Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2
(1976)–Willem Bentinck– Auteursrechtelijk beschermdWenen, 11 februari 1750Je suis totalement de votre avis sur l'affaire de Cologne. Il est très fâcheux, que l'Angleterre ne veuille rien faire. Mais au bout du compte c'est nous que cela touche le plus directement. Wartensleben ne s'est pas conduit selon moi comme il devroit et je ne conçois rien non plus à la conduite de Steinberg. Non obstant tout cela j'aurois pourtant conclu avec Cologne. Il est vrai, que cela pourroit tirer à conséquence dans l'avenir de faire une démarche pareille sans l'Angleterre et qu'il importe que tout ce qui se fait pour le continent se fasse par les puissances maritimes, mais notre sûreté va devant tout. Et l'exemple de 1741Ga naar voetnoot2) me fait juger, que nous devrions encore renouer cette affaire, si elle n'est déjà gâtée. | |
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Car j'appris hier du comte ColloredoGa naar voetnoot3), que GuebriantGa naar voetnoot4) a déjà donné 25.000 florins en argent comptant et en devoit donner encore 50.000, qu'il attendoit d'un moment à l'autre. Le comte Colloredo m'a appointé à demain matin pour me parler de cette affaire-là et de quelques autres relatives à l'empire, dont je ferai rapport. Notre malheur est l'état de nos finances. Si cela alloit bien, le reste seroit facile ou du moins faisable. J'espère, qu'avec le soin, les bonnes intentions et l'activité de monsieur Stein nous pourrons bientôt voir les finances améliorer. (Opnieuw over de goede indruk, die de zaak van Haarlem gemaakt heeft. Mededeling, dat ‘le nonce du pape’ gechoqueerd is over het gedrag van Calkoen te DresdenGa naar voetnoot5)). |
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