Aanteekeningen
American Journal of Archaeology, I, 1924.
- Leicester B. Holland geeft in dit amerikaansch tijdschrift een belangrijke bijdrage over de resten van het Pre-Erechteum. Hij heeft namelijk de grondvesten onderzocht van het thans nog bestaande gebouw op den Acropolis te Athene en is tot de conclusie gekomen dat onder het in de late vijfde eeuw vóór Christus opgerichte tempeltje, Myceensche en klassieke constructies aanwezig zijn die gespaard bleven en die de lijnen hebben aangegeven van den lateren bouw. De orientatie van dit Pre-Erechteum is in het huidige monument ook bewaard gebleven. Walton Brooks Mc Daniel heeft het over The holiness of the Dischi Sacri en hij beweert dat die ronde terra-cotta platen die hoofdzakelijk in Taranto gevonden werden alles behalve heilige doeleinden hadden, maar veeleer als zegels of fabrieksmerken werden gebruikt.
In LA NOUVELLE REVUE FRANÇAISE, 1 September 1924, schrijft de fransche kunstschilder André Lhote naar aanleiding van de Zwitsersche tentoonstelling te Parijs het volgende over Holbein: ‘L'art de Holbein est tout entier d'analyse patiente; il repose sur un respect total de l'objet, sur un goût du particulier, de l'individuel, qui s'exprime pleinement dans ses admirables portraits, brossés d'un pinceau déférent et précis, et où la recherche du caractère parvient presque involontairement au grand style, malgré la notation des détails les moins propres à embellir un visage. Sa réussite est moins certaine lorsqu'il éprouve le besoin de dramatiser volontairement son sujet, comme dans son Christ mort, où l'on est bien obligé de constater que ce tour de force, cette merveille de “réalisation” confine au trompe-l'oeil et nous mène, dans tous les cas, à la limite extrême de l'art. Voici donc un peintre choisi, par les artistes et les critiques d'art suisses, comme un maître incarnant une des vertus les plus profondes de la race: la passion de la réalité, plastique et psychologique’. Over den duitsch-zwitzerschen schilder Hodler zegt hij: ‘Ses violentes nudités contrastent singulièrement avec la prétention symbolique qu'affiche leur auteur; elles étonnent nos yeux habitués à des formes plus transposées et déçoivent notre esprit entraîné à des exercices ou plus rigoureusement réalistes ou plus radicalement idéalistes. On pense malgré soi que Le Poussin, à qui il faut toujours revenir en matière d'éloquence picturale, avait, lui aussi, d'ambitieux desseins. Il désirait, lui aussi, donner des passions et des souffrances humaines une
représentation émouvante. Mais ses personnages, lorsqu'ils illustrent une fable, ne cessent pas d'être fabuleux. On n'éprouve pas, devant ses tableaux, la sensation d'avoir, à chaque coin de rue, rencontré ses modèles. Son effort se développe logiquement, dans un sens unique. Chez Hodler, au contraire, les personnages sont nettement décalqués sur le réel, et comme plaqués ensuite sur une trame symboliste’.