Claus en de Vlaamse achterlijkheid.
Uitgevers zijn soms onbegrijpelijk. Niet alleen bij de selektie, maar wellicht nog meer bij de promotie van een bepaald werk. De volgende geschiedenis geeft daar een typisch staaltje van.
Begin 1969 verscheen bij Gallimard in Parijs de Franse versie van Omtrent Deedee van Hugo Claus. De uitstekende vertaling is van de hand van Maddy Buysse. Nu heeft ‘iemand’ het nuttig geoordeeld achteraan op het omslag dit boek voor te stellen in bewoordingen die ondermeer de volgende passus behelzen:
‘Entre Breughel et Jérome Bosch, l'auteur (...) avec un art puissant, un lyrisme remarquablement observateur, saccage la façade familiale à l'abri de laquelle se cachaient les fureurs les plus primitives, toutes les turpitudes et toutes les veuleries de ce monde flamand maintenu par l'église et “l'élite” dans un état d'ignorance et de sous-développement chronique.’
Eigenlijk hoeft het geen verbazing te wekken dat er tegen zo'n hyperbool meteen reaktie kwam. In zijn bespreking van A propos de Dédé In Les lettres françaises van 2 april 1969 (waarin hij trouwens deze roman gevat tot zijn ware proporties terugbrengt: een goed geschreven, maar naar de inhoud niet zo belangrijk werk) schreef Claude-Michel Cluny:
‘On peut assurer que le récit est un petit chef-d'oeuvre dans le genre mineur.. Mais il ne dépasse pas l'anecdote pour atteindre, fût-ce un instant, à ce plan sociologique ou mythique! Le livre est trop resserré autour de son prétexte pour s'ouvrir sur une interprétation. Les réflexions que Hugo Claus place dans la bouche de ses personnages pourraient appartenir à des personnages de Jules Romains ou d'Hervé Bazin. Qu'est-ce qui nous incite à penser que ces médiocres sont victimes d'un sous-développement?’ En verder: ‘Dans son genre, et en le tenant dans ses limites, “A propos de Dédé” est une peinture réussie d'un monde sans intérêt, mais d'un monde qui n'a pas les Flandres pour frontières.’
Zeer terecht wenst de vertaalster afstand te nemen van de manier waarop A propos de Dédé in Frankrijk geïntroduceerd werd. Hoeveel korrekter was het niet geweest de tekst te gebruiken die Maddy Buysse zelf voorgesteld had, en die integraal luidt:
‘“A Propos de Dédé” est le quatrième roman de Hugo Claus (né en 1929) traduit en français; les trois premiers parurent chez Fasquelle il y a une douzaine d'années. De toutes les oeuvres, déjà nombreuses de Claus, aucune n'a soulevé autant de controverses et le lecteur en comprendra facllement la raison.
Dans un petit village flamand, une famille si fruste, si primitive que son respect des rites et des coutumes rejoint celui de certaines tribus africaines, se réunit chaque année pour commémorer l'anniversaire mortuaire de leur mère. Cette “fête” annuele se célèbre toujours chez Dédé, le desservant de la paroisse, dont Nathalie, l'aînée de la famille, est la gouvernante. Une fois l'an, Dédé, renonçant à ses prérogatives sacerdotales, accueille la famille et cherche à s'y mêler.
Un double culte est célèbre: celui de la messe commémorative, suivi de celui, presque aussi important, des agapes familiales. Par les voix alternées des personnages, dont chacun, dans son chapltre, donne sa version des événements ainsi que ses réflexions personnelles, nous suivons le crescendo de la fête qui, insensiblement, prend des allures de “happening” en de bacchanale, dont la fin ne pouvait être que tragique.
Dans cette oeuvre brève et drue, Claus se révèle un romancier puissant, dont les personnages sont taillés à coups de hache dans un granit rude.’
Wie is de man die in dit geval vergat dat reklame makkelijk zichzelf kan overschreeuwen, en dan eerder afstoot dan aanlokt?
Jan Deloof