Briefwisseling. Deel 3: 1640-1644
(1914)–Constantijn Huygens–
Auteursrecht onbekend2472. A. Rivet. (L.B.)Pater Mersenne wordt lastig. Hij vraagt mij nu, waarom gij kolonel zijt gewordenGa naar voetnoot1). Ik zal hem inlichten. - ‘Nostre petite guerre de Leyden se renouvelle. Monsieur de Saumaise est sur son partement. Mais il nous a redemandé sa paroleGa naar voetnoot2), pour ce qu'il pretend avoir des preuves concluantes que | |
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Mons. Heinsius a suggeré a CyprianusGa naar voetnoot1) les injures qu'il dit a SphalonasiusGa naar voetnoot1), en un petit eserit virulentissime. Il avoit desja donné a plusieurs de ses amis l'ÉpicteteGa naar voetnoot2), etc. Mais il l'a arresté, pour y adjouster une preface historique du plagium pretendu dudit S.r Heinsius, et se propose estant a Paris de pelauderGa naar voetnoot3) Boxhornius, en deschirant CoprianusGa naar voetnoot1). Et sur ce que je luy ai dit qu'en cette humeur je craignoy qu'on le retint là, il m'a respondu qu'il n'avoit garde, et que quand il en auroit eu dessein, à present il est resolu de retourner au plustost. Il a reçeu par Monsieur BoswelGa naar voetnoot4) force tactiques grecs manuscripts, et trouvera l'UrbiciusGa naar voetnoot5) a Paris, et promet d'apporter avec luy sa Milice complette, qui devra estre meilleure que celle qu'il exerce a present. Pour se destascher du tout de la cour de France et de l'esperance de quelques prelats il laisse ici a imprimer en son absence son livre de primatuGa naar voetnoot6). Et vous verréz encore en peu de jours un escrit polemique au S.r BewervikGa naar voetnoot7), qui l'a questionné sur un aphorisme d'Hypocrate. Cela a engendré un livret de la grosseur d'un poulce. Il dit que Mons. Heinsius a coustume de dire que Salmasius cacat libros, et ejus uxor mingit liberos. Ce seroit un discours un peu gros. Quo non mortalia pectora cogis, doctorum, maxime criticorum, aemulatioGa naar voetnoot8). C'est trop vous entretenir parmi tant d'autres occupations’ ..... De la Haye, le 6 Aoust 1640. |
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