De Gulden Passer. Jaargang 60(1982)– [tijdschrift] Gulden Passer, De– Auteursrechtelijk beschermd Vorige Volgende 133. Expediens impedior Bombyx. Deuidant le labeur auquelie suis tenu Pendant que par trauail ie donne la richesse, Ie suis en mon ouurage empesché detenu Euueloppé mille fois dedans ma propre tresse. En m'arrestant ie meurs, tant ie suis malheureux, Ie laisse toutesfois vn corps de ma semence Qui n sachant ce mal reçoit l'experience Du rigoureux destin de ses parens ayeuls. In ne se trouue aucun qui l'en vueille aduertir. Tant vous aimez le gaing, & prenez tant de ioye De l'oeuure tournalier dont vous prenez la soye: Aucun ne peut aussi nostre mort diuertir. C'est vne chose dure estre serf vn long temps Sans receuoir profit de sa peine seruile, Et apres auoir fait ceste charge inutile En vn retz enferme finir le cours des ans. Vorige Volgende