Primevères(1834)–André van Hasselt– Auteursrechtvrij Vorige Volgende [pagina 73] [p. 73] A l'ombre den Napoléon. Der auf dem Altar des Siegs Funken und Flammen geweckt. Körner. Non, je ne t'ai pas vu de ton magique drame Dérouler fil à fil la merveilleuse trame, Acteur géant jouer tes rôles surhumains, Roscius couronné ravir la foule avide; J'étais encore enfant, que la scène était vide Et qu'on ne battait plus des mams Pourtant, lorsque, fermant ta poétique histoire, On proclama ta mort plus haut qu'une victoire, J'allai te lapidant de malédictions, Parce que, vingt-cinq ans, ta formidable épée Dépeça, dans les flots de tant de sang trempée, La liberté des nations. [pagina 74] [p. 74] Car les rois nous disaient: ‘L'univers sera libre! ‘La balance à la fin reprendra l'équilibre: Le trône a ses devoirs, et le peuple a ses droits. La justice par nous règnera sur la terre.’ Et je posai les pieds sur ton nom militaire, Crédule aux promesses des rois. Mais, tyran pour tyran, tu valais mieux, grand homme Qui ne vis qu'un hochet pour un enfant dans Rome, Et, mesurant le monde au pas de les guerriers, Bâtis avec l'airain des canons ta mémoire; - Car nos chaînes, du moins, tu les dorais de gloire, Et couvrais nos fers de lauriers! Décembre 1829. Vorige Volgende