Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2
(1976)–Willem Bentinck– Auteursrechtelijk beschermdDen Haag, 26 januari 1750Je vous ai mandé, que l'affaire de trésorier étoit réglée. Elle n'a pourtant pas été finie tout à fait, comme je l'aurois souhaité. Comme l'emploi de greffier est plus lucratif, que celui de trésorier on a compté que monsieur De la Bassecour y pourroit perdre 4.000 florins, dont il étoit juste de le dédommager. Monsieur Fagel l'avoit proposé de prendre cette somme du fonds des passeports turcsGa naar voetnoot2). Le pensionnaire et moi lui avons dit, qu'il devroit se charger lui-même de ce dédommagement, puisqu'il y gagnoit. Enfin le Prince m'a fait dire par monsieur Stein d'en parler au greffier. C'étoit le jour avant que la chose fut finie aux Etats GénérauxGa naar voetnoot3). | |
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Je le fis et son dernier retranchement fut le nouveau serment de purge, qu'il devoit faire. Je fus avec le greffier chez le Prince dans le dessein de trouver un rémède à ce serment, sans pourtant dire au greffier, que c'étoit mon intention. Lorsque nous fûmes à la cour, le Prince commenca à parler d'autres matières. Je voulus deux ou trois fois commencer mon sujet. Il n'y eut pas moyen. Comme je ne savois pas encore, que cela devoit passer le lendemain matin, je comptois d'y revenir, mais il fut trop tard; la chose fut conclue, que l'on prendroit 2.000 florins des Turkse paspoorten et 2.000 du verhoogde last en veylgeldGa naar voetnoot4). A présent monsieur De Back, à ce que j'apprens, a saisi la chose par ce côté-là et lui et le comte de Gronsfeld se recrient, que c'est bien un sujet à acheter si cher et qu'ils ne veulent pas en porter la blâme, mais la jetteront toute sur le Prince. (Verder uitvoerig over hetzelfde onderwerp). |
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