Skiplinks

  • Tekst
  • Verantwoording en downloads
  • Doorverwijzing en noten
Logo DBNL Ga naar de homepage
Logo DBNL

Hoofdmenu

  • Literatuur & taal
    • Auteurs
    • Beschikbare titels
    • Literatuur
    • Taalkunde
    • Collectie Limburg
    • Collectie Friesland
    • Collectie Suriname
    • Collectie Zuid-Afrika
  • Selecties
    • Collectie jeugdliteratuur
    • Basisbibliotheek
    • Tijdschriften/jaarboeken
    • Naslagwerken
    • Collectie e-books
    • Collectie publiek domein
    • Calendarium
    • Atlas
  • Periode
    • Middeleeuwen
    • Periode 1550-1700
    • Achttiende eeuw
    • Negentiende eeuw
    • Twintigste eeuw
    • Eenentwintigste eeuw
De Gulden Passer. Jaargang 31 (1953)

Informatie terzijde

Titelpagina van De Gulden Passer. Jaargang 31
Afbeelding van De Gulden Passer. Jaargang 31Toon afbeelding van titelpagina van De Gulden Passer. Jaargang 31

  • Verantwoording
  • Inhoudsopgave

Downloads

PDF van tekst (5.57 MB)

ebook (7.77 MB)

XML (0.62 MB)

tekstbestand






Genre

sec - letterkunde

Subgenre

tijdschrift / jaarboek


In samenwerking met:

(opent in nieuw venster)

© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

De Gulden Passer. Jaargang 31

(1953)– [tijdschrift] Gulden Passer, De–rechtenstatus Gedeeltelijk auteursrechtelijk beschermd

Vorige Volgende
[pagina 106]
[p. 106]

Résumés en langue française
English summaries

Abraham Verhoeven et la presse anversoise

Le 13 octobre 1652, Abraham Verhoeven, le premier ‘courantier’ belge, mourut à Anvers. Pour commémorer cet anniversaire, une rétrospective fut organisée au musée Plantin-Moretus.

 

Nous avons profité des notes rassemblées en vue de cette exposition pour donner ici un aperçu rapide et un status questionis de l'histoire de la presse anversoise. Nous nous sommes un peu plus longuement attardé aux origines de la presse périodique anversoise, car jusqu'à présent ce sujet n'a pas encore été étudié de manière satisfaisante.

 

Les ‘nouvelles écrites’ sont les ‘ancêtres’ des nouvelles et gazettes imprimées. Cependant, elles ne disparurent pas lors de l'apparition de l'art typographique. Echappant aux rigueurs de la censure, elles continuèrent pendant les 16e et 17e siècles à être exploitées par des agences spécialisées, surtout en Italie et en Allemagne. De telles agences ne furent pas inconnues aux Pays-Bas; à Anvers cependant il n'a pas été possible d'en retrouver des traces. La métropole scaldéenne semble s'être cantonnée longtemps dans un rôle plus passif: au 16e siècle, elle fut le centre d'informations le plus actif et le plus intéressant des agences de ‘nouvelles écrites’.

 

Notre ville a pris sa revanche dans le domaine des nouvelles imprimées. Si au temps des incunables, son rôle reste encore assez effacé, elle passe résolument au premier plan de l'activité ‘journalistique’ pendant la première moitié du 16e siècle. Dans cette branche spéciale de l'art typographique, elle représente alors plus de 80% de la production totale des Pays-Bas; elle

[pagina 107]
[p. 107]

put alors rivaliser avec les centres mondiaux les plus importants tels que Venise et Augsbourg.

Il n'y eut pourtant pas encore a cette époque une véritable spécialisation chez les imprimeurs ni chez les éditeurs. Presque tous les typographes anversois imprimaient ces nouvelles concurremment avec leurs autres productions. Les faits et gestes de Charles Quint et les guerres contre les Turcs formaient les principaux sujets d'actualité, imprimés en flamand, en français et en latin. Il n'y avait encore aucune périodicité et chaque nouvelle - ou groupe de nouvelles apparentées - avait sa publication séparée. Outre les imprimeurs, les graveurs sur cuivre et surtout sur bois racontaient les nouvelles par l'image.

Au début de la seconde moitié du 16e siècle, il n'y eut que quelques changements secondaires: l'industrie des nouvelles passait aux imprimeurs de second rang. Quelques uns, comme Pierre Snoeys et la veuve de Christophe de Remunde, font déjà figure de véritables spécialistes. D'autre part, la superbe série des albums d'actualité - longtemps une des grandes spécialités d'Anvers - commença sa parution. Là, typographes et artistes graphiques travaillaient côte à côte.

Survint la révolte contre l'Espagne: de 1566 à 1576, les imprimeurs anversois de ‘nouvelles’, intimidés par la présence des tercios de Philippe II, ne bronchèrent pas. Mais lorsque, après la furie espagnole, la cité fut passée au camp des insurgés, on y vit également l'éclosion d'une littérature pamphlétaire inspirée par l'actualité politique et religieuse: l'élément ‘subjectif’ envahit le domaine de l'actualité, et reléguait à l'arrière-plan les ‘nouvelles’ proprement dites.

 

En 1585 Anvers tomba à nouveau sous le joug espagnol. Le règne des pamphlets incendiaires était clos; les ‘nouvelles’ ordinaires firent de nouveau leur apparition - mais on y vit rapidement percer un nouvel élément ‘subjectif’: les nouvellistes anversois, au service de l'Espagne et du catholicisme restauré, commençaient à attaquer la religion réformée et leurs frères d'armes des jours passés. Les figures dominantes de cette époque - des imprimeurs véritablement spécialisés dans la branche des ‘nouvelles’ -

[pagina 108]
[p. 108]

furent A. Tielens et M. de Rissche (de 1585 à 1590) et A. de Ballo (après 1590).

Ce dernier disparut à son tour en 1599. Dès 1604 se développa l'activité d'Abraham Verhoeven: il devait bientôt monopoliser à Anvers l'industrie des ‘nouvelles’ imprimées et contrôler en même temps toute l'actualité par l'image. Mais cette nouvelle phase dans l'histoire de la presse anversoise sera pour une autre fois.

 

L. Voet

Contribution a la bibliographie des premières éditions d'Henri Conscience

L'unique édition de ‘Phantazy’ est datée de 1837. En plus du tirage ordinaire, quelques exemplaires furent imprimés sur papier fort Whatman.

De l'édition originale du ‘Leeuw van Vlaenderen’, parue en 1838, il y a également deux tirages, dont un, très restreint, sur papier fort.

La seconde édition de cette oeuvre, datée de 1843, présente des remaniements considérables. Elle est devenue fort rare.

 

H. Dirkx.

The acta sanctorum and the printing of catholic books in Antwerp and Amsterdam in the 17th century

From 1643 to 1668 the Acta Sanctorum were printed in Antwerp by the Meursius family, but financial considerations made them stop the printing in this last year. Dr Joan Blaeu, the famous Amsterdam publisher, who just like his father printed many Catholic books, some particulars about which are given here, undertook the printing of the Acta. The Jesuit Papebroek went

[pagina 109]
[p. 109]

to Amsterdam for this purpose, but directly after the printing was started, a big fire in the printing house in February 1672 put an end to the undertaking. In April 1673 an Antwerp printer, Michiel Cnobbarus or Cnobbaert, volunteered to print the Acta and acquitted himself honourably of this task. His successor, Hendrick Theuillier, however, did not want to continue the printing, when the Spanish Inquisition at the instance of the Carmelites, who felt offended by a passage in the Acta, put in November 1695 a ban on all the volumes, published by Henschenius and Papebroek together. An offer made by the Huguetans in Amsterdam to continue the printing, was declined by Papebroek, as appears from a letter in the library of the University of Leiden, published in the appendix of this article. In the 18th century there were no more difficulties, as the Antwerp Jesuits got their own printing house.

 

I.H. van Eeghen.

Luc van Hoek
Dessinateur

L'universalité du talent de Luc Van Hoek ressort le mieux de ses multiples activités: il est dessinateur, illustrateur, peintre, sculpteur et littérateur. Toutefois, cet artiste est avant tout dessinateur, peintre du pays et du peuple brabançons qui n'ont cessé de l'attirer et d'inspirer son oeuvre. C'est dans ce milieu pittoresque et actif qu'il s'est fixé définitivement à Goirle.

 

Les dessins de Luc Van Hoek révèlent l'influence du style baroque qu'il s'est assimilé et qu'il a interprété d'une manière individuelle et indépendante. Ce goût pour le baroque n'est d'ailleurs nullement accidentel: il est devenu propre au tempérament brabançon. Le baroque de Luc Van Hoek est aussi profondément empreint de l'influence rubénienne.

 

Nous admirons surtout en Luc Van Hoek l'illustrateur de livres et de revues, où il excelle dans le dessin de lettres monumentales.

[pagina 110]
[p. 110]

Ses initiales parues dans Brabantia nostra, dont il est un des fondateurs, témoignent suffisamment de sa virtuosité dans le tracé.

L'art de Luc Van Hoek est principalement d'inspiration religieuse. Dans l'illustration d'images sacrées, destinées aux pèlerins et aux visiteurs de sanctuaires, l'artiste a trouvé un exutoire pour exprimer par la graphique son ardente foi chrétienne. Une même piété l'anime dans ses illustrations d'images mortuaires. Son imagination riche et féconde a son libre cours dans le dessin animé et vivant des cartes de naissance.

 

J. Muls.


Vorige Volgende

Footer navigatie

Logo DBNL Logo DBNL

Over DBNL

  • Wat is DBNL?
  • Over ons
  • Selectie- en editieverantwoording

Voor gebruikers

  • Gebruiksvoorwaarden/Terms of Use
  • Informatie voor rechthebbenden
  • Disclaimer
  • Privacy
  • Toegankelijkheid

Contact

  • Contactformulier
  • Veelgestelde vragen
  • Vacatures
Logo DBNL

Partners

Ga naar kb.nl logo KB
Ga naar taalunie.org logo TaalUnie
Ga naar vlaamse-erfgoedbibliotheken.be logo Vlaamse Erfgoedbibliotheken

Over dit hoofdstuk/artikel

auteurs

  • Leon Voet

  • H. Dirkx

  • Isabella Henriëtte van Eeghen

  • Jozef Muls