Brieven 1888-1961
(1997)–Alexander Cohen– Auteursrechtelijk beschermdAan Max Nettlauaant.Paris, 29 mars [1906] 44 rue de Maistre.
Mon cher Nettlau,
Je viens de recevoir votre petit mot et, je vous réponds de mon lit: je suis malade; une forte grippe (influenza si vous aimez mieux) accompagnée de douleurs articulaires. Couché depuis samedi, j'espère me lever aujourd'hui - Si j'avais su votre adresse je serais venu vous rendre visite il y | |
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a longtemps, d'autant que je ne vous ai plus apergu à la bibliothèqueGa naar eindnoot1 où, depuis un mois environ, je suis allé assez régulièrement. S'il ne vous est pas absolnment impossible de venir rue de Maistre avant votre départ - le soir, à l'heure que vous voudrez ou dans la journée, puis-que je ne pourrai sortir avant plusieurs jours - venez. Ne fut-ce que pour me prouver qu'il ne vous est pas resté d'arrière-goût amer de la méchante discussion de l'autre jour. Méchante de mon côté mais, I insist most emphatically upon it, without the slightest intention to hurt your feelings. Do come if you can. If youGa naar eindnoot2 can not, good bye, let us hear something from you, from time to time. Just a few words. Both we are affectionately yours
A. & K. Cohen |