Met het Tijdschr. blijft alles dan nu bij het oude en het publiek hoeft met den
nieuwen jaargang niet te worden toegesproken. Dat komt mij goed van pas. Ik had
mij verleden week, sints lang trouwens, wat overwerkt, en kan nog maar kalmpjes
aan.
Zie eens na in den Mercure - ik stuur je de tijdschriften - die vertalingen uit
het nederlandsch, met de noot erbij.Ga naar voetnoot314 Zou dat iets voor ons wezen? Schrijf jij in
dat geval, 't zij aan den Mercure, 't zij aan dien heer Janssen,Ga naar voetnoot315 als
die bereikbaar is?
Ik hoorde laatst van v.d. Horst dat het je wel ging. Als dat zoo bleef houd ik me
voor spoedig antwoord aanbevolen.
Zeer gegroet
tt
Albert Verwey
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voetnoot305
- A. Aletrino, [de slot-aflevering van de roman] Martha, in Tweemaandelijksch Tijdschrift, 1 e jrg., aflev. 6, juli
1895, p. 345-373, aldaar gedagtekend Jan. '93-Oct. '94.
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voetnoot307
- Albert Verwey, Gezang/De Zon, de hemel en de
blauwe zee, in Tweemaandelijksch Tijdschrift, idem, juli 1895, p.
398-399, aldaar gedagtekend 1894; laatstelijk in Oorspronkelijk
Dichtwerk, dl. I, p. 241.
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voetnoot308
- Ch. M. van Deventer, Antiphon/staatsman en
redenaar, in Tweemaandelijksch Tijdschrift, idem, juli 1895, p.
400-416.
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voetnoot309
- H.P. Berlage Nzn., Over architectuur, in Tweemaandelijksch Tijdschrift, idem,
juli 1895, p. 417-427.
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voetnoot310
- D.G. Jelgersma, De ontkenning der moraal/Stirner, Ibsen, Nietzsche, in
Tweemaandelijksch Tijdschrift, idem, juli 1895, p. 448-474, aldaar
gedagtekend Amsterdam, Juni '95.
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voetnoot312
- G. van Vloten, Van Saint
Louis naar Tripoli [bespreking van De Saint-Louis à
Tripoli, par le Lt. Col. Monteil, Alcan, Paris, 1895], in
Tweemaandelijksch Tijdschrift, idem, juli 1895, p. 428-436.
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voetnoot314
- Verwey en Van
Deyssel werden bepaald geïntrigeerd door Joseph van Sluijters', aan de
Mercure de France van juni 1895, p. 269-285, bijgedragen, Contes insensés (I, La petite croix de pierre
noire; II, Le petit canard blanc; III, Mintje Laan), traduit du néerlandais par Georges de Feure. Deze
vertaler verschafte in een noot de volgende curieuze en dan ook de
nieuwsgierigheid prikkelende informatie: ‘Joseph van Sluijters naquit à
Gorinchem - dans la Gueldre, - près du château de Loevenstein, en 1863. Il y
passa les premières années de sa vie et fut élevé par son père, un maître
d'école, dont la modestie seule fut cause qu'il mourut obscur, car c'était
un esprit exceptionnel, d'une érudition remarquable. Cet excellent
vieillard, malgré l'affection qu'il avait pour son fils, se sépara de lui,
ayant trouvé pour le jeune homme un emploi de sous-maître au village de
Pannerden. Ce village se trouve un peu au-dessous de l'endroit où le Rhin
entrant dans la Gueldre, se divise en deux bras dont l'un, sous le nom de
Waal, se perd dans la Meuse, à la hauteur de Gorinchem, la ville même où
naquit van Sluijters.
C'est dans ce pauvre village de Pannerden, perdu
entre les soixante-douze digues du Rhin et du Waal, dans le plus étrange des
décors que van Sluijters écrivit ses premières oeuvres. Elles firent un
certain bruit en Gueldre et surtout à Arnhem, où elles parurent dans un
journal de l'époque intitulé Arnhemsche Bloementuin (Le Jardin
fleuri d'Arnhem). Cependant il passa pour fou; il fut la risée de
la province entière, surtout quand furent publiées ses Waanzinnige Historiën (Contes insensés). Vers sa vingtième
année, sur les instances d'un seigneur qui s'éprit de ce subtil talent, il
alla habiter Kleef, puis d'autres villes de l' Allemagne. C'est dans le
grand duché de Saxe qu'il composa un drame social intitulé Eigenliefde (Egoïsme), où il soutient des théories si audacieuses
qu'aucun théâtre n'a encore osé le représenter. En 1884, subitement, à la
suite de quelque déception, il déclara qu'il renonçait à la littérature. Il
se rendit à Kampen (dans la province d'Overijssel), où se trouve l'école
préparatoire de l'armée coloniale néerlandaise. Mais l'horreur de la
discipline fut plus forte que ses déterminations. Il alla tenter la chance à
Amsterdam, mais fut repoussé de partout et finit par se rendre, on ne sait
comment, aux Indes néerlandaises. Il y fut accueilli par son frére,
ingénieur à Madioen. Un ami qu'il avait à la Haye - Henricus Janssen -
reçut encore de ses nouvelles en juillet 1890. Par le même courrier,
Sluijters envoya une série Contes Javanais, dont les
manuscrits originaux sont encore entre les mains de Janssen. Depuis, les
lettres écrites à lui et à son frère sont demeurées sans réponse. Ce sont là
tous les détails par Henricus Janssen, le seul homme en Hollande qui fut
l'ami de Joseph van Sluijters et connut les diverses phases de cette
existence mouvementée.’
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voetnoot315
- Over de schilder Henricus Jansen [dus niet: Janssen]
(1867-1921), die werkte onder de schuilnaam Henricus, zie Bettina Polak, Het fin-de-siècle in de Nederlandse schilderkunst/De
symbolistische beweging 1890-1900, 's-Gravenhage, 1955, p. 280-283,
alsook Carel Blotkamp e.a., Kunstenaren der idee/Symbolistische
tendenzen in Nederland, ca. 1880-1930, Den Haag, 1978.
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