manière à prendre la hauteur du Soleil à l'aide de l'ombre du bord supérieur de la Pièce EF sur une plaque qui remplace le miroir KILM.
Van Breen avait obtenu des États Généràux des Provinces Unies le privilège (daté du 25 septembre 1660) de la fabrication et de la vente de l'instrument.
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