De Gulden Passer. Jaargang 60(1982)– [tijdschrift] Gulden Passer, De– Auteursrechtelijk beschermd Vorige Volgende 111. Felicitas indigna, vel superflua. Les petits vers vont donnant d'allegresse La riche soye à leurs riches seigneurs, Qui sans soucy de ces petis labeurs, Et sans main mettre ont ceste grand' richesse. Ie voudrois bien que d'vn tel reuenu, A tout iamais fust mon bien maintenu. Mais suelement aux fortunez du monde Ce bien aduient, lesquels son faicts heureux Par le labeur de leurs peres soigneux, Dont en apres richesse leur abonde. Et à ceux la qui ont les heritages Que les mourans leurs laissent en partages. Quant est de moy, i'auray la suffisance Du bien acquis auecques diligence, Et ce seul bien seul me contentera. Celuy qui vient par un cas d'aduenture, Celuy la est perilleux de nature; Et qui plus est, gueres ne durera. Vorige Volgende