Tweede Deel van Sparens Vreugden-Bron
(1646)–Anoniem Sparens Vreughden-Bron– AuteursrechtvrijVytstortende Soo Nieuwe als Singens-waerdighe Deuntjens
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A de si petit morceaux,
Mon molin a Vent fait moudre,
Du bran, pour tous nos pourceaux.
2 J'en possede encore un autre,
Qui ne manque jamais d'eau,
La meilleure eau c'est nostre,
Chacun Yporte son scau,
Je ne me saurois. &c.
3 Je jouis d'une fontaine,
Tout au Milieu d'un grand pré,
Quand mon troupeau s'y promeine,
Je tonds la laine á mon gre,
Je me saurois, &c.
4 Qu'on ne m'ouvre point la bouche,
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Pour me parler d'un paysan,
Jamais on n'aura ma couche,
Si ce ne'est un Courtisan,
Je ne me saurois, &c.
Que cera- ce. |
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