Saint-Nicolas, en 1777, avec la tragédie Caliste, de Colardeau, traduite en flamand.
La Distelbloem scherp om grypen se rend, en 1789, au concours de Lokeren avec une tragédie traduite du français. Elle tient son droit d'existence officielle de la gilde-mère, la Goudbloem de Saint-Nicolas.
Les Rym-konst-minnende Iverlingen mettent en scène, à partir du 25 avril jusqu'au 7 août 1791, tous les dimanches et jours de fête, non compris le premier jour de Pentecôte et le jour du Sacrement ou Fête-Dieu: Den eersten zegenprael behaelt op den hoogmoedigen Erocus, koning van Hongarien en Duydsland, door den jongen roomschmoedigen held Crispus, zone van Constantinus, keyzer van Roomen alsmede zyne onschuldige dood, uytgewerkt door zyne geylzugtige en God vergetene stiev'moeder en roomsche keyzerinne, Fausta, tragédie en cinq actes, entremêlée de musique vocale et instrumentale, de tableaux brillants et de ballets, et suivie d'une comédie avec musique, appelée ‘opéra,’ à savoir: 't Gedwongen houwlyk van Roeland:
Al is de ryken Roland al wat oud van jaeren,
Hy wilt doch met geweld met Leonora paeren;
Maer Leonor met haer lief, besteken en verraed,
Waerdoor hy met haer meyt treet in den echten staet.
Cette espèce d'opéra-comique, jouée pour la première fois, ainsique la tragédie, assez commune, celle-ci, en Flandre, sont produites sur un ‘grand et magnifique théâtre,’ construit sous les auspices de l'amateur de poésie Louis-Bernard Van Vlierberghe, gouverneur, notaire, maire héréditaire de Stekene, et chef-homme de ‘la noble gilde du saint chevalier Sébastien.’