Overzicht van Tijdschriften
In LA NOUVELLE REVUE FRANCAISE van December '25, liet Paul Valéry enkele extracten verschijnen uit een boek van hem Le Cahier B 1910. Het zijn losse gedachten en noteeringen over literatuur, moraal, godsdienst zooals deze o.m.. ‘Je trouve curieuse cette idée de la religion: qu'une faute commise enlève le bénéfice de la pureté antérieure, comme si le mérite de “l'âme” avait subi une “transformation irréversible”. Et que le repentir et les formes obligatoires effacent, au contraire, tout une passé détestable, ce n'est pas moins étonnant. D'où tirer la puissance de tel jour d'une vie sur les autres jours? Celui qui est hors du temps, pourquoi donne-t-il cette prééminence, pour le mal ou le bien, au plus récent sur le plus éloigné... De ces deux mortels l'un est sauvé, l'autre damné. Mais la vie de l'un est identique à celle de l'autre, prise en sens contraire’ - ‘Les grands hommes meurent deux fois. Une fois comme hommes et une fois comme grands.’ - ‘Une religion fournit aux hommes des mots, des actes, des gestes, des “pensées” pour les circonstances où ils ne savent que dire, que faire, qu'imaginer.’ - ‘Donner de la valeur à celui qu'on est, tel qu'on est, quel qu'il soit.’
In den MERCURE DE FLANDRE (revue d'expression septentrionale) een fransch tijdschrift dat te Rijssel verschijnt vinden wij een artiekel over de dialekten die in Frankrijk gesproken worden en waar een lans gebroken wordt voor het aanleeren der moedertaal in Fransch Vlaanderen: ‘Gràce, à l'enquête de l'Eclair, l'opinion étrangère est maintenant avertie par des professeurs de l'Etat, par des politiciens, par des publicistes patriotes que notre nation, qui passe pour une et indivisible, n'en compte pas moins, entre la Méditerranée, les Pyrénées et la Seine, plus de quinze millions de citoyens pour qui le Français n'est pas l'idiome natal, n'est pas la langue maternelle; qui trouveraient tout naturel et désirable que le français leur fût appris indirectement, comme une langue morte, ou étrangère, par le moyen de leurs patois maternels et vivants; et qui considèrent que les instruire directement en français c'est les déraciner, par conséquent les amoindrir moralement et socialement.’
DE VRIJE BLADEN geven een fragment uit een lezing over Jean Cocteau door Constant van Wessem: ‘Bij Cocteau is de wereld der menschen en het leven nieuw gevoeld Men meent bij het lezen