Wapenboeck ou armorial de 1334 à 1372. Deel 1. Poésies héraldiques
(1881)– Gelre (heraut)– Auteursrechtvrij
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Hollande reçut le premier comte: car, soyez en sûr et certain, que la comté de Hollande est un morceau pris de la Frise, ainsi qu'il est constant; Et, comme on l'écrivit, en l'an Vllle et LXIIJ, certainement Charles le Chauve, qui était alors roi de France, et qui avait une partie de la Frise, commença à fonder la Hollande toute entière prise dans ou hors de son royaume: car il donna à un Thiéry, un noble homme, de haute parenté, ainsi que nous entendons les Gestes le mentionner, ces terres que nous désignerons tous ensemble en noms anciens dont parle I'acte de la donation auquel on a coutume d'ajouter foi:
‘Au nom de la Sainte Trinité, Charles, roi de toute la France, s'il est agréable à Dieu, il convient cert es à la Majesté de la Couronne Royalé d'honorer par de généreuses récompenses ceux qui nous sont amis et féaux: Nous voulons que l'on voie ceci et qu'il soit notoire [aux jeunes comme aux vieux] qui sont attachés à l'église, à tous présents et à venir, qu'en notre présence 1'honorable comte Haghen pria notre bénignité de donner à Thiéry [qui est] certainement notre féal, certaines choses en ce moment, savoir: l'église d'Egmont avec tout ce qui y appartient, depuis le bois de Zwttard [Suuthard] jusqu'à Voirtrappe[n] et Kinheem. Nous l'écoutâmes gracieusement et accueillîmes sa prière, comme il est juste et convenable en même temps, et donnons à notre féal homme dont le nom se trouve ci-dessus, avec tous les serfs qui s'y trouvent et que l'on y aura encore, généralement tout ce qui est ci-dessus dit, avec bois, eaux, prés, bruyères. Nous mandons et ordonnons ceci, de la même manière qu'il possède d'autres biens et d'autres domaines en droite et légitime hérédité, que de notre gracieuseté il en use avec sûreté sa vie durant. Et afin que ceci lui reste, nous ordonnons dans eet écrit [par le | |||||||||||||||||
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présent acte] qu'il garde ceci, et qu'il en use aussi et le possède librement, qu'il en fasse et dispose à sa volonté, selon son désir, par la grâce de Dieu: que personne ne lui cause de trouble. Et comme nous voulons que notre donation soit tenue après notre vie, inviolable à perpétuité, nous y avons mis la main [signature] et ordonné qu'on la scellât de notre anneau d'or. Donné en l'an de Notre Seigneur huit cent et, après, trois fois vingt ans plus trois, au lieu de Bladèle, un village qui se trouve sur la Campine, neuf jours, comme on sait, avant la Saint-Jean d'été, le jour de sa nativité.’
Le premier comte de Hollande s'appelait Thiéry, et il avait une femme, à ce que j'entends, qui s'appelait Geva; et il devint comte, en vérité, lorsqu'on écrivit de l'Incarnation l'an Vllle et lxiii. Ce comte reçut son comté [sa charge, son office], en fief, de Charles qui s'appelait le Chauve. Je ne sais en quelle année il mourut, de quelle durée fut sa vie; je ne trouvai pas cela décrit.
Celui-ci fut le premier comte de Hollande: Tout son pays et tous ses biens échurent à son fils Thiéry, robuste de corps et de personne.
Thiéry, son fils, je vous le fais savoir, eut une femme qui s'appelait Hildegonde, la fille du Roi Louis qui fut Roi de France. Cent ans et XX, l'un avant, l'autre après, régnèrent ces deux comtes. Ce Thiéry mourut ensuite lorsqu'on écrivit l'an de Notre Seigneur neuf cent quatre-vingt-huit. Arnoul son fils resta souverain après lui.
Ceci fut Arnoul, descendu de Thiéry, qui prit à femme Lutgarde, qui était la fille de l'Empereur des Grecs, la soeur | |||||||||||||||||
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de l'Impératrice, je vous l'assure, de Romanie, comprenez le bien maintenant; et il fut comte cinq ans. Sachez qu'il dut perdre la vie chez les Frisons occidentaux, à Winkeiremade, en l'an ixc XC et trois.
Thiéry, son fils, devint comte, et il épousa, comme je le vois, la fille du due de Saxe; elle s'appelait Othilde. Il fut le premier qui passa la mer. Il perdit la bataille en Frise. Il régna positivement comme comte xxxlll ans et laissa son père non vengé; il mourut, ainsi nous le disent les récits, lorsqu'on écrivait mille et xxxlx ans, comme nous Ie lisons pour vrai.
Ce Thiéry, comprenez Ie tous, resta comte après son père, et il n'eut ni femme ni enfant; il régna lx ans comme comte, ni plus ni moins: comprenez le tout simplement. II fut tué à Dordrecht, lorsquàon écrivait mille ans et LXVll, sachez-le pour vrai.
Ceci fut Florent, le frère de Thiéry, et il gouverna la Frise orientale pendant douze ans, du temps de son frère positivement. Gertrude de Saxe fut sa femme, la fille du Due, sans erreur. Après la mort de son frère, il régna sur Ie comté de Hollande douze ans, et il fut assassiné à Hamert, croyez-moi. | |||||||||||||||||
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Vous entendrez aussi maintenant comment Gertrude le remplaça et voulut elle-même gouverner le pays avec ses enfants: elle fut dame sans mari [resta veuve] et administra le comté pendant deux ans.
En l'an mil et quarante-quatre, ainsi lisons-nous, croyezmoi, vint de Lille le fils de Bauduin: il s'appelait Robert, et ce fut lui qui épousa Gertrude et prit sous sa tutelle les frères de Florent; et les parties [états, provinces] de Hollande lui jurèrent hommage, tous les droits des enfants réservés. Ainsi Robert eut le comté de Hollande en mains pendant vll ans: il s'appelait Robert le Frison, et ce fut lui qui attira des pertes sur la Hollande.
En l'an mil cinquante et un, vint de la Lotharingie le duc Godefroid le Bossu, et il chassa sans ménagement le comte Robert du pays, et mit la main sur la Hollande, et expulsa fils et mère. Il fut pendant cinq ans le protecteur de la Hollande. Après cela il fut assassiné. Alors apparut le comte Thiery.
Cetait Thiery qui fut chassé avec sa mère et qui a relevé le comté de Hollande, sachez-le pour vrai; et il régna xxx ans. Othilde, ainsi s'appela sa femme, qu'il aima fidèlement [de bonne foi]: le comte de Saxe était son père; ainsi vous pouvez savoir le tout. Il laissa hoir, comme il parut bien, et mourut l'an mil et douze.
Florent devint légalement comte dans le pays, et s'appela Florent le Gros. Il fut comte pendant trente ans. Il eut une femme éclatante de moeurs; elle s'appelait Pétronille, qui était soeur de l'Empereur Lothaire, soyez-en sûr. Ils ont laissé un | |||||||||||||||||
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fils qui s'appelait Thiery, trés bien.......Lorsqu'on écrivit l'an onze cent douze, Florent mourut, ceci est vrai.
Ce Thiery, ainsi que je l'apprends, était le fils de Florent, et il lui succéda, et il régna xxxvl ans. Sa femme s'appelait Sophie, pour vrai; le comte Otton de Reineck était son père, et comte palatin, sachez-le, tous. Ce Thiery, ce comte, mourut lorsqu'on écrivait onze cent et LVII. II lui resta un fils.
La femme de ce Florent, qui était fils de Thiery, s'appelait Ada, ainsi que je le lus, et était fille d'Henri, Roi d'Ecosse. Ce Florent alia avec son armée outre-mer avec l'Empereur Frédéric, qui se noya dans ce voyage. Alors avant longtemps le comte mourut dans la ville d'Antioche, lorsqu'on écrivit onze cent et xc.
Thiery succéda à son père et posséda la Hollande tout entière. Sa femme était de Clèves, en vérité, et il régna xlll ans.
Ada, sa fille, soyez-en sûr, eut Louis de Loon [Looz], qui était comte, et qui lui fut donné pour mari. Elle mourut jeune.
Guillaume, son oncle, était le frère du comte Thiery susdit, sachez-le bien, qui fut comte dans la Frise orientale, et il devint alors comte en Hollande. La fille du comte de Gueldre était sa femme, et après la mort de celle-ci, il n'en prit plus, sachez-le pour vrai, et il régna bien xxlx ans. II devint donc comte malgré tous. II avait été outre-mer avec son père, qui là mourut. Et ensuite il partit une deuxième fois, et gagna Damiette en cette expédition. Il mourut, ainsi qu'on nous le rapporte, lorsqu'on écrivait onze cent et XXXIII, pour vrai. | |||||||||||||||||
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Ceci est Florent, connu comme fils du comte. Il avait [épousé] la fille du due de Brabant. Le nom de celle-ci était Mathilde. Et il régna bien Xll ans. Il fut tué, sachez-le, dans un tournoi à Clermont. Guillaume, le fils de Florent susdit, avait [épousé] Elisabeth, la fille du due de Brunswick. Il fut élu Roi d'Allemagne, où il régna Vll ans; et il fut comte, que cela vous soit connu, en Hollande XXl ans. Il resta mort chez les Frisons occidentaux, a Hoochhoutwoude, c'est grand dommage: on écrivait [datait] l'an XII cent et lv quand il mourut.
Ceci est Florent, son fils, voyez-le bien; sa femme, la fille de messire Gui de Flandre, s'appelait Béatrice, et il régna, que cela vous soit connu, xlii ans, ainsi que vous l'avez entendu, et fut assassiné par Gérard Van Velsen.
Jean, le fils du comte Florent, que cela vous soit connu, avait [en mariage] la fille du Roi d'Angleterre, lequel Roi s'appelait édouard. Il régna trois ans, et pas davantage, sans enfant, et il mourut sans le nom de chevalier.
Ceci est Jean, le comte de Hainaut, le fils de la soeur du Roi Guillaume, à ce que je vois. Il eut une femme, qui s'appe- | |||||||||||||||||
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lait Philippa, la fille du comte de Luxembourg, à ce que j'apprends, et il fut v ans comte de Hollande, sachez-le.
Ceci est Guillaume, le fils de Jean, soit dit en verité, et il eut une femme, comme l'on sait, Jeanne de Valois, puissante et riche, la fille du roi de France, et il régna certainement en Hollande xxxv ans.
Guillaume, son fils, aprês la mort de son père, régnaVlll ans, comprenez clairement; il eut [en mariage] une fille de Brabant, Jeanne, et fut défait dans la Frise orientale et y perdit la vie. Il mourut sans enfant en l'an treize cent et xlv, qui que ce soit qui s'en étonne.
Marguerite, sa soeur, fais attention, eut [pour mari] Louis, Empereur des Romains: et comme due de Bavière il était connu. Elie fut reçue comtesse dans le pays et elle régna, de vrai, prés de x ans en Hollande. | |||||||||||||||||
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NotesLes armoiries qui sont en tête de cette Chronique sont celles des anciens comtes de Hollande: D'or au lion de gueules, armé, lampassé et sourcillé d'azur, denté d'argent, la lumière de même. - Le heaume d'argent, taré de profil, le chaperon découpé d'or, le bonnet de même retroussé d'azur et pour cimier un lion de gueules posé assis sur le bonnet entre deux cornes d'auroch d'or affrontées et issantes des côtés du bonnet.
Les cinq premières armoiries qui se trouvent dans le poème, sont les mêmes que celles du grand écu et se blasonnent de la même façon, sans heaume et sans cimier; elles furent portées par Thiéry, le 2e comte, Arnoul, son fils, mort en 993, Thiéry qui épousa Othilde, Thiéry IV tué à Dordrecht en 1068, Florent, frère de ce Thiéry, qui épousa Gertrude.
L'écu qui porte: De Hollande party de Saxe qui est facée de dix pieces d'or et de sable à l'écharpe de rue de sinople brochante, est celui de Gertrude, veuve de Florent et fille du due de Saxe: elle administra pour ses enfants.
Voici Robert le Frison qui porte: De gueules au chef d'or, | |||||||||||||||||
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qui sont les armes du Burgrave de Lille. Il épousa Gertrude et gouverna sept ans pour les enfants de Florent.
L'an 1051, Godefroid le Bossu, qui portait de gueules à la face d'argent, pour Bouillon, chassa Robert, Gertrude et ses enfants.
Mais voici cinq nouveaux écus qui sont tous les armes de Hollande: C'est Thiéry, fils de Gertrude et de Florent, qui releva le trône de ses pères et épousa Othilde; c'est Florent le Gras qui épousa Pétronille, et son fils Thiéry qui épousa Sophie de Reineck; c'est Florent qui épousa Ada et mourut à Antioche en 1090; c'est Thiéry qui épousa la fille du comte de Clèves.
Ada, qui eut pour mari Louis de Looz, portait: de Looz qui est burellé de dix pièces d'or et de gueules, party de Hollande.
Guillaume, frère de Thiéry, d'abord comte en Frise, devint comte de Hollande et en porte les armes, - ainsi que Florent, son fils, qui fut tué au tournoi de Clermont.
Guillaume, fils de Florent, porte les armes de l'Empire: D'or a I'aigle de sable, lampassé de gueules [la paupière sanglante] et la lumière d'argent. C'est que Guillaume, qui épousa Elisabeth de Brunswic, fut Roi d'Allemagne.
Florent, fils de Guillaume, roi élu d'Allemagne, reprend les armes de Hollande. Il fut assassiné par Gérard de Velsen.
Jean, son fils, porta les armes de Hollande, comme son père, | |||||||||||||||||
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c'est-a-dire le lion degueules stir champ d'or, et il fut le dernier qui porta ces armes pleines.
Car son successeur est Jean, comte de Hainaut, ‘le fils de la sceur du Roi Guillaume,’ qui écartèle alors de Hainaut et de Hollande, c'est-à-dire d'or à quatre lions, deux de sable lampassés de gueules pour Haynaut, et deux de gueules lampasses [et armes] d'azur pour Hollande; et il fut cinq ans comte de Hollande, sachez-le.
Guillaume, fils de Jean, qui épousa Jeanne de Valois et porta écartelé de Haynaut et de Hollande, comme son père. Son fils aussi, Guillaume encore, porta ces armes, c'est-à-dire les quatre lions cantonnes.
Marguerite sa soeur, ‘fais attention,’ vois-tu là haut sur ce pilier, eut pour mari Louis, Empereur des Romains, et c'est pour cela que sur cette muraille, là, vois-tu, elle porte de I'Empire qui est d'or à I'aigle de sable lampassé de gueules; écartelé des quatre lions cantonnés!
A la fin du récit, Gelre a peint les armes de Guillaume III, fils de Marguerite et de Louis de Bavière, devant qui il récite son poëme, au milieu d'une cour splendide, sous ces arceaux gothiques où sa voix résonnait merveilleuse; et comme un hommage à ce prince, il a mis à ses pieds une de ces étoffes précieuses venues d'Orient ou de sinople sur laquelle il a peint l'écu de Bavière écartelé des quatre lions de Hainaut et de Hollande, ce qui donne à ce poëme la date de 1356. | |||||||||||||||||
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Remarques philologiquesLe Diplôme ou Charte qui est au commencement de cette Chronique, est généralement considéré comme apocryphe. Sa date, en tout cas, doit être reculée à l'an 923. M.A. Wauters, dans sa Table chronologique des Chartes, etc., I, 336, en donne l'analyse et écrit ainsi les trois noms de lieux: Zuutherdes-Hage, Fortrapa et Kinnem.
Vers 67, au lieu de: Bede, Melis Stoke écrit: Ende oec. Vers 75, p. 24: Hebben wire die hant toe gesteken; traduction littérale: | |||||||||||||||||
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Nous y avons mis la main, c'est-à-dire nous y avons mis la main pour signer. Le texte latin dit: Et ut hoc nostre largitionis munus per succedentia tempora firmius habeatur, et attentius observelur, manu propria subter firmavimus: Nous l'avons confirmé de notre main ci-dessous. Et le Roi l'a effectivement signé de sa main.
Vers 76. Ende hiet hem, dat men zeghelen zoude; il faudrait lire: Ende hieten dat ment zeghelen zoude, et traduire: et ordonné qu'on la scellât [la donation] de notre anneau d'or.
Vers 82: Melis Stoke ne parle pas de la Campine.
Vers 94, au lieu de: Telene die Kaerl, il faudrait: Te lene van Kaerl.
Vers 151, au lieu de: helt, qui est dans l'original et dans notre fac-simile, il faudrait: hielt.
Vers 195, les mots wel et te maten, sont synonymes; et il y a dans l'original: en, et non pas: ende.
Vers 232, p. 29, au lieu de: Nam hi een meere, ce qui signifierait qu'après la perte de sa première femme, il en ptit une de plus, il faudrait lire: Nam hi geen meere, il n'en prit plus.
Vers 237, p. 3o: - Ende dair na van hi ander warf Il y a dans l'original: Ende dairna voir hi ander warf, et ensuite il partit une seconde fois et gagna Damiette. Mais, comme au vers 235, on dit: Hi [Willam] hadde geweest over ze Mitten vader, dair hi starf. Il avait été outre-mer avec le [son] père, où il mourut; il faut traduire: qui y mourut. Ce fut sans doute Florent qui mourut en Palestine. (Voir une histoire détaillée de Hollande.)
Vers 251. - Dair hi regnair VII jaer ontfinc, il faut lire: Dair hi regnacie, qui est dans l'original et veut dire: où il reçut le règne, le gouvernement. | |||||||||||||||||
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Malgré le soin avec lequel ont été relues les épreuves en flamand de cette Chronique, cependant quelques corrections nous sont indiquées et nous prions le lecteur bénévole de vouloir bien en tenir compte. Vers 22. Als wie, lisez: Als wii. Vers 30. genoechlic, lisez: gevoechlic. Vers 31. ..trone, Zisez: crone. Vers 32. ..met milde lone, lisez: met milden lone. Vers 47. Tote voir trappe, lisez: Tote Voirtrappen. Vers 48. ..horen wy na heem, lisez: horden wy na heem. La Rijmkronijk de Melis Stoke, 1. I, v. 354, a ici: Liefliken ghehoerden wi hem, Vers 50. ..genoege, lisez: gevoege. Vers 53. ..diensliide, lisez: dienstlude. Vers 54. ..diemen, lisez: diemer. Vers 58. geliket wiis, lisez: geliker wiis. Vers 58. ...hiit.., lisez: hi.. Vers 61. ..rechter, lisez: onser. Vers 62. ..gebroken, lisez: gebruke. Vers 65. ..gebiede, lisez: gebieden. Vers 66. dat hi vriendelike ditte, lisez: dat hi vrilike houde ditte. Melis Stoke écrit: vridelike. Vers 76. dat men, lisez: dat ment. Vers 84. van, lisez: voir. Vers 94. telene, lisez: te lene. Vers 104. ..en, lisez: ende. Vers 141. ..u maecs u, lisez: ic maecs u. Vers 184. ..her, lisez: haer. Vers 185. ..muech diit, lisez: muechdiit. Vers 205. ..stiet, lisez: seiet. Vers 245. ..vel, lisez: wel. Vers 276. voirwaer, lisez: voir waer. Vers 286. ..verslaghe lisez: verslaghen. |
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