Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome IV 1572-1574
(1837)–G. Groen van Prinsterer– Auteursrechtvrij
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Lettre CDXLI.
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Ga naar margenoot+hunden vermacht wirdt, welche leichtlich können durchGa naar voetnoot1 geschweiget und gestillet werden, ich versehe mich ihn kurtzen noch andere reyt [re] zu lernen. Wenn es da auch nicht mügelich, so woltte gleichwoll die noth erfordern das mahn ahn der dritten das hail versuche, da der bürger bey nacht ausz- und eingehetGa naar voetnoot(1). Car il fault faire apparoistre quelques effects die uns die ohren und augen füllen; Gott gebe gutt bier auff die hochzeitt. Soviel E. Gn. altten botszgesellen antrift, ist ehr bereitt und willig seine durch mich auch ahngezeigete vertröstung ihn das wergk zu setzen, doch dergestalt und also: 1. Es sollen E. Gn. eine capitulation under derselbigen handt und siegel aufrichten, quel traictement on fera aux capitaines et soldats qui iront par delà. 2. Oultre cela il leur fauldra envoyer présentement 14 ou 15 lettres d'adveu, pour ne tomber en quelque inconvénient, si les vaisseaux qui iront par delà séparément, venoient à rancontrer quelques vaisseaux de Monseigneur le Prince. 3. Ils désirent estre advertis où ils seront receux et qui les recevra, pareillement où se debvront rendre ceux qui s'y en veulent aller par terre. 4. Or le moyen de conduire ceulx qui veulent aller par mer, est de s'ayder des vaisseaux que quelques particuliers de deçà pourront équipper, ce que ne seroit assez pour l'embarquement d'ung tel nombre, et pour ce fauldroit-il les ayder de quelques vaisseaux de par delà. Pourtant ils désirent sçavoir vostre intention et résolution sur ce poinct, et seroit de besoing que les | |
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Ga naar margenoot+vaisseaux que vous vouldriez envoyer par deçà, prinsent port en BrouageGa naar voetnoot(1). 5. Mais il est à noter que les particuliers de par deçà, qui feront ceste susdite dépance pour conduire les hommes de par delà (d'aultant qu'ils se désistent d'aultres voiages où il y auroit du proufict du tout évident) veulent estre asseurés (par une lettre cacheté de vostre seau et signé de vostre main) du rembourchement de leur fraiz, selon la capitulation dernièrement faicte avecques vous, lorsqu'on estoit au termes de mesmes choses, à scavoir de leur payer le double de ce qu'ils y auroient mis. 6. Ce faisant, les dit particuliers seront obligés et tenus (au cas qu'ils soient remboursez comme dit est) de faire servir leur vaisseaux cinq ou six mois après leur arrivée pour rien et à leur propres frais et dépens. 7. La responce de ces articles venue avecques l'assurance, ils promettent de faire paroistre par effect ce qu'ils ont promis, et s'obligent de s'embarquer ung mois après la réception de la ditte asseurance, pourveu que ceulx qui s'y embarquent et ceux qui les favorisent ne soyent retardez par ceulx qui ont puissance. - Darvor mahn sich gar nicht besorgen darff, es wollte sich den Himmel und Erden verkeren. Derhalben zum höchsten von nöthen mihr mitt einem eigenen fleisigen currier alle obstehende expéditions bey tagh und nacht alhier ahn den hoff, wo der König sein wirdt, zuzuschicken; den die leutte sein flugs ihn der ahrbeitt, und wen sie lange mitt ihrem abziehen zaudern und verweilen woltten, so möchte es allerley gedancken | |
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Ga naar margenoot+gebaren, auch woll die leutte selber vor den kopff stossen. Ich kan mich auch nicht gnugsam verwundern das von E.G. ich kein schreiben, vermöge unser zu Frangkfort gehabter abrede, bekommen; bitt derhalben nochmals die bewuste sachen mit trewen fleisz und ernst zu fördern und zu treiben, und mich derselben zustandt zu verstendigen. Zu Ewern kleynodiën habe ich einen gutten kaufman gefunden, aber soviel ist nicht mögelich gewesen bey des Königes von Navarre Cantzler zu erhaltten, das ehr sie E.G. diener hatte wollen folgen lassen, ohne ahngesehen das wir ihm ligende grundt und boden, auch rentes sur la ville darvor einzusetzen ahngebotten. So E.G. wasz sie noch von Perlen und Edelgesteinen, so was statlich, ahn den hoff mihr zuschicken will, so will der Königh zu Polen einen kaufman geben. Ihre Majt haben sich auch kegen mihr vernemen lassen wenn etwas auszbündiges ahn dem silbergeschir und tapisserien, sie woltten auch mitt E.G. darumb handlen. Es verlanget meinen Hern gahr sehr das wir [kennenGa naar voetnoot1] bescheidt von Graff Johan, E.G. Bruder, bekommen, was ehr guttes mitt dem Bisschoff von CölnGa naar voetnoot(1) ihn der bewusten sachen verricht: könnet ihr ihn Eweren Ertzfeinde mit unserm gelde abstricken, so soll euch unser beuttel aufstehen. Ich soltte E.G. shirGa naar voetnoot2 allen beyden einen kleinen filtz geben, das ihr nicht fleisiger ihm herein schreiben seidt. On se contente fort de la diligence de Monsr de Lumbrez, sinon que ses lettres demeurent tousjours trois sepmaines avant qu'ils arrivent à Metz, | |
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Ga naar margenoot+mais certainement ils servent infiniment à maintenir les volontés; pourtant je le prie de vouloir continuer de mieulx en mieulx. Je ne luy escris point présentement, m'asseurant que vous luy ferez part du contenu de la vostre, laquelle je vous supplie pour l'honneur de Dieu de vouloir jetter au feu. Or veu que je suis présentement a la court, Monsr de Lombres peult bien adresser ses lettres tout droict à moy. Le Seigneur Frégouse est en Italie. Die von Genua stellen sich als woltten fromme leutte ausz ihnen werdenGa naar voetnoot(1). Es stehet, Gott lob, ihn dissen länden ahn allen örtten fridtsam zuw. Ihn Langedocquen haben sie das pacifications-edict noch nicht ahngenommen, nemen aber doch nichts tetliches kegen einander for. Ihre gesandten und deputirten werden zu Fontainebleau gehörett werden, da itz der König ist. Verhoffe Gott wirdt alle dinge zu einem glückseligen ende schicken, Amen. Où est l'endroict, qu'après vous avoir supplié de me faire promptement et particulièrement responce à touts les points contenus en ma lettre, je vous baiseray très humblement les mains et à Messieurs vos frères pareillement, priant le Créateur, Monsieur, qu'il luy | |
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Ga naar margenoot+plaise vous donner en parfaicte santé, ce que vostre cueur désire. De Paris, ce 29 de september 1573.
Vostre plus humble amy et très affectionné serviteur à tout jamais, Caspar de Schonber[ch].
A Monsieur, Monsieur le Conte Ludowicq de Nassau et Catzenelenbogen. En son absence à Monsr le Conte Jehan. Cito. Zu selbst eignen händenn. |
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