De Gulden Passer. Jaargang 56
(1978)– [tijdschrift] Gulden Passer, De– Auteursrechtelijk beschermd
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Cinquante ans d'activité scientifique
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l'ombre: la physionomie géographique des conciles et la méthode de travail de ces assembléesGa naar eind2. La première question est surtout importante pour l'époque mérovingienne, la seconde pour l'époque carolingienne. Un deuxième aspect est celui de l'originalité des prescriptions juridiques. Ce problème est double. Tout d'abord il faut établir si le document législatif n'a pas eu comme source générale d'inspiration un ou plusieurs textes bien déterminés: cette filiation est d'ordinaire assez visible pour qu'elle puisse être établie sans trop de difficulté. Par contre, il est bien plus ingrat de déterminer pour chaque point précis l'influence de la législation antérieure; pour l'époque carolingienne ce travail n'avait jamais été tenté. En troisième lieu, nous avons indiqué les matières dont s'est occupé chaque texte juridique et dégagé ses préoccupations essentielles au point de vue de la législation religieuse. Nous étudions document par document. Nous analysons les décisions promulguées suivant un ordre systématique. Nous terminons l'étude de l'époque mérovingienne et des deux périodes carolingiennes par un tableau d'ensemble de la législation religieuse suivant cet ordre et par des conclusions qui reprennent synthétiquement les trois grands points de vue que nous avons indiqués. Que tout ce programme ait été réalisé avec quelque succès, l'attestent le prix de Courcel dont l'Académie des Inscriptions et Belles Lettres a couronné le tome I et la demande qui nous a été faite de deux publications ultérieures. Nous avons en effet réédité les actes des conciles mérovingiens dans le Corpus christianorum en 1963Ga naar eind3; dans l'introduction à chaque concile nous insistons sur la répartition géographique des évêques présents, parce qu'elle fixe l'aire d'application ou tout au moins la sphère d'influence des canons adoptés. Nous avons publié dans la collection juridique de l'université de Camerino, d'après une meilleure tradition manuscrite, Neuf capitulaires de Charlemagne concernant son oeuvre réformatrice par les ‘missi’, cette édition est accompagnée de tableaux comparatifs suggestifsGa naar eind4. En ce qui concerne les institutions et les lois de l'Église en général, notre contribution la plus importante est celle apportée au Traité de droit canonique, dirigé par le professeur Naz et paru à Paris en 1948-1949Ga naar eind5. Dans le tome I nous avons écrit l'histoire | |
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des sources du droit canonique occidental et oriental, dans ce même volume et dans les tome II et IV, nous avons fait le commentaire de séries de canons du Code de droit canonique latin de 1917. Nous avons toujours rigoureusement suivi l'ordre des canons, donné leur texte latin et leur traduction française. Au tome I, nous avons traité, pour remplacer un collaborateur défaillant, de la coutume et de la supputation du temps. Le tome II est entièrement de notre plume et traite Des sacrements. Déjà nous nous étions occupé d'eux en divers articles, un petit livre: Ordre, Mariage, Extrême-Onction, paru à Paris en 1939 dans la Bibliothèque catholique des sciences religieusesGa naar eind6, collection de vulgarisation, tâche cependant de dire tout ce qu'il y avait à dire et de dégager comme de prémisses certaines conclusions nouvelles, notamment: le rite matériel et les paroles sacramentelles ne doivent pas nécessairement avoir lieu en même temps, pourvu qu'ils s'accomplissent au cours de la même cérémonie dont l'ensemble, de par l'intention du ministre, lui donne son caractère propre. Dès lors, rites et paroles peuvent être employés pour des cérémonies dépourvues de ce caractère; il y a eu dans le passé et il peut encore y avoir une relation entre la fréquence de l'onction des malades et la moindre fréquence de la pénitence, et vice-versa. Ces thèses effrayèrent les théologiens, ils ont fini par s'y rallier. Dans le tome II du Traité nous avons exposé la discipline sacramentelle actuelle en Occident et, plus brièvement, en Orient, indiquant aussi ses antécédents historiques; on trouve en appendice une curieuse table comparative entre le rituel romain de Paul V, le Code latin de 1917 et le rituel romain de 1925Ga naar eind7. Dans le tome IV nous nous sommes occupé des causes de béatification et de canonisation; dans deux articles de 1948 nous avons retracé l'établissement progressif de la procédureGa naar eind8, d'autres études ont été consacrées à ces causes, à des saints ou bienheureux; nous avons notamment publié la liste exacte et complète des béatifications et canonisations jusqu'en 1952Ga naar eind9. Le Traité de droit canonique a été aussitôt adopté dans les instituts d'enseignement francophones, et a connu une seconde édition en 1956. Depuis une Commission pontificale a été créée pour rédiger un nouveau Code de droit canonique latin et nous avons été associé comme Consulteur à ces travauxGa naar eind10. | |
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Nous nous sommes beaucoup occupé des Églises orientales en particulier. Nos deux volumes sur les Conciles des Orientaux catholiques de 1575 à 1949, 1182 pages parues à Paris en 1949 et 1952, constituent un travail de longue haleine absolument neuf et qu'on peut considérer comme définitifGa naar eind11. Il analyse point par point, en suivant l'ordre originel, les décisions non seulement des conciles, mais aussi des assemblées électorales et des synodes diocésains. Certains actes existaient en latin ou en langue moderne occidentale, d'autres ont été traduits à notre intention. Le tome I va jusqu'à 1849 et s'occupe des Maronites, Malabares, Melkites et des communautés d'Europe orientale; le second, allant jusqu'à 1949, y ajoute les Arméniens du Proche-Orient, les Syriens, les Coptes, les Italo-Albanais, qui commencent seulement à cette époque à tenir des assemblées législatives. A la fin de chaque volume on trouve une synthèse comparative des différentes législations étudiées, et l'édition d'actes inédits: deux pour le tome I, trois pour le tome II. Dans ce dernier, on trouve une liste de tous les évêques résidentiels dans les Églises unies d'Orient de 1575 à 1950. Ensuite nous avons publié, dans la traduction qui nous avait été fournie, les actes de quatre conciles maronites, de vingt synodes diocésains et d'un synode électoralGa naar eind12. Notre premier livre Les Églises unies d'Orient, paru à Paris en 1934 dans la Bibliothèque catholique des sciences religieusesGa naar eind13, à la suite d'un voyage dans le Proche-Orient, et une étude assez originale sur Les Églises séparées d'Orient publiée en 1937 dans ApologétiqueGa naar eind14, ont fait l'objet de traductions à l'étranger. En 1936 nous avons fait paraître à Paris, en collaboration avec le professeur Jean Dauvillier, un livre sur Le mariage en droit canonique oriental, 234 pages, qui a été couronné par l'Académie de législation de Toulouse, Dès 1939, nous avons été appelé à collaborer aux travaux de la Commission pontificale pour le droit canonique oriental. D'abord dans la recherche des sources: nous avons publié dans les Fonti de cette Commission: en 1943, une étude sur Les textes juridiques dans les Pandectes de Nicon de la Montagne noire, vaste compilation byzantine inédite, dont nous avons depuis édité le chapitre IGa naar eind15; en 1967, nous avons rédigé l'introduction, les notes, les index pour une édition d'actes choisis des patriarches de Constantinople de 1191 à 1572Ga naar eind16. Nous avons | |
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imprimé en 1941 une brève étude illustrée sur la vie religieuse en Orient et en 1956 une petite histoire de l'Église russeGa naar eind17. Après la publication des motu proprio de Pie XII promulguant un nouveau droit canonique oriental nous avons donné des études à leur sujetGa naar eind18. Ils ont perdu beaucoup de leur actualité, en 1973 une nouvelle Commission pontificale a été créée, nous en sommes Consulteur depuis le début. Nous étions déjà Consulteur de la S. Congrégation pour les Églises Orientales. Nos recherches sur les sources canoniques orientalesGa naar eind19 ont amené à nous confier en 1961 un enseignement à leur sujet à l'université pontificale du Latran, puis ensuite à l'institut pontifical oriental, où nous avons publié en 1967 le canevas de notre cours: Fontes iuridici Ecclesiarum OrientaliumGa naar eind20. Nous avons été appelé en 1957 à diriger avec trois autres érudits belges une publication en langue néerlandaise, en cinq volumes, intitulée Flandria Nostra, le mot Flandre étant ici entendu dans le sens des humanistes, c'est-à-dire la Belgique actuelle. Cet ouvrage est une histoire des professions et catégories sociales, tentative tout à fait nouvelle, ce qui explique les contributions absolument originales des différents collaborateurs. L'abondante illustration des volumes est aussi constituée par des documents iconographiques inédits ou peu connus. Notre propre synthèse sur le clergé séculier, les religieux et les religieuses, comprenant 212 pages, parut en 1959 dans le tome IV. Elle embrasse dix périodes chronologiques, pour chacune d'elles nous caractérisons en peu de mots les principales situations. 3 cartes, dont 2 en couleurs, indiquent comment noms et limites des diocèses ont été successivement modifiés; 36 illustrations, dont 4 en couleurs, représentent selon un manuscrit inédit de 1783, évêque, prêtres, religieux, religieuses, dans leurs costumes traditionnels. Les 79 autres gravures collent au texte et les légendes en expliquent tous les détails. Sur une carte de Belgique, sont représentés, en leur lieu propre et avec leur attribut caractéristique, les dix prêtres séculiers et religieux dont la cause de béatification a été introduite. A la fin de nos études théologiques au grand séminaire de Malines, nous avons été chargé du soin de la bibliothèque professorale et des archives, nous y avons puisé le sujet de nos premiers articlesGa naar eind21. Depuis lors nous avons assemblé de nombreuses notes | |
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inédites tant en Belgique que dans sept autres pays sur les archevêques de Malines de 1689 à 1815, mais surtout les richesses trouvées aux archives du Vatican, jusque dans des fonds alors inaccessibles au public, nous ont engagé à publier divers articlesGa naar eind22, puis en 1974, à Paris, deux volumes intitulés Cinq archevêques de Malines, comprenant ensemble 716 pages, plus les portraits et armoiries. Cet ouvrage ne constitue pas, à proprement parler, une monographie diocésaine, car, tout en retraçant leurs antécédents, nous plaçons avant tout les cinq prélats en face des grands problèmes de leur temps: dans le tome I La liquidation du jansénisme, dans le tome II Les lois françaises en matière de religion applicables en Belgique. Loin d'avoir toujours été suivis par leur clergé, les archevêques furent souvent contestés par un camp ou par l'autre. Le P. Ceyssens, historien du jansénisme belge, s'arrête à 1700; pour la suite de la vie de l'archevêque Humbert-Guillaume de Precipiano et pour celle du cardinal Thomas-Philippe d'Alsace il existait peu de chose; une biographie ancienne du cardinal Jean-Henri de Franckenberg étudiait surtout la période autrichienne de son épiscopat, Jean-Armand de Roquelaure était à peine connu, sur Dominique de Pradt on avait des études partielles. C'est dire tout ce qu'il y a de neuf dans notre large récit historique, émaillé de multiples citations et suivi, pour chaque archevêque, de nombreux documents, inédits ou mal connus. Les tables comprennent environ 3000 noms de lieux et de personnes. Dès 1929 nous avons commencé un catalogue des 188 manuscrits, décrits selon toutes les exigences modernes dans notre Catalogue des manuscrits du grand séminaire de Malines, formant le tome IV du Catalogue général des manuscrits des bibliothèques de Belgique, 200 pages et 4 hors-texte. On trouvait à Malines, maintenant à Louvain, une superbe Bible angevine de Naples, enluminée, du XlVe siècleGa naar eind23; les cours professés par le futur pape Hadrien VI à Louvain; un lot important de manuscrits provenant de l'ancien prieuré augustin de Bois-Seigneur-Isaac offrant une riche série de textes rares ou inéditsGa naar eind24; l'introduction de notre Catalogue contient des indications de première main sur le scriptorium de ce prieuré. Nous avons écrit des études de détail sur quelques institutions du diocèse de MalinesGa naar eind25. | |
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L'histoire ecclésiastique d'Anvers était très incomplètement connue, nous avons traité des XVIe, XVIIIe et XIXe siècles dans les ouvrages collectifs de la Société d'histoire d'Anvers dont, comme président, nous avons promu la parutionGa naar eind26. Nous avons écrit une petite histoire du diocèse, parue en langue néerlandaise en 1962Ga naar eind27, diverses études sur les évêques d'Ancien RégimeGa naar eind28, mais nous nous sommes surtout intéressé au dernier en date d'entre eux: Corneille-François de Nelis, orateur, philosophe, historien, mort en exil en 1798. Nous avons donné des descriptions détaillées et illustrées de ses portraits et de ses oeuvres impriméesGa naar eind29; publié ses agendasGa naar eind30 et nombreuses de ses lettres adressées à des savants belges et étrangersGa naar eind31; enfin en 1963 nous avons fait paraître une monographie sur les dix dernières années de sa vie avec en annexe de nombreux documentsGa naar eind32; en un mot nous avons mis dans sa vraie lumière une curieuse figure, jusqu'alors incomplètement ou mal étudiée. Nous avons donné diverses études sur des églises d'AnversGa naar eind33, sur le clergé d'Anvers et de TurnhoutGa naar eind34. Nos articles sur l'imprimeur anversois Christophe Plantin s'occupent d'éditions ou d'incidents qui ont trait à la religionGa naar eind35, nous avons décrit longuement l'histoire et la réalisation inachevée de La ‘Versio Belgica’ de la Bible du franciscain Guillaume Smits, commencée en 1744Ga naar eind36. En ce qui concerne le diocèse de Liège, nous avons beaucoup publié sur l'abbaye des chanoines réguliers de Saint-Augustin à Rolduc, et spécialement sur le plus savant de ses membres, au XVIIIe siècle, Simon-Pierre ErnstGa naar eind37. Aussi la direction du centre international de Rolduc (actuellement dans les Pays-Bas), nous a demandé d'écrire l'histoire de cette abbaye et de ses religieux depuis la réforme conventuelle de 1661 et de sa transformation en séminaire du diocèse de Liège en 1831. Nous avions déjà recherché sur place, dans les paroisses anciennement desservies par les religieux, dans des couvents voisins, les cours de théologie de l'abbaye pour la fin du XVIIe et tout le XVIIIe siècle, ensemble unique depuis la destruction des cours de Louvain. Notre étude en la matière avait paru en 1954, en 1975 sortit de presse Rolduc. Son abbaye. Ses religieux. Son séminaire. (1661-1860), 320 pages de texte, 160 de documents, 48 d'illustrations. Nos recherches sur | |
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le clergé du diocèse de Liège commencent déjà avec l'époque de Charlemagne. Les oeuvres complètes de Reimbald, chanoine à Liège au début du XIIe siècle, décédé comme doyen du chapitre cathédral en 1149, étaient absolument inconnues; elles occupent maintenant une place dans la Continuatio Mediaevalis du Corpus christianorum, 190 pages. Nos publications récentes ont concerné la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècleGa naar eind38. Nous avons également enseigné le latin médiéval à l'université du Latran. Chaque année nous avons examiné avec nos élèves des textes différents, notamment des inédits du XIIe siècle, d'Hugues de Fouilloy, chanoine régulier de Saint-Augustin à Heilly, et d'Odon, bénédictin de Canterbury, mort abbé de Battle. Ces oeuvres formeront un gros volume impriméGa naar eind39. Par ailleurs nous nous sommes intéressé à des manuscrits enluminés, de nature ou de provenance ecclésiastique, conservés à Oxford, à Avignon et à Lisbonne, à PistoieGa naar eind40. Nous avons montré comment le thème iconographique du Pressoir mystique a été traité par les différents arts figuratifs dans toute l'Europe occidentale du XIIe au XVIIe siècleGa naar eind41. Nous avons donné des études sur des personnages des XVIe-XVIIIe siècles: François II de Harlay, archevêque de RouenGa naar eind42; les religieux minimes de la province belgeGa naar eind43; un jésuite franc-comtois et deux capucins du nord de la FranceGa naar eind44; Gérard Mercator et René Benoist en tant que biblistesGa naar eind45; quatre mystiques, trois religieuses belges et Marie-Joachim de Louvencourt, d'AmiensGa naar eind46. Le stévenisme, du nom du chanoine namurois Corneille Stevens, a marqué la constitution d'une ‘Petite Église’ anticoncordataire en Belgique. Nos nombreux travaux sur la période française, non seulement à Malines, Anvers et Liège, mais aussi dans d'autres diocèses belgesGa naar eind47, nous ont valu de faire partie d'un groupe de contact avec les stévenistes, nous avons eu la satisfaction, ayant été mêlé aux pourparlers, d'en voir revenir le plus grand nombre à l'Unité en 1956Ga naar eind48. Nous avons publié une étude sur les dissidents lyonnais et vendéensGa naar eind49. Nous avons continué nos investigations sur la période française en Belgique et même dans la région rhénaneGa naar eind50. Nos travaux d'histoire profane ont généralement été écrits à la suite de demandes qui nous avaient été formulées. En 1946 nous | |
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avons publié Dix siècles d'histoire byzantine (476-1461), à l'intention des étudiants des facultés de lettres. Ce petit ouvrage se divise en cinq périodes, pour chacune d'elles sont développés les mêmes thèmes principaux, permettant ainsi une étude ou chronologique ou systématique. Une traduction néerlandaise en a paru. Une encyclopédie en cette langue nous a demandé des articles d'histoire byzantineGa naar eind51. Après quelques exposés fragmentairesGa naar eind52, nous avons publié en 1976 un livre de 224 pages: François-Étienne de Lorraine, Marc de Beauvau-Craon, et la succession de Toscane (1717-1759). François-Étienne est l'époux de Marie-Thérèse et le futur empereur, de Beauvau est le président du Conseil de Régence à Florence de 1737 à 1749. Nous avons publié l'acte de cession du duché d'Urbino au Saint-Siège en 1624, le testament de la dernière princesse de Médicis et analysé les codicilles, elle mourut en 1743Ga naar eind53. Nous avons fourni études et documents sur la branche catholique des princes de Nassau-Siegen (1612-1743), et sur des princes de Chimay (1722-1754)Ga naar eind54. Nous avons fourni deux articles sur les arts graphiques en Hollande à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècleGa naar eind55. Nous avons décrit longuement les opérations militaires de la Révolution brabançonne en 1789-1790Ga naar eind56. Nous avons écrit un article sur l'Europe médiévale, qui fut remarquéGa naar eind57, et d'autres, à la suite de séjours, sur gens et choses de ParisGa naar eind58, de BordigheraGa naar eind59, de MadridGa naar eind60, du DanemarkGa naar eind61, d'Autriche et de TchécoslovaquieGa naar eind62. Notre dernière étude de 1978 concerne Abraham OrteliusGa naar eind63. Tout cela représente vingt-trois écrits de base, ici nommément cités ou indiqués, plus de six cents articles, environ douze mille pages imprimées. |
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