Delfs Cupidoos schighje
(1652)–Arnold Bon– Auteursrechtvrij
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Las je n'ose dire que j'aime,
Ces beaux jeux, qui me font mourir.
2. Mon coeur dolent plaint & soûpire,
Et dit tout bas, pourroisje bien,
Languir pres du bien, ou j'aspire
l'Adorer & n'en avoir rien ?
3. Mes regards, qui sont tous de flame,
Se tournent vers vous, leur soleil,
Et monstrent, que je porte en l'ame,
Un feu, qui n'a point du pareil.
FINIS. |
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