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Eenige Fransche schrijvers
Paul Deroulède.
Auteur van ‘Chants du Soldat’ en ‘Chants du Paysans’. Hij was een moedige soldaat en te rechte mocht hij getuigen:’
Je ne suis point de ceux qui, le poing sur la hanche,
Aux efforts du pays, ne joindront que leur voix.
Zijne gedichten zijn het uitvloeisel van een edele inborst, van een zuivere vaderlandsliefde. Zij hebben niets gemeens met de zoutelooze afkooksels der ‘décadents, symbolistes, abscons’ van allen aard. Zijn woord is klaar, krachtig, trillend, puntig als damaststaal. Hij beitelt, noch knipt, noch schuurt zijne verzen; hij doet ze niet blinken, rinkelen en herrinkelen eer hij ze de volle vlucht geve, en nochtans, ze dringen vrij dieper in de herten dan de prachtige rijmen der ‘Parnassiens’ ‘capables de trancher des roches, seulement ils n'entrent pas dans le coeur’. (Veuillot).
Uit Deroulède's klaroen klinkt over Frankrijk: ‘Zonen van het vernederd vaderland, de herten omhoog! Sluimert niet in! Zegt niet, hopeloos denkende aan de glorie des verledens,
‘Tout ça, c'était bien beau, c'est bien fini tout çal’
God zal ons niet verlaten! Een Brennus zal opdagen’! en snikkend, slaat de dichter de oogen naar den Hemel
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‘Pauvre France! que Dieu te protège et te.... change
Deroulède heeft de woelige en bedriegelijke politiek ontvlucht en zingt, in het vaderlijk erf, de schoon- en vruchtbaarheid der natuur.
Caché comme un druide au fond d'une forêt
Chanter ta bonne terre où le Ciel m'a fait vivre
Et tes bons paysans, sans qui rien ne vivrait.
Hij looft den gespierden maaier
‘Vaillant galérien dont la faux est la rame’
en de reine moedige dochter die het veldwerk verkiest boven den rijksten dienst, in de stad
‘Moi, je veux travailler, vivre et mourir chez moi’
en de landbouwers
‘Qui portent joyeux, leurs fardeaux accablants’
en dank aan wie
‘Les blés, les puissants blés, ondulent sous le vent’.
Deroulède is de wreker der boeren, lomp beschimpt door de steedsche jonkers
.... Ça blâme, ça méprise
Et ça n'est pas même fichu de travailler.
Kortom, de zanger der Soldaten en der Landlieden is een edelmoedig hert, een ware dichter wiens talent vrij bleef van allen verderfelijken invloed. ‘Il ne s'amuse point, zegt Delaporte, à jouer au bilboquet avec des rimes, à nieller des alexandrins, à ciseler des strophes, à ruminer deux jours le quatorzième vers d'un sonnet, à entoitiller des galanteries et autres fadeurs dans des vocables ou des rythmes inconnus des maîtres qui ont fait la bonne langue de France’.
Deroulède's dichtbundelkens genieten een ongewo- | |
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nen bijval, vergelijkbaar met dezen van Zola, maar in een verschillenden kring. Zij zullen, hopen wij, langer gelezen worden, bewonderd en geroemd dan de flauwe en misvormige rijmelarijen ‘de ces Pompiers du Parnasse, qui lâchent à volonté les détestables flots de leur style tiède et jaunâtre’. (Veuillot).
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José Maria de Hérédia.
‘Parnassien’ van de school van Leconte de Lisle. Vermaard door zijne ‘Sonnets’ alle perelkens van 't zuiverste water. De poëet grijpt een vizioen uit 't verleden, een historisch feit, bij voorkeur uit het ridderwezen, een personnage, een ‘type’, een tropisch natuurverschijnsel (de Hérédia werd geboren te Cuba). Allergetrouwst zijn de teekeningen, springend levend de karakters, de kleinste bijzonderheden keurig afgewerkt, de woorden met een vergrootglas uitgekozen, de verzen met een gouden hamerken geslagen. De indruk is hoogst aangenaam, al ontbreke in 't algemeen, hartstocht en zielegloed.
Vîeil Orfèvre.
Mieux qu'aucun maître inscrit au livre de maîtrise,
Qu'il art nom Ruyz, Arphé, Ximeniz, Becerril,
J'ai serti le rubis, la perle et le béryl,
Tordu l'anse d'un vase et martelé sa frise.
Dans l'argent, sur l'émail où le paillon s'irise.
J'ai peint et j'ai sculpté, mettant l'âme en péril,
Au lieu de Christ en croix ou du Saint sur le gril
O honte! Bacchus ivre ou Danaé surprise.
J'ai de plus d'un estoc damasquiné le fer,
Et, dars le vain orgueil de ces oeuvres d'Enfer,
Aventuré ma part de l'éternelle Vie.
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Aussi, voyant mon âge incliner vers le soir,
Je veux, ainsi que fit Fray Juan de Ségovie,
Mourir en ciselant dans l'or un ostensoir.
Werken: Les Conquérants de l'or, Tes Trophées.
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Pater Delaporte. - Pater Cornut.
Jezuïeten, medeopstellers aan 't verdienstelijk maandschrift: Études religieuses, philosophiques, historiques et littéraires’ van Parijs. Beiden zijn vurige bewonderaars en gelukkige navolgers van L. Veuillot, ‘ce bon soldat et chevalier’ zegt Delaporte. Hunne critische studiën en oorspronkelijke werken worden hoog geschat, voornamelijk de gedichten van Pater Delaporte. ‘Tous les souffles de l'inspiration s'y rencontrent, avec tous les secrets du métier.’ (de Pontmartin). Werden, bij voorbeeld de ‘Récits et Légendes’ uitgevent met het gebruikelijk trompetgeschal en de gewone kwakzalverij, men zou ze algauw zien klimmen in de achting van 't publiek, honderd ellebogen boven de ‘rijmen’ van zekere beroemdheden. Onze beide recensenten zijn gretige boekenwreters. Onbeschroomd vellen zij hun oordeel, over halve en geheele goden, die dan ook vertoornd, op de papen neerblikken, al grommende ‘stupides yeux, oreilles d'âne’. Hunne critiek is leerrijk, springend levend, humoristisch, en bovenal streng. Wij bevelen ze aan de jongere letterkundigen die er hunnen smaak zullen bij louteren en hunne harten voelen ontvlammen voor 't Ware, 't Schoone en 't Goede. Tot de opkomende Christene dichters roepen zij: ‘Jeunes gens, prenez garde à la guitare, elle assoupit; au luth qui amollit; embouchez le clairon et jouez-nous des fanfares courageuses. Va, disait jadis Paul Deroulède:
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Va, clairon, réveille, réveille!
Va, clairon, réveille-nous donc?
Les Bleus étaient vainqueurs, insolents et féroces;
Ils poussaient les Chouans captifs, à coups de crosses;
Et le long du chemin tout jalonné de sang,
Ils allumaient, pour tire, un village en passant.
Comme note finale à leurs clameurs trop gaies,
Souvent un jet de feu brillait le long des haies:
Un Bleu tombait, râlant au milieu des jurons;
Les Bleus disaient aux Blancs: ‘Chiens! nous vous le paierons.’
Et les coups redoublaient sur le dos de ces braves,
Qui marchaient, en priant tous bas, tristes et graves;
Entre les talus verts, dans les sentiers herbeux,
Dans les grands chemins noirs piétirés par leurs boeufs,
Où naguère passaient, sur leurs charrettes pleines,
Les gerbes du froment qu'ils fauchaient dans ces plaines.
Leur pauvre coeur saignait en songeant au passé...
Soudain l'on déboucha près du Bas-Briacé,
Humble hameau, blotti dans un bouquet de chênes;
Nid de fleurs et de jore avant ces jours de haines...
Un des Chouans pâlit et son oetl se voila;
En face, à trois cents pas, sa chaumière était là!...
Le berceau des aieux, le toit qui le vit naître!...
Et derrière l'auvent qui cache la fenêtre,
Son père est là, sa soeur, sa femme, son enfant,
Toute sa vie!... En longs sanglots son coeur se fend..
Et les Bleus ricanaient: ‘Lâche et canaille, il pleure!...
On te fera chanter et danser tout à l'heure.
Au vert carrefour de deux sentiers étroits,
Sur un tertre, ou talus, se dressait une croix
- ‘Ripoche, dit le chef des Bleus, si tu veux vivre,
Il avança, tremblant comme un homme ivre.
- ‘Ripoche, dit le chef en étendant la main,
Ce poteau vermoulu nous barre le chemin.
- Abattre une croix?.. Moi!
Ripoche releva la tête à ce blasphème.
- Après?... C'est promis; tu vivras.’
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Le Vendéen regarde et montre ses deux bras,
Son poignet droit qu'étreint la corde qui l'attache.
- ‘Accepte?... on te délie; on t'apporte une hache,
Et tu travailleras comme un bon ouvrier,
Gratis, mais de bon coeur, sans te faire prier!’
Les autres le piessaient avec leur bayonnette,
Criant: ‘Va donc!’ montraient là-bas sa maisonnette
Au faîte illuminé par le soleil couchant,
Et plus loin, le blé mûr qui jaunissait son champ:
‘Va donc! la vie est là! sinon, la mort est proche.’
Les Vendéens disaient:’ Prends garde à toi, Ripoche!
Toi, soldat du bon Dieu, ne sois pas un Judas!’
On se tut. - ‘Eh bien! soit, dit Ripoche aux soldats:
Une hache! unc hache!... Otez moi cette corde’
Les Vendéens criarent: ‘Jésus, miséricorde!...
Seigneur, ayez pitié de lui. pitié de nous!’
Et plusieurs en pleurant tombèrent à genoux.
Ripoche piend la hache à deux mains, en silence;
Examine la croix, et d'un seul bond s'élance;
Sur le tertre; il s'adosse au bois, étend les bras:
‘O Crux ave!... dit-il. Quant à vous, scélêrats,
Venez! je fends le crâne au premier qui s'approche!’
- O Crux ave! crâient les Blancs. Bravo, Ripoche!’
Les Bleus se regardaient, étonnés, interdits
- ‘ Venez donc essayer votre hache, bandits!’
Et les deux cents bandits qu'un seul homme menace
Se décident enfin et s'avancent en masse.
Ripoche dans le tas frappe à coups redoublés.
Comme aux jours où dans l'aire il frappait sur ses blés.
Un contre tous: sa foi grandit son énergie.
Et bientôt tout autour de lui, l'herbe est rougie;
Cinq, dix, quinze blessés se tordent dans leur sang.
Mais le cercle de fer va se rétrécissant;
La hache en vain se lève et retombe et tournoie.
Les Bleus poussent ensemble un hurlement de joie
Et quarante contre un sautent sur le talus:
Accablé, pressé, n'en pouvant plus,
Ripoche entre ses bras saisit la croix bénie:
On l'écrase; il la tient jusque dans l'agonie.
Sur la croix son sang coule; et son âme s'en va
Vers Celui dont le sang sur la Croix nous sauva:
Tandis que, par vengeance et pat excès de rage,
Les brigands sur la croix employarent leur courage
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La horde, avant de repartir,
En jeta les tronçons sur le corps du martyr;
Et dans la même fosse on roula pêle-mêle
Le soldat défenseur de la cause éternelle,
Et ce bois qu'un instant ses bras avaient sauvé.
Vrai tombeau d'un soldat chrétien! - O Crux. Ave!
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Leon Bloy.
Gedoopt door zijnen vriend, Paul Féval: ‘Godvruchtige tijger.’ Hij heeft geen zierken medelijden met de vijanden van God en Kerk. Hij slaat links en rechts, met razenden drift; hij doemt de dwaling, wreekt de waarheid, brandmerkt de lage herten, voorspelt de akeligste rampen, ontsteekt in woede en geestdrift, spuwt vuur en vlam, dondert en bliksemt tegen de meeste romanciers, dichters, dagbladschrijvers ‘voleurs de gloire, êtres vils, cupides, sacrifiant toute dignité littéraire aux appétits niais de la foule, ambitieux de caresser lucrativement l'interne pourceau de tout homme.’
Maurits Dullaert schreef eene merkwaardige studie op Bloy. Hij vindt zijne ‘faconde un peu déclamatoire.’ Ons dunkens is zij ‘fort déclamatoire,’ nevelachtig, ja duister op menige plaatsen. Hoe spreekt hij van de XVIIIe eeuw? ‘Une espèce de paganisme mollasse se combine avec je ne sais quels détritus infects de Port Royal. Greuze tempère Lucrèce et le miel sauvage des Géorgiques, recueilli dans les flancs entrouverts des taureaux d'Aristée, transformé en une mélasse impure, découle du bec jaune de Fontenelle sur la palette rose de Boucher ou de Fragonard.
Les hommes de ce temps grandissent dans une espèce de lumière lavée et trouble à travers laquelle ils aperçoivent le ciel comme le frontispice turquin d'un poème encyclopédique, et la nature comme une idylle
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à la Deshoulières ou à la Florian, pleine de petits moutons blancs et de petits arbres bleus découpés sur de petites aurores fleur-de-pêcher et se prolongeant ainsi indéfiniment sous les horizons.’
Legt zoo bladzijden op bladzijden, min of meer raadselachtig en opgeblazen als deze, en ik vraag het, moet men Veuillot, de goeden smaak zelf, op 't lijf vallen omdat hij Bloy afdankte als medeopsteller aan den ‘Univers?’
Eenige ‘klauwkens’ die de inktbeesten deden bloeden, hier en daar een gelukkige bestempeling van den eenen of anderen volksvergiftiger, een knotsslag op de kruin van een eerloozen broodschrijver, ja, dat komt niet zelden d'eentonigheid breken van die ronkende perioden, maar de lezers van ‘l'Univers’ waren wat beters gewoon, en Veuillot was te wijs om zijn blad te benadeelen door de opneming der artikels van Bloy ‘ce perpétuel emballé de l'enthousiasme et de la colère.’ (Dullaert).
Werken: Le révélateur du Globe. Christophe Colomb devant les taureaux. La chevalière de la mort. Le désespéré. Le salut par les Juifs.
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Joris-Karl Huysmans.
Leerling van Zola. Eerst naturalist. ‘Il peint plus volontiers les paysages urbains que la nature, et voit plus de poésie dans une impasse infecte, boueuse et noire, que dans un sous-bois illuminé d'une lumière verte par les rayons du soleil passant à travers les feuilles.’ (Buet). Na ‘A Rebours’ en ‘Làbas’ verscheen ‘En Route’ (1894) boek dat een hevige opschudding verwekte. De auteur verhaalt den strijd gevoerd door ‘Durtal,’ deknaam van Huysmans zelf, voor de vrijmaking zijner ziel, geboerd met de keten der laagste ondeugd. Enkele bladzijden waren,
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naar ons oordeel, beter weggelaten. Sommige plaatsen zijn langdradig en van loggen gang. De volzinnen zijn hier en daar opzettelijk doorspekt met ongewone termen. ‘En Route’ getuigt van een opmerkzamen geest en van diepe en veelzijdige kennissen.
Barbey d'Aurevilly zegt van Huysmans: ‘le talent est à toute page; l'abondance des notions sur toutes choses va jusqu'à la profusion. Le style savant et technique, déploie une magnifique richesse de vocables.’
Men mag onderstellen dat Huysmans zelf de held is zijner dramatische verhalen. Na den beker der wellusten tot op den bodem te hebben geledigd, begint hij te wanhopen van zijn meer en meer geprikkelden dorst naar het zinnelijke ooit te kunnen lesschen. O rampzalige, o nietige mensch die wil leven zonder God!
Het gebed of liever de alarmkreet waarmede ‘A Rebours’ sluit, voorspelt de verlossing zijner arme ziel, in ‘En Route,’
‘Ah, le courage me fait défaut et le coeur me lève.... Seigneur! prenez pitié du chrétien qui doute, de l'incrédule qui voudrait croire, du forçat de la vie qui s'embarque dans la nuit sous un firmament que n'éclairent plus les fanaux consolants de l'espoir!.’
‘En Route’ is de openbare belijdenis van een rechtzinnigen boetpleger wiens pen, als deze van den bekeerden Féval, voortaan meesterstukken zal voortbrengen, onder alle opzicht, onberispelijk. René Doumic, een gevierde Criticus, gelooft niet aan de ‘oprechtheid’ van Huysmans. Het christen gevoelen ontbreekt, volgens hem, in ‘En Route’. ‘Cette aspiration à la piété, c'est l'effort d'une génération fatiguée pour restituer dans nos âmes la foi qui nous rendrait la saveur du péché.’ 'T Is overdreven. Wij nemen aan dat Huysmans is een ‘ruwe’ bekeerling, maar niet een schijnheilige.
Werken: Drageoir aux Epices. Marthe. Les Soeurs Vatard. En ménage. Croquis parisiens. L'Art moderne. A rebours. Là-bas. En Route.
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Dumas.
Dumas ‘zoon’ geboren te Parijs, in 1824, overleden in 1895. Hij zelf schilderde zijn vader, den beruchten romancier en tooneelstukschrijver af als volgt: ‘Tragédie, drame, histoire, romans, voyages, comédies, tu as tout rejeté dans le moule de ton cerveau et tu as peuplé le monde de la fiction de créations nouvelles. Tu as fait craquer le Journal, le Livre, le Théâtre, trop étroits pour tes puissantes épaules; tu as alimenté la France, l'Europe, l'Amérique; tu as enrichi les libraires, les traducteurs, les plagiaires; tu as essoufflé les imprimeurs, fourbu les copistes,.....’
Dumas ‘zoon’ onderscheidt zich ook door verbeeldingskracht, vruchtbaarheid, geest en zwierigen stijl. Het goede dat hij stichtte met hulde te brengen aan het Opperwezen, aan het Geloof in Jezus, aan het Evangelie ‘het goddelijk boeksken dat de wereld heeft omgekeerd’ zal het opwegen tegen het kwaad veroorzaakt door zekere onchristelijke pleidooien en doen verzwinden den wierook welken hij te gretig brandde voor allerhande mishaaglijke schepselen?
Menige onbekende fragmenten werden, na Duma's afsterven, in 't licht gegeven, ten einde te betoonen dat er bij den auteur van ‘la Dame aux Camélias’ perels te rapen zijn waardig om de werken op te luisteren der beste katholieke schrijvers. Van het weinige dat ik las van den beroemden romancier herinner ik mij met welbehagen de volgende regelen uit eenen brief aan eenen kunstenaar die het leven moede, er aan dacht, om zich te zelfmoorden. Dumas, zijn vriend, tracht hem van het akelig opzet af te keeren. ‘Si vous n'avez plus le génie, ayez le travail. Si vous ne pouvez plus nous faire des chefs-d'oeuvre, faites tout ce que vous pouvez faire. Si vous n'êtes plus un artiste, soyez un ouvrier. Si vous n'êtes plus un créateur, soyez un copiste.
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Faites des rampes d'escalier, des moulures de plafond. des groupes pour pendules. Sciez des pierres de taille, et maniez la truelle, comme un maçon; mais à trente ans, vigoureux, honnête et respecté, ne désertez pas un monde où vous avez eu besoin des autres et où les autres ont besoin de vous. Le suicide! C'est bon pour les hommes ruinés, les libertins impuissants et les caissiers infidèles! Et encore, ils n'en abusent pas!... Quant à ce Dieu que vous blasphèmez et niez parce qu'il ne veut pas vous dire son secret, commencez par admirer ce qu'il vous montre, et vous n'aurez plus le temps de chercher ce qu'il vous cache... Il sait pourquoi il a créé l'homme, il sait bien aussi où il le mène. Il existe, que cela vous suffise’.
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Karel Buet.
Katholieke auteur, vast in zijn geloof als de houthakker, geharnast tegen den rampspoed des levens, uitermate vruchtbaar, omreizende voordrachtgever in Frankrijk, Zwitserland en België. Hij schreef meer dan vijftig romans, het geschiedkundig werk ‘l'Amiral de Coligny; boeiende studiën op P. Féval et Barbey d'Aurevilly; tooneelstukken onder dewelke ‘le Prêtre’ die den ‘Abbé Constantin’ van den Jood Halévy, in de schaduw stelt. Zijne buitengewone vaardigheid om alle tonen aan te slaan en allerhande onderwerpen te verhandelen ‘voor de vuist ‘deden hem eens betitelen: ‘den katholieken Dumas’.
E. Pauwels, Pr.
Lovendegem.
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