De Gulden Passer. Jaargang 60(1982)– [tijdschrift] Gulden Passer, De– Auteursrechtelijk beschermd Vorige Volgende [pagina 59] [p. 59] 130. Canis queritur nimium nocere. Ie ne vay point suyuant le cours Des fuyars sangliers ny des ours, Ma queüe on n'a point veu paroistre Trop flateuse deuers mon maistre: Mais bien ie tire au col submis Dessoubz le toug que l'on ma mis: Et de ma force i'ay nuisance, Dont les autres ont allegeance Ceux qui sont libres me voyant Ainsi mené vont abayant Ses bahissants parmy la rue De ma pauure desconuenue. Q que i'eusse esté fortune' Si plus petit ie fusse ne'! I'eusse receu mille caresses, Le chier soucy de mes maistresses Qui soigneuses ne m'eussent pas Laissé sans lict & sans repas. Ainsi nuist richesse orgueilleuse Et la force presomptueuse. Mais beaucoup on reçoit de bien De se contenter du moyen. Vorige Volgende