Liederen der orde van St. Peter, voor de loge De zon

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Les Ages.

Nous nous unissons en tous lieux
Par le flambeau quinous é__claire, l'Enfance a
de trop foibles yeux, Pour en sup-por-ter la lu-
mie__re: Nous devons faire un ju-ste
choix, l'Adolescence est trop peu fa_ge,

Refrain.

Et nos myste___res et nos
loix, Ne sont pas de tout a__ge.

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Quand l'Age mûr est soutenu

 

Des sentimens, de la prudence,

 

l'Homme parmi nous est reçu

 

Sous les loix du Dieu du silence.

 

l'Aimable Vieillesse, par choix,

 

Est admise & reçoit hommage:

 

Car nos misteres & nos loix } bis.

 

Sont le propre du Sage. }

 

 

 

La candeur, qui régne entre nous,

 

Craïonne les traits de l'Enfance.

 

Dans nos plaisirs chastes & doux,

 

On reconnoît l'Adolescence.

 

On y trouve les attributs

 

Qui, dans l'Age mûr, font un Sage:

 

Et qui juge & lit nos statuts, } bis.

 

De la Vieillesse y voit l'ouvrage. }