Le théâtre villageois en Flandre. Deel 2
(1881)–Edmond Vander Straeten– Auteursrechtvrij
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Les Iveraers van Rethorica, ayant pour emblême la Meersch-bloeme, représentent sept fois, du 15 mai au 12 juin 1769: Den noyt volpresen iver tot vervoorderinge in de christen religie, betoont in het vroom leven van den heyligen edelen ridder Georgius, en de verlossinge van de jonge princesse, eenige dochter van den coning van Capadocien, uyt de vreede klauwen van een schrickelyke draecke, ook hoe Sarina, Keyserinne van Roomen, met Anatolus en Protolus, bekeert zyn geworden door Georgius, en ook gemarteliseert door den vreeden roomschen keyser Diocletianus, en deszelfs rampsaligen ondergank, tragi-comédie enrichie de danses et de chants, ainsi que d'un intermède: Diogenes philosophe, le tout dédié au baron Charles-Emmanuel Van Hoobrouck. Les Nieuwe aenkomelingen van Rethorica, munis du même emblême, exhibent dix fois, du 10 avril au 2 juin 1774: het Lyden van J.-C., tragédie suivie d'une farce et dédiée comme précédemment. Aucune pièce, à notre connaissance, ne relie le siècle dernier au siècle actuel. Une grande activité règne, depuis quelque temps, à la société récemment créée: de Vlaemschgezinden, portant pour emblème: Wy doen wat wy kunnen (Nous faisons ce que nous pouvons), et jointe à l'association des fanfares: Lyrisch genootschapGa naar voetnoot(1). Citons, entre autres, le brillant concours de déclamation organisé en 1873, où pas moins de trentecinq monologues et dialogues sont débités, et les fructueuses séances scéniques et musicales données, en 1873, pour la création d'une Bibliothèque populaire. |
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