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Avertissement au premier volume
Nous réunissons ici quelques remarques concernant spécialement les feuilles 1-142 du manuscrit et quelques documents de la même époque.
Dans la note précédente nous avons exposé que le manuscrit, avant d'être relié, se composait de plusieurs lots de papiers. C'est surtout la partie que nous reproduisons dans ce volume qui accuse des mains différentes. On peut discerner:
1) | Fol. 1recto-50recto, écriture en deux colonnes de Beeckman lui-même. Les feuilles numérotées d'abord 8, 9 et 10 présentent une particularité. A propos d'une question de musique Beeckman renvoie à l'une d'elles dans une note de mai ou de juin 1618 (fol. 77recto). Après cette date les trois feuilles sont coupées et il n'en reste que les marges intérieures; le numérotage 11, 12 et 13 des feuillets suivants fut changé en 8, 9 en 10 en encre très ancienne. On peut donc admettre que cette correction n'est guère postérieure à 1618. Le texte des feuilles supprimées nous manque entièrement. Dans nos renvois nous avons gardé le numérotage primitif. |
2) | Fol. 50verso-66verso, également en deux colonnes. En composant ses brouillons, Beeckman semble avoir eu l'intention d'en faire aussi la copie (cf. fol. 58verso). L'écriture de ses feuilles est cependant plus bâtarde que la précédente. Plusieurs blancs ont été laissés où les mots manquants ont été ajoutés plus tard en gothique, c'est-à-dire par le copiste dont il a été parlé dans la Note précédente, ou par Beeckman lui-même, dans la même écriture que les notes marginales. Ces additions prouvent à suffisance que cette partie fut confiée à un copiste. Elle s'arrête au milieu de la page et même au milieu d'une phrase. |
3) | Fol. 66verso-119verso, de nouveau en écriture assez cursive, mais différente de celle de fol. 1 sqq. et sans doute aussi d'un copiste. Celui-ci a continué parfois d'écrire au lieu de séparer une note nouvelle (fol. 70verso), ou, au contraire, il a laissé trop d'espace entre deux notes (fol. 75recto). En omettant une ligne de son brouillon, il a parfois réparé cette faute (fol. 75recto), parfois il ne l'a pas remarquée (même fol.). Ici encore, notamment dans les textes latins, il y a plusieurs blancs et des mots rajoutésGa naar voetnoot1). L'écriture est sur deux colonnes jusqu'au fol. 114verso au bas, où l'on a coupé de nouveau trois feuilles, cette fois vierges, semble-t-il. A partir du fol. 115recto l'écriture couvre toute la largeur de la page. A la fin elle devient encore plus cursive, mais elle semble également de la main du même copiste qui termina enfin au milieu d'une phrase. |
4) | Fol. 120recto et suivants. La graphie est celle du copiste en gothique qui avait ajouté, dans les parties précédentes, des mots omis et qui avait dessiné toutes les figures aux places que ses deux précédesseurs avaient laissées en blanc. On relève dans son texte et dans ses figures plusieurs fautes. L'écriture ici encore couvre
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toute la largeur des pages. Nous avons déjà dit pourquoi cette copie doit dater d'environ 1626. |
En somme, à partir du fol. 50verso, la partie du manuscrit que nous reproduisons dans ce volume, est un travail de copistes. D'où le grand nombre d'erreurs que nous avons souvent corrigées en indiquant au bas des pages les leçons originales. D'ailleurs le texte nous a parfois fait hésiter et soupçonner des omissions ou des additions de mots. En de tels cas nulle correction n'a été apportée par nous de peur de donner une interprétation erronée et d'altérer les idées de l'auteur. Le genre d'écriture des mots ajoutés dans les blancs est indiqué également, car il est parfois utile de le connaître.
Plusieurs des notes rédigées en flamand concernent le métier de fabricant de chandelles que l'auteur exerça dans sa jeunesse. A titre de curiosité nous donnons en noteGa naar voetnoot1) quelques indications y relatives.
C'est surtout au commencement du manuscrit que les notes ordinaires de Beeckman sont interrompues par des remarques d'ordre spécial:
1) Des ‘journax du temps’:
a) | Fol. 6recto (1re col., 1.1)-Fol. 6verso (1re col., 1.13); en marge: ‘Journael vant jaer 1612’. Observations météorologiques du 30 novembre 1612 au 6 mars 1613. |
b) | Fol. 11(ancien)recto (2e col., 1.7 en remontant)-Fol. 11verso (2e col. en bas); en marge: Journael vant jaer 1613 te Ziericsee a me’. Ce sont des observations allant du 8 mars au 27 juillet 1613. |
c) | Fol. 15recto (1re col. en haut)-15verso (1re col., 1.10 en remontant); en marge: Journael anni 1613 et 1614 te Siricksee’. Observations du 29 juillet 1613 au 3 avril 1614. |
d) | Fol. 15verso (1re col., 1.9 en remontant)-16recto 1re col. en bas), portant le titre: ‘Observata Scouteni in Galliâ à Montauban’ et en marge: ‘Journael anni 1613 in Vranckryck’. Observations du 23 mai 1613 au 29 septembre 1613, faites par Jacques Schouten, l'ami de Beeckman, et enyoyées sans doute à la prière du dernier. Rédaction française. |
e) | Fol. 16recto (2e col., 1.20)-16verso (1re col., 1.20); en marge: ‘Journael anni 1614 Siericksee’. Observations du 15 octobre au 31 décembre 1614. |
f) | Fol. 29verso (1re col., 1.1)-29verso, 1.32). En haut: t' Sirecsee’. Observations allant des cinq premiers jours de janvier 1615 au 17 mars 1615. |
Ces notes sont toutes rédigées de la même manière, donnant pour chaque jour la direction du vent, éventuellement l'indication des chutes de pluie, de neige ou de grêle et d'autres particularités s'il y a lieu. Nous en avons donné des exemples dans quelques-unes de nos annotations (cf. ci-dessous pp. 15, 58, 59, 61 et 62). Vers 1612-1615 des observations plus exactes étaient à peine possibles, surtout faute de connaître l'usage du thermomètre. Plus tard, en octobre 1627 (fol. 304verso-305recto) et en septembre 1628 (fol. 328recto) Beeckman procéda à des retouches; il remarque que ‘venti et calor et frigus crasso duntaxat modo potuerunt observari’, tandis que la direction du vent pouvait être trouvée ‘per indices in summitatibus turrium constitutos, vix in octavam
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partem’, et lui-même propose une méthode plus précise. Toutefois ce ne sont pas uniquement ces défauts qui rendent l'ouvrage peu utilisable. La seule mention des jours pluvieux aurait sa valeur, si les observations avaient porté sur une période plus longue. Mais comme il y a des trous nombreux après le 10 mai 1613 et que la pêriode du 4 avril au 14 octobre 1614 manque totalement, nous ne les avons pas reproduites.
2) Des ‘Tempestatum collectiones’, notées en 1613 et 1614.
a) | Fol. 11recto (1re col., en haut)-11recto, 1.8 en remontant); en marge: Tempestatum collectio ex alijs’. Notes sur des phénomènes, épidémies et le prix des vivres pour les années 1501, 1502, 1519, 1524, 1530, 1552, 1556, 1567, 1604, 1564 et 1565, 1572 (sur la nouvelle étoile; l'auteur cite Tycho Brahé) et 1577Ga naar voetnoot1). On y trouve aussi quelques remarques qui peuvent ressortir a l'observation personnelle de l'auteur: sur l'hiver de 1607-1608Ga naar voetnoot2) et sur les années 1610, 1611 et 1612 (cf. aussi ci-dessous pp. 18 et 21). |
b) | Fol. 14verso (2e col., 1.22)-14verso (2e col. en bas); en marge: Tempestatum collectio’, fournie par la lecture de Fernel. |
c) | Fol. 16recto (2e col. en haut)-16recto (1.19); remarques sur les années 1113 et 1605, empruntées aux ouvrages de Quercetan. |
Nous avons également supprimé ces notes tirées en majeure partie d'ouvrages imprimés et que Beeckman a insérées contrairement à ses habitudes.
3) Fol. 25verso (1re col., l.l)-29recto (2e col., en bas). Long document portant en tête: ‘Volcht hetgene Jan Jacobs, inwoonder van Zyricksee aengeteyckent heeft van winden, die hy in syn Oost-Indische reyse gehadt heeft’, et puis: ‘Journael van de koersen, hoochten, winden, op de reyse met de 8 schepen daer Sr. Pauwels van Caerden admirael af is. - Hooghte, tyt, wint, coers, mylen geseylt’. Ce journal concerne le brillant voyage fait aux Indes orientales en 1606. L'aller est décrit par un membre de l'équipage du vaísseau amiralGa naar voetnoot3) et par Cornelis Claesz jusqu'au 20 mars 1608Ga naar voetnoot4). Jan Jacobs (qui semble avoir déjà fait auparavant des observations nautiquesGa naar voetnoot5)), commence son journal le 12 mai 1606 (‘voeren wy 's nachs van Vlissingen’) et termine cette partie le 5 février 1608 (‘gescheyden van de vlote naer Macasser aen het eylant Selebes, daer wy gearriveert syn den 5en February (1608))’. Dès l'arrivée aux Indes une partie des vaisseaux fut renvoyée dans la mère-patrie. L'auteur du premier journal imprimé partit de Bantam le 15 novembre 1608 et entra en rade de Flessingue le 7 avril 1609. Cornelis Claesz avait déjà pris le chemin du retour avec
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cinq vaisseaux, le 7 octobre 1608 et toucha à Texel le 9 août 1609. Son journal est plein d'observations nautiques et à ce point de vue ressemble à celui de Jan Jacobs, qui ne revint que plus tard. La seconde partie de ses notes intitulée: ‘Journael op de wederomreyse met het schip Patari’ part du 7 octobre 1609 et s'arrête le 29 juin 1610 (‘gearriveert binnen Texel God lof’). Après que Jan Jacobs se fut fixé à Zierikzee, Beeckman a pu copier son journal, vraisemblablement à la fin de 1614 ou au début de 1615. Nous ne l'avons pas reproduit car il est sans utilité pour l'intelligence des propres remarques de Beeckman.
4) Fol. 47verso (2e col.)-50recto. Notes généalogiques. Après avoir dit, en 1617, qu'il voulait s'en occuper (fol. 58verso), Beeckman commença à les écrire sur les feuilles 48recto-49recto laissées en blanc au début de son second lot de papier. La plus ancienne série mentionne la date ‘desen 16en Junij 1618’. Il continua sur les feuilles 49verso et 50recto, restées également en blanc, par la biographie de ses enfants à partir du 7 mars 1621 jusqu'au 22 octobre 1628. Entre temps, vers 1622 ou 1623, il écrivit sur le reste de la feuille 49recto d'autres notes relatives à sa famille qu'il poursuivit au même endroit en 1624. Des renseignements supplémentaires furent ajoutés vers 1625 dans la seconde colonne, restée en blanc, du fol. 47verso, dernière feuille de son premier lot de papier. A ces notes généalogiques, complétées par des dacuments tirés des Archives, nous avons, pour notre Vie de l'auteur, emprunté des détails, suffisants, croyons-nous, pour faire comprendre le milieu familial de Beeckman.
Quoique se trouvant plus loin dans le manuscrit, il faut joindre aux documents de cette époque:
5) Fol. 163recto-178verso, la copie du Compendium Musicae que Descartes, à Bréda, remit à Beeckman pour ses étrennes de
1619. Celui-ci le confia en 1627 au copiste qui écrivait en gothique et qui copia encore d'autres documents de la même époque (cf. ci-dessus pp. XXVII, sous le no. 8). Lorsque Beeckman fit relier ses papiers en 1628, cet écrit et ceux du même lot devaient interrompre l'ordre chronologique des notes. Beeckman restitua l'original à Descartes en 1629. Depuis lors divers savants hollandais en prirent des copies: Constantin Huygens en 1637 et Van Schooten vers 1640, dont les exemplaires sont conservés respectivement à la Bibl. de l'Université de Leyde et à celle de l'Université de Groningue. Il fut imprimé une première fois peu après la mort de DescartesGa naar voetnoot1); il fut ensuite plusieurs fois rééditéGa naar voetnoot2). Quoique l'auteur y traite de plusieurs questions que Beeckman avait approfondies dans ses notes, dont il avait parlé ou qu'il avait communiquées à son ami, nous ne reproduisons pas l'ouvrage de Descartes, une excellente édition en étant à la disposition de tout lecteurGa naar voetnoot3).
Après la mention des documents que nous supprimons, nous indiquerons ici les documents que nous reproduirons à une autre place que celle qu'ils occupent dans le manuscrit.
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Ce sont d'abord deux pages (fol. 159verso et 160recto) relatives à la chaînette. Comme nous l'avons dit plus haut (p. XXVII), elles sont copiées en gothique à la suite des notes d'avril 1620, c'est-à-dire à une place qui n'est pas la leur, car la date de leur composition est sans doute plus ancienne. Cette place en tête des écrits remis par Descartes à Beeckman pendant leurs entretiens à Bréda en 1618, pourrait faire douter de l'originalité de Beeckman, mais celui-ci avait déjà entrevu le problème en 1614 (fol. 20verso), et d'ailleurs nous savons que Descartes, invité par Beeckman à chercher la solution, avoua, dans une série de notes de sa main, reproduites à la fin du présent volume, qu'il n'avait pas le temps de s'en occuper (p. 362). Nous donnons ces pages sur la chaînette en Appendice aussi (pp. 354-359).
D'autres documents, concernant également des sujets particuliers et se trouvant parmi les notes ordinaires de Beeckman, seront reportés à notre t. IV. Ce sont:
a) | Fol. 4recto-4verso. Lettre de Beeckman écrite à Saumur, en 1612, à un inconnu (du Fos?). |
b) | Fol. 5verso: ‘Purgativum aureum catholicum’, recu de du Fos à Saumur en 1612. |
c) | Fol. 32verso. Instruction remise à Nicolas van Heyst à Zierikzee par un facteur d'orgue, et copiée par Beeckman. |
d) | Fol. 88recto-verso. Etat des dépenses de Beeckman pendant son voyage et son séjour à Caen, du mois d'août au 19 septembre 1618. |
e) | Fol. 160verso-162verso, les deux écrits que Descartes rendit à Beeckman, à Bréda, en 1618, l'un, sur le paradoxe hydrostatique, l'autre, sur la loi de la chute des graves. Ces écrits furent copiés en 1627 dans la même écriture gothique que le Compendium Musicae qui les suit. Nous avons expliqué comment ils furent mis à tort, en 1628, parmi les notes de 1620. |
f) | Fol. 282recto-290verso. Correspondance de Beeckman avec Jeremia van Laren vers 1613; la liste d'ouvrages recommandés à Beeckman par Rudolphe Snellius, probablement en 1608; des documents concernant la promotion de Beeckman à Caen en 1618; enfin sa correspondance avec Descartes pendant les premiers mois de 1619. Pour ces documents, copiés aussi en gothique, cf. ci-dessus p. XXVII, sous le no. 7. |
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voetnoot1)
- Un exemple caractéristique se trouve au fol. 75recto, où la main qui écrit en gothique avait ajouté dans le blanc le mot mopsum. Cette leçon moins heureuse fut corrigée dans l'écriture des notes marginales, c'est à dire celle de Beeckman, en myops.
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voetnoot1)
- Un artisan au travail est representé dans une gravure illustrant H. Schopper, de Omnibus illiberalibus sive mechanicis artibus humani ingenij sagacitate atque industriâ succinctus Liber (Francof., 1574). Un autre dessin, par Joannes Luyken, différent de la gravure insérée par le même dans son Het menschelyk bedryf (Amsterdam, 1694) est conservé à la Bibliothèque de l'Université d'Amsterdam. Pour la pratique du métier. cf. l'Art du Chandelier par Duhamel du Monceau dans la collection des Descriptions des arts et métiers faites ou approuvées par MM. de l'Académie royale des sciences (Paris, Desaint et Saillant, 1761) (27 vol. in-fol.), ou vol. V et X de la traduction flamande: Volledige beschryving van alle konsten, ambachten, handwerken, trafieken etc. (Dordrecht, 1788-1820 (20 vol.).
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voetnoot1)
- Pour les prix de diverses denrées au cours des années de grande cherté 1463, 1492, 1500, 1546, 1547, 1587, 1597 et 1623, cf. de Klare ende waerachtighe vertooninghe van eenighe merckelycke veranderinghen van goede ende duyre tyden (Amsterdam, 1624) (La Haye, Bibl. roy., pamphlet Knuttel 3568).
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voetnoot2)
- Cet hiver qui commença le 19 décembre 1607 et dura, presque sans discontinuité, jusqu'à la fin de mars, fut extrêmement rigoureux. Cf. Een warachtich verhael van den grooten ysganc die gheweest is in .... 1607 ende .... 1608 t' Antwerpen op de Schelde ende van den stercken vorst voor Rotterdam op de Mase etc. (Rotterdam, 1608). Cf. aussi: G. Peignot, Essai chronologique sur les hivers les plus rigoureux depuis 396 av.J.-C. jusqu'en 1820 (Paris, 1821) et l'excellente étude de M. Eastqn dans le Tijdschrift van het Aardrijkskundig Genootschap, 2e Série, t. XLV (1928), pp. 248-297, 449-503 et 654-714.
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voetnoot3)
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Loffelycke voyagie op Oost-Indien, met 8 schepen uyt Tessel gevaren int jaer 1606 etc., inséré, avec une pagination spéciale (1-48) au volume II du Begin ende voortgang van de Vereenigde Nederlandtsche geoctroyeerde Oost-Indische Compagnie, composé par Isaac Commelin et publié à Amsterdam dès 1644.
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voetnoot4)
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Journael ofte een Oost-Indische reysbeschryvinghe.... Met een besondere opmerckinge ontrent de diepte, ondiepte, sanden, stranden, gronden, havenen, bayen, streckinge der coersen en 't vallen der stroomen etc. (Amsterdam, 1651).
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voetnoot5)
- On lit dans Nautonnier: ‘H. de Groot dit qu'à Amsterdam la declination est de 9o½ et neanmoins Philippe Damfrie m'a fait tenir de Paris plusieurs observations, et entre celles des Hollandais, à savoir de Jean Davis, Jean Jacobsen et autres, est la declination de la guideymant pour la ville d'Amsterdam, qui est marquee à dix degrés et demy’ (Mécometrie de l'eymant, Venes, 1603).
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voetnoot1)
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Renati Descartes Musicae Compendium. Trajecti ad Rhenum, typis Gisberti à Zyll et Theodori ab Ackersdyck, CIƆ.IƆ.CL: in-8o, 58 pp.
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voetnoot2)
- Une traduction anglaise porte: Renatus Descartes Excellent Compendium of Musick with necessary and judicious animadversions thereupon by a person of honour (William Brouncker) (London, 1653), 94 pp. J.H. Glazemaker ajouta une traduction flamande à celle des lettres de Descartes: Kort begryp der Zangkunst door Renatus Descartes (Amsterdam, 1661); in-4o, 46 pp. Une traduction française se trouve dans le Traité de la Mechanique composé par Monsieur Descartes. De plus l'Abregé de Musique du mesme autheur mis en François. Avec les eclaircissemens neccesaires par N(icolas) P(oisson) P(rêtre) D(e) L(oratoire).... A Paris, 1668; le texte aux pp. 53-98, les notes aux pp. 101-127.
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voetnoot3)
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Oeuvres de Descartes, ed. Adam et Tannery, t. X (1908), pp. 89-150.
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