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Additions.
Tome IV.
p. 177. |
l. 8. La contrée du 311. Il ne peut être question ici que de la Hollande ou du Pays-Bas. |
p. 375. |
l. 2. Th. de Banos. Languet écrit, de Francfort, le 14 juin 1577: ‘Banocius noster mittitur ab Ecclesiis Belgicis, quae hic et in Palatinatu exulant, ad Synodum, quae indicta est Dordracum... Est vir bonus et doctus, ac tui observantissimus:’ Ep. ad. Sydn. p. 270. |
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Tome V.
p. 437. |
l. 22. Un autre escrit. Apparemment le no 644. En ce eas le no 622 seroit aussi écrit dans les premiers jours de novembre, et se rapporteroit à une Union plus intime que la Pacification de Gand. |
p. 468. |
l. 3. Les conseils du Prince furent suivis. Le Duc de Terra-Nova écrit en 1579: ‘Consideretur.... quam facilis et expedita suprema totius negotii conclusio, tempore |
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pacis Gandavensis, nuper exstiterit; comperietur sane nec provincias particulares tunc temporis cum tanto apparatu consultas fuisse; imo vix unicum mensem universo negotio impartitum extitisse:’ Acta Pacif. Colon. (Antv. 1580): p. 252. |
p. 536. |
l. 12. Guillaume de Cats. Il épousa la veuve de Charles de Boisot. Suppl. au Nobil. de Brabant, p. 52. |
p. 551. |
Morton, Régent d'Ecosse. Le 14 mai 1575 Languet écrit: ‘Dicunt Administratorem Scotiae obtulisse Principi Orangio quinque millia militum:’ Ep. secr. I. 2. 91. |
p. 519. |
l. dern. [couler] lisez couler. De même; ‘faire couller les hommes qui sont nécessaires pour la garde des places:’ de Jonge, On. St. II. 68. |
p. 597. |
l. 3. 't castecl. Il vient de paroître un Essai sur l'histoire de ce château, spécialement en 1576 et 1577 (Proeve eener Geschiedenis van het Kasteel Vredenburg, Utrecht 1838). L'Auteur, M. van Bolhuis (le même auquel nous devons une Histoire des Normands dans les Pays-Bas; de Noormannen in Nederland, Utrecht 1834), se fondant en partie sur des pièces inédites, communique beaucoup de détails curieux. |
p. 608. |
l. 17. Torrentius. Chez Bor son nom est presque méconnoissable: ‘de Archidiaken Terrentonez:’ p. 839b. |
ibid. |
l. 25. H. de Bloyere. En 1583 Bourguemaitre de Bruxelles: v. Meteren, p. 204d. |
p. 618. |
1. 5. à Bruxelles. Une Lettre (sans doute de Nic. de Wolfriad; p. 608), datée de Huy le 27 janv. 1577 et publiée par Mr G.v. Hasselt (Stukken v. de Vad. Hist. III. no 50), nous semble assez remarquable, relativement aux négociations avec D. Juan, pour en extraire les passages suivants. ‘Le point de l'aggréation de la paix faicte avecq le Prince d'Orange a esté embrassé, et après avoir disputé jusques à hyer à 9 heures de nuit, quelque intercession que sceuventGa naar voetnoot1 faire Monsr le Rme nostre Prince et Messrs ses collégues, quelques remonstrantion et prières avecq |
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larmes que Monsr l'ArchidueGa naar voetnoot1 et moy eussions faicte par avant pour préparer le chapitre premièrement à son AltezeGa naar voetnoot2 le dit poinct, comme trop hault, ne fut accordéGa naar voetnoot3 disant par son Alteze que ceste paix estoit faicte après sa venue en ces pays et n'avoit sur ce poinct pouvoir de par le Roy avec des raisons, dont expirant les termes de quatre jours accordés pour communiquer aux Députés des Estats, l'assemblée siGa naar voetnoot4 rompit en discord avecq protestations faictes d'une part et d'autre, que à l'une et l'autre partie ne tenoit, dont celles des Estats fut explicqué en escriptGa naar voetnoot5, et pourtans tous avecq larmes et gémissemens: de Nuit environ douze heures survint quelque espoir de PatrefrepostioGa naar voetnoot6 que le dit poinct se pouroit accorder, et ce jourd'hui à esté emporté par concession, duquel est faict une grande ouverture à ce qui rest de surplus à traicter...... Les autres poincts nous les tenons conciliables, mais que son Alteze se départirat de plusieurs, dont avons encoires bien bon espoir de la paix, car je pense, venu à Bruxelles, nous besoignerons beaucoup mieulx et gaignerons plus sur l'assemblée et... que sur
Députés venues avecq commission tant précise que nulle raison veult à l'encontre.’ |
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Traduction des passages en espagnol.
Tome IV.
p. 262. |
l. 3-10. Et cela non par crainte des peines de l'enfer, qui ne l'émouvoient aucunement, mais pour les bienfaits |
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qu'il avoit reçus de notre Seigneur, et pour sa bonté, laquelle il avoit toujours à la bouche; et quant à ce que quelques uns le tenoient pour trop sévère dans les exécutions de la justice, il m'assura de la manière la plus positive que la conscience ne lui reprochoit pas d'avoir dans toute sa vie versé une seule goutte de sang contre sa conscience; et que, quant à tous ceux qu'il avoit décapités en Flandre, c'étoit parcequ'ils étoient rebelles et hérétiques. |
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Tome V.
p. 331. |
l. 1. O Dieu, délivre nous de ces Etats. |
ibid. |
l. 11, sqq. V.M. a fait une grande perte, puisque, avec l'habileté qu'il possédoit, il avoit un plus grand zèle pour le service de V.M. qu'on ne sauroit le dire; je pense qu'à sa fin a beaucoup contribué, outre ses indispositions, la vue du misérable état des provinces dont il étoit Gouverneur et l'impossibilité d'y apporter un remède tel qu'il l'eût desiré. |
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voetnoot1
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lisez Archidiacre (voyez p. 608 (1)).
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voetnoot5
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Au lieu de ce qui suit, lisez Et, partans t.a.l. e.g., de nuit.
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voetnoot6
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Deux mots: Patre Frepostio (‘op de middernacht is gekomen Pater Trigoso:’ Bor, 775a). Peut-être le véritable nom est Frégoso.
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