Poèmes(1895)–Emile Verhaeren– Auteursrecht onbekendLes bords de la route. Les Flamandes. Les moines Vorige Volgende [pagina 235] [p. 235] Soir religieux Vers une lune toute grande, Qui reluit dans un ciel d'hiver, Comme une patène d'or vert, Les nuages vont à l'offrande. Ils traversent le firmament, Qui semble un choeur plein de lumières, Où s'étageraient des verrières Lumineuses obscurément. Si bien que ces nuits remuées Mirent au fond de marais noirs, Comme en de colossaux miroirs, La messe blanche des nuées. Vorige Volgende