Der Nobelskrug
(Eine Umfrage van R. Sprenger)
door A. de Cock.
Verschenen in Der Urquell. Eine Monatschrift für Volkskunde herausgegeben van Friedrich S. Krauss. (Buchhandlung u. Druckerei vormals E.J. Brill, Leiden; G. Kramer Verlag, Hamburg; 1898), der neuen Folge Band II, S. 260-261.
Aux environs d'Eecloo - ville de la Flandre orientale, située au nord-ouest de Gand - on raconte ce qui suit:
Nobus était un amateur de Bacchus. Un jour il avait vendu son âme au diable pour pouvoir payer ses dettes. Après dix ans, il devait la livrer. Le temps écoulé, notre soûlard, au lieu de céder son âme à Satan, lui caressa l'échine à coups de bâton. Depuis ce temps-là Nobus se soûla tous les jours. Mais les belles choses n'ont pas de longue durée... Nobus mourut. Il s'en alla vers le ciel, mais il y trouva visage de bois. Alors il s'en fut à l'enfer, et la porte s'ouvrit... - ‘Nobus’ cria le diable. C'était justement celui auquel notre ivrogne avait administré une volée de coups. Là encore, on l'envoya promener. Que faire maintenant?
Nobus ouvrit un cabaret, entre le ciel et l'enfer, et écrivit