Briefwisseling en aantekeningen. Deel 1
(1934)–Willem Bentinck– Auteursrecht onbekend27 Novembre 1746.My Ld. Sandwich piqué de ce qui s'étoit passé en Angleterre entre Harrington et Boetzelaer au sujet des ordres, qu'on lui avoit envoyés touchant la conduite de la négociation à Breda, et de l'effet que cela avoit fait ici, en écrivit au Duc de Newcastle pour s'en plaindre, et cela en termes très forts; comme aussi a My Ld. Harrington lui-même en lui donnant connoissance de ce qui s'étoit (passé) le 5 entre lui et le Pensionaire. Dans un conseil, tenu le Lundi 7 à St. James sur les affaires étrangères, dans lequel le Chancelier et le Duc de Newcastle insistèrent fortement sur ce qu'il faloit faire encore une campagne, le Duc de Newcastle laissa échaper quelque chose, qui fit remarquer qu'il étoit en correspondance avec My Ld. Sandwich; ce qui étant contre l'ordre, à cause que ce n'est pas son départementGa naar voetnoot1), Harrington prit feu et dit qu'il iroit le lendemain demander au Roi si c'étoit par ordre de Sa Majesté. Il y alla, le Mardi 8 à midi, à Kensington et reçut pour réponse, qu'oui, et que le Roi avoit vu les dépêches de part et d'autre; sur quoi Harrington demanda sa démission, et dit qu'il ne vouloit plus servir. Mercredi 9 Harrington a apporté les Sceaux et les a remis au Roi, qui les a donnés à Chesterfield. Le 11 le rappel fut envoyé à Trevor et des lettres de créance à la République à My Ld. Sandwich comme Min. Plénipotentiaire. My Ld. Sandwich arriva ici le 21 de | |
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Breda avec le Pensionaire. Il ne savoit encore rien (de ces) changements, ses lettres étant allées à Breda, d'où il étoit parti la veille après midi. Nous avions reçu les lettres le samedi auparavant à la Haye. Le lendemain 22 il reçut ses dépêches et le Mercredi 23 il présenta ses lettres de créance. Mr. Trevor n'a pas encore présenté son rappel, mais a écrit, dit-on, en Angleterre pour le demander, afin de sauver les apparences. My Ld. Sandwich m'a confirmé la vérité de tous les faits, rapportés ci-dessus comme passés au Conseil, et m'a montré une lettre du Duc de Newcastle dans la quelle celui-ci lui dit: dorénavant c'est la même chose avec qui il correspond, puisque Chesterfield et lui sont absolument dans les mêmes idées, et que lui, Sandwich, en peut donner les plus fortes assurances. My Ld. Sandwich m'a répété à cette occasion ce qu'il m'avoit déjà dit plusieurs fois auparavant, que c'étoit My Ld. Chesterfield qui l'avoit engagé, lui Sandwich, à se charger de la Commission pour Breda, et qu'il savoit assez à fond les sentiments de Chesterfield pour être sûr que ce que Newcastle lui écrivoit étoit parfaitement vrai; et qu'il n'appréhendoit plus aucun des inconvénients auxquels il avoit été exposé par le passéGa naar voetnoot1). Le Duc de Newcastle lui mandoit dans la même lettre qu'il m'a montrée, que le Roi avoit été fort fâché de la mortification qu'il avoit reçue et qu'il ne seroit plus exposé à rien de pareil. | |
[28 Nov.]28 Nov. J'ai appris depuis de Reischach, que c'étoit par Buys qu'il avoit été informé de ce dessein formé de faire sortir les Autrichiens de Mastricht. Le Comte de Merci, arrivé ici le 16, avoit été avec lui chez Buys; et celui-ci leur avoit dit avec un ton pleureux qu'on avoit eu trop de complaisance de prendre leurs Troupes dans nos places, et surtout dans Maestricht; que les Autrichiens vouloient attirer la guerre sur notre Territoire; que la République étoit aux abois, et ne pouvoit plus rien faire; qu'il faloit songer à la paix, et ne pas irriter les François, mais prendre des arrangements pour les Trou- | |
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pes, qui ne donnâssent pas de nouveau prétextes aux François de venir sur notre Territoire etc....
28 Nov. J'ai appris que le Pensionaire parlant au Cte. de Merci sur les changements à faire dans les arrangements pris par le Maréchal Batthyany, et entre autres chose(s) de ponts à établir sur la Meuse pour la communication et pour la retraite des Troupes du posterung au de là de la Meuse, Monsr. de Merci lui avoit dit qu'il étoit impossible de conserver des ponts sur la Meuse pendant l'hyver, à cause des glaces, ou des hautes eaux, dont l'impétuosité emporteroit tous les ponts qu'on y feroit. Sur quoi le Pensionaire lui avoit demandé, comment on faisoit à Maestricht, où l'on passe la Meuse tout le long de l'année. Le Cte. de Merci lui avoit répondu: ‘si vous voulez, Monsieur, y faire bâtir un couple de ponts de pierre comme celui de Maestricht, je n'ai rien à dire, ils pourront tenir, mais non ceux de bois ou de bateaux’. Le Pensre. lui avoit répondu: ‘Je n'ai jamaïs été à Maestricht, je ne savois pas que le pont fut de pierre’. | |
[29 Nov.]29 Nov. Au sortir de la Conférence avec le conseil d'Etat, où il avoit été résolu d'accorder la retraite aux Troupes du Cordon dans ou à travers Maestricht, à quoi le Pensionnaire s'étoit fortement et vivement opposé, j'allai à la chambre du Greffier pour y signer quelques dépêches. Le Pensionaire y vint, s'assit auprès du feu, et après quelque petit silence, il dit avec un air fort agité: ‘De cette façon-là je ne suis plus en état de rien faire’; puis il se tut. Voyant qu'il ne disoit plus rien, je lui demandai ce qu'il vouloit dire; il dit qu'on vouloit pousser les choses contre toute raison, et les faire emporter de force; qu'il y avoit deux députés de Hollande dans les Conférences et qu'ils étoient toujours d'avis différentsGa naar voetnoot1). Je lui dis que cela étoit vrai en ceci, parceque la chose étoit si claire et si simple selon moi, que je ne comprenois pas comment on pouvoit être d'un avis différent du mien. Il dit que c'étoit toujours comme cela, et que nous avions | |
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toujours différé en tout excepté en un seul point. Lui ayant demandé quel étoit cet un point, dont il s'étoit particulièrement souvenu, il me dit que c'étoit celui de l'admission des Ministres de Vienne et de Turin aux conférences de Breda. Après cela il continua à parler contre les députés des Provinces qui votoient si vigoureusementGa naar voetnoot1) et qui n'étoient pas soutenus de leurs Provinces, alléguant la Frise, qui ne fait rien, et la Province de Groningue dont il disoit avoir vu une Résolution par laquelle elle déclare qu'elle ne peut plus rien fournir absolument aux frais de l'Union. Il dit qu'il s'étoit fait de la peine de prendre l'emploi de Pensionaire, mais qu'il voudroit à présent pour quelque chose de bon ne s'en être pas chargé. Après quelque silence il se leva. Le Greffier, qui avoit expédié l'ordre qui venoit d'être résolu, voulut lui montrer une lettre qu'il venoit d'écrire pour en donner connoissance à Mr. de Reischach pour le communiquer (à) Mr. de Merci, mais il ne voulut pas la voir et s'en alla. | |
[30 Nov.]30 Nov. Le Prince de Waldeck se trouvant chez moi nous parlâmes assez longtemps de choses indifférentes, parce que je ne voulois pas commencer sur la campagne; mais enfin il se mit lui-même à en parler à l'occasion du Comte Leopold Daum, dont il disoit beaucoup de bien, et qu'il disoit être dégoûté, et ne vouloir plus servir dans les Païs-Bas. Quand je lui demandai pourquoi, il ne m'en donna pas la raisonGa naar voetnoot2). Comme il avoit dessein de présenter son Journal de la Campagne, il me demanda comment cela devoit se faire; je lui dis qu'il pouvoit me l'apporter, quel jour de cette semaine il voudroit, que je le présenterois aux Etats Généraux, qui voudroient certainement l'examiner dans une conférence; que je croyois que cela seroit plus convenable que de faire comme l'année passée, lors qu'il présenta lui-même son Journal dans une Conférence, où il entra avec son livre sous le bras: que je croyois ceci d'autant plus convenable, que ce Journal, à ce qu'il me disoit, seroit plus | |
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long que le précédent; et que le grand nombre d'affaires, qu'il y avoit à présent sur le tapis, faisoit que je ne pouvois lui assigner un tems fixe, où l'on auroit le loisir de lui donner audience dans une conférence. Après cela, la conversation continuant toujours quoiqu'à bâtons rompus sur la campagne, il laissa échaper en différentes fois que le Maréchal Batthyany, après l'arrivée du Pce. Charles, n'avoit pas plus eu à dire qu'un autre dans l'armée; qu'il avoit commandé les Autrichiens, comme lui Pce. de Waldeck les Troupes de la République; qu'ils avoient été au commencement très bons amis, mais qu'après cela il y avoit eu quelque chose; lui ayant demandé ceque c'étoit, il ne s'étoit pas expliqué; que le Marl. Batthyany n'étoit pas le premier génie du monde, mais un très honnête homme, et un très brave homme; puis parlant des conseils de guerre, il dit qu'on en avoit tenu un protocolle très exact, où toutes les voix avoient été écrites; et que le Secrétaire nommé Weiss étoit un très honnête homme, qui avoit toujours demandé à celui qui avoit voté s'il l'avoit bien compris, en répétant l'avis, avant de le coucher sur le papier; qu'il avoit une copie de ce Protocolle bien authentique pour sa justification. Puis parlant du corp de réserve, je lui demandai si les corps de réserve n'étoient pas ordinairement pris de toute l'armée. Il dit qu'oui, mais que depuis le mois de Juillet le corps de réserve avoit été formé du corps des Troupes de l'Etat; que cela avoit été réglé ainsi, à cause des difficultés que LigonierGa naar voetnoot1) avoit faites sur le rang des Troupes; que dans les conseils de Guerre on avoit coutume de dire chacun son avis, mais que la décission en étoit au chef, et que de cette façon tout étoit sur le compte du Chef; que l'année passée il n'avoit pas eu d'Instruction particulière, autre que pour le détail du Corps, et qu'il en avoit averti les Généraux. Là-dessus je lui dis: ‘ni cette année-ci non plus, mon Prince; car vous avez été continué dans le commandemant sans avoir été nommé de nouveau, et sur la - vieille - - Instruction’. - ‘Non certainement’, dit il, ‘je n'en ai pas eu; aussi ai-je été sous les ordres du Pce. Charles, quoique je n'eusse pas de résolution pour cela’. | |
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Comme je lui faisois quelques questions sur la séparation du Corps, il dit qu'il savoit bien ce que je voulois dire; qu'on avoit débité plusieurs mensonges sur son sujet, mais qu'il regardoit tous ceux, qui avoient menti en parlant de lui, comme des coquins. Après cela il laissa échaper, que la veille de l'action auprès de LiégeGa naar voetnoot1) il avoit fait voir sa disposition au Prince et au Maréchal et qu'ils l'avoient fort approuvée, mais qu'alors l'ennemi avoit toute sa force à la droite de notre armée; que le matin du 11 (Octobre) toute la force de l'ennemi étoit venue vers notre gauche. En entrant il avoit vu Famars dans l'antichambre, qu'il me recommanda fort comme un très brave homme, qui avoit fort bien fait. Je lui parlai de Rivecour. Il me dit que Rivecour avoit déclaré qu'il n'étoit pas propre à être major. Je lui dis que cela étoit diablement dur pour Rivecour, qui certainement n'avoit pas voulu dire autre chose si ce n'est qu'il étoit plus propre à être Colonel que Major, ce qui étoit vrai. Il l'avoua et ajouta que Rivecour étoit un très bon officier, qu'à la vérité il n'y avoit rien non plus à dire contre Kip, ‘du moins je ne sai rien’, dit-il, ‘à charge’. En sortant il trouva dans l'antichambre trois officiers, le Capitaine Van de Graaf, le Lieutt. de Jong, et le Lieutt. Chombach, il frappa sur l'épaule en passant à l'un d'eux, et à la porte, il me les recommanda tous trois en leur présence.
30 Nov. Le Pensionaire fit l'ouverture de l'assemblée de Hollande par un Rapport en gros de cequi s'étoit fait aux Etats Généraux dans l'intervalle de l'assemblée. Mais il ne fit aucun détail circonstancié de rien, et dit rien des conférences de Breda, ni de ce qui s'étoit passé à l'occasion de l'Envoi du Cte. de Merci ici. La Lettre de Gueldres donna occasion à une commission, qui fut décernée pour examiner le contenu de cette Lettre et ce qu'il faloit faire pour la sûreté de la République... Le matin du 30 Nov. Mr. Meeuwse, Député d'Overyssel, demanda à parler au Pensionaire et à moi pour | |
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nous communiquer la Résolution de sa Province, prise au KlaringenGa naar voetnoot1), qu'il avoit reçue, portant ordre aux Deputez de travailler à lever des difficultez qui empêchoient une promotion d'Officiers Généraux, et en particulier celle du Pce. d'Orange. Le Pensionaire étant parti de bonne heure de l'Assemblée des Et. Gén. pour celle de Hollande, Mr. Meeuwse me la communiqua dans une chambre à part, et me pria de travailler à cet effet parmi les membres des Etats de Hollande, qui s'assembleroit ce jour là. Le 30 au Soir à un souper de la Confrairie de St. George Mr. de KatwyckGa naar voetnoot2), buvant à une bonne paix ou une bonne guerre, HompeschGa naar voetnoot3) se mit à crier ‘point de guerre’. Tout le monde se tut. | |
2 Décembre 1746.My Lord Sandwich avoit proposé, qu'en cas que l'expédientGa naar voetnoot4) fût accepté, l'on transférât le Congrès à La Haye, afin de gagner du tems. Mais Mr. de Puisieux avoit rejetté cette proposition. Mais avant de le faire, Sandwich avoit proposé de transférer les Conférences dans un autre endroit en général, disant que l'on n'avoit qu'à choisir, et en nommant plusieurs, entre autres Maestricht, ‘si vous voulez promettre’, ajouta-t-il, ‘de ne nous y pas assiéger, car je ne me soucie pas d'être dans une ville assiégée’. Sur quoi Puisieux dit, ‘Pour cela, je ne vous le promettrai certainement pas: la démarche que la République a faite de confier la garde de Maestricht aux Autrichiens est de trop d'éclat pour que la France n'entreprenne pas de l'attaquer, en cas qu'Elle en trouve l'occasion favorable’. Sandwich m'a dit que Puisieux étoit un homme extrêmement poli et doux, qu'il avoit de très bonnes manières, | |
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qui s'emportoit quelques fois; mais que lui Sandwich avoit dit à Puisieux lui-même, qu'il avoit remarqué que les vivacités de Puisieux n'étoient jamais déplacées ni hors de tems; ce qui avoit beaucoup réjoui Puisieux, qui dans toutes les conférences avoit fait grand usage de moqueries et de menaces, parce qu'il remarquoit que cela faisoit effet. Il m'a aussi dit que le Pensionaire parloit fort peu dans les Conférences, que c'étoit Wassenaer qui portoit la parole.
2 Déc. 1746. Ayant enfinGa naar voetnoot1) trouvé le Pensionaire chez lui je lui dis, que ce qui s'étoit passé le mardi dans la chambre du Greffier m'avoit beaucoup déplu; que je n'aimois ni à gronder, ni à être grondé; que j'espérois que pareille chose n'arriveroit plus; qu'au bout du compte j'étois là pour dire mon avis, et qu'aucune considération personelle ni autre ne m'empêcheroit de le faire. Il voulut encore faire quelque petite apologie de ce qu'il avoit dit, tant sur la chose même, que sur ce qu'il avoit avancé dans la chambre du Greffier, mais la conversation se passa assez tranquillement, et changea peu à peu; de sorte qu'enfin nous vinmes à parler du tout cequi s'étoit passé dans cette affaire depuis son commencement, où il se laissa échaper que c'étoit l'été passé qu'on auroit dû faire la paix; que l'on en avoit perdu l'occasion; qu'il auroit falu s'en tenir au premier précis de TrevorGa naar voetnoot2) et ne lui pas rendre son papier, ni accepter le second; qu'au bout du compte le papier étoit donné par un Ministre accrédité; qu'à Paris ils étoient allés en avant sur ce papier et qu'ils en avoient donné connoissance par leur dépêche du 17 Juillet, non obstant quoi l'on avoit rendu à Trevor son prémier précis, et accepté le second le 21 Juillet; que s'il avoit été ici, il n'auroit jamais consenti à ce qu'on avoit fait. Quand je lui demandai à quoi cela auroit servi, puisqu'aussi bien Trevor auroit été désavoué, ayant fait un pas contre ses vérìtables ordres, dont il avoit altéré le sens, que dans la suite | |
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cela auroit passé, et empêché d'aller en avant, il me dit que ce raisonnement auroit été bon, si la chose avoit été en son entier, mais qu'ils avoient déjà fait usage à Paris du précis donné le 5 Juillet, de façon que l'Angleterre auroit été obligée de s'y tenir, mais que n'ayant eu aucune connoissance du second précis jusqu'à son retour ici, ils avoient agi de suite à Paris sur le premier, confirmés dans leur idée par la Résolution du 20 Août. Il paroissoit fort estomaqué de tout cela, ce que j'attribue à ce que cela lui donnoit un air de n'avoir pas été au fait ni informé de ce qui se faisoit ici, ou bien à ce que cela avoit ôté l'occasion de faire usage de ce qui avoit été fait le 2 JuilletGa naar voetnoot1). En parlant de Twickel il me dit qu'il n'étoit pas au fait; qu'il n'avoit pas le fil des affaires, et ne savoit pas ce qui s'étoit passé; que quand lui Pensionaire étoit allé le première fois à Paris, il avoit été fort en peine que cela n'en fit à Twickel, et qu'il ne regardât son envoi comme un affront, mais qu'à sa grande surprise - - et il ne put s'empêcher de rire en le disant - - il avoit trouvé Twickel fort aise de le voir et que tout s'étoit passé fort tranquillement. Au sortir de chez lui j'allai souper chez Sandwich, qui me dit que dans la dernière conférence à Breda Puisieux avoit dit à nos Ministres, que la plan auquel l'on donne le nom de plan d'ArgensonGa naar voetnoot2), avoit été en grande partie et pour les principaux articles leur propre ouvrage, et proposé à d'Argenson par eux; que nos Ministres avoient cherché à détourner la conversation, mais que lui Sandwich avoit appuié pour faire parler Puisieux, qui de son côté étoit bien aise de dire la chose devant Sandwich, qui alloit son train non obstant les efforts de Twickel et du Pensionaire pour l'en empêcher, et étoit bien aise que Sandwich le sût. |
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