Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2
(1976)–Willem Bentinck– Auteursrechtelijk beschermd
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quelquefois de vos nouvelles. Vous m'avez dit, qu'il étoit absolument nécessaire, que je retournasse à La Haye cet hiverGa naar voetnoot1). Je vous ai souvent dit, que je ne pouvois pas y vivre à la longue; il n'y a eu moyen, que de trouver un mauvais remède à cette difficulté; comment pourra-t-on en trouver un à présent, que je suis de 4.000 fl. par an plus pauvre? C'est à dire, qu'il me manque 4.000 fl. par an pour être dans le même degré d'impossibilité, où j'étois il y a un mois. Je vous prie: souvenez-vous de cela, parcequ'autrement on me ruineroit à présent tout d'un coup. Monsieur de HuffelGa naar voetnoot2) et moi avons eu chacun une lettre de monsieur Iddekinge pour nous prier d'écrire au député de notre province aux Etats Généraux pour qu'il consentit à la négotiation de 21.000 m. fl. pour sa province. Nous sommes convenus de lui répondre, que nous ne pourrons le faire. Et pour ma part je lui ai écrit, que ce seroit trop prendre sur nous et que nos Etats pourroient le trouver très mauvais. Je lui ai ensuite dit mon avis sur la chose même, qui va, selon moi, à la ruine du crédit de la généralité et à précipiter la perte de la province, qui se sert de pareils moyens. Avertissez monsieur le pensionaire de ceci, s'il vous plaît et qu'Iddekinge m'écrit, qu'il espère, que la Hollande et les autres provinces consentiront. |
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