Machtige Heil'ge, wiens diep-zinnig woord
hij ons verklaarde eerbiedig en bescheiden.
Wil hem ver-wellekoomen en geleiden
Maria, zuivre Moeder, reine Vrouw,
Rein was ook deeze in denken en in daden.
Breng hem het heil, en troostende genade
(Amsterdammer.)
FREEDERIK VAN EEDEN.
In de Revue des deux Mondes, Nrs van Januari en Februari, schreef Victor Giraud een belangrijke studie over Barrès. De slotbladzijde luidt aldus:
‘A suivre dans tous ses méandres une pensée très mobile, très accueillante et très diverse, en ai-je bien saisi et fait sentir la suite et l'unité? - Certes, il a beaucoup changé, et dans le grave orateur du “Génie du Rhin” et des discours sur Dante, il serait assez difficile de reconnaître le biographe amusé de Bérénice. Mais qu'on aille au fond des choses: il a évolué, il s'est développé, épanoui, plus qu'il n'a changé. L'auteur des “Barbares” avait “de l'avenir” et des parties sérieuses dans l'esprit; et d'autre part, en cherchant bien, il ne serait pas impossible de trouver çà et là, dans ses derniers ouvrages. encore un peu d'égotisme et de dilettantisme littéraire. Ce qui est certain, c'est que le romancier des “Déracinés” a très librement, mais très fidèlement suivi le mouvement de la pensée de son temps. Parti du pur individualisme, il a progressivement élargi son esprit jusqu'à lui faire contenir et exprimer le nationalisme intégral; un nationalisme sans étroitesse, et qui sait être juste et libéral, même à l'égard de ses ennemis, mais qui n'en est pas moins un nationalisme résolu: les “Barbares” ont été repoussés jusqu'aux frontières du monde hellénique et latin. Né romantique, de par ses hérédités et ses premières lectures, il a débuté par le romantisme le plus exalté et le plus imaginé; et, comme un vin généreux qui peu à peu se dépouille, il est allé se clarifiant, se simplifiant, et, sans répudier toutes ses rêveries de poête, il a connu le prix
de l'ordre, de la sobriété, de la raison, bref, il s'est rangé à la tradition classique. Dilettantisme, pessimisme, nihilisme, il a commencé par sacrifier - avec combien d'autres - à tous ces faux dieux de sa jeunesse; mais il les a rentés à temps, et par la plume et par l'exemple, il a fini par glorifier les saines vertus et le nécessaire optimisme de l'homme d'action...’
- Van Querido's ‘Oude Waereld’, waarvan het 1ste deel: ‘De Koningen’ hier breedvoerig werd besproken, zijn thans twee verdere bundels verschenen: ‘Zonsopgang’ en ‘Morgenland’. - Niemand loochent Quérido's groote gaven, maar gaat hij zoo door zichzelf te gobeeren, dan is er alle kans toe dat de schrijver het langer uithoudt dan zijn lezers, waarvan