Eecke.
On joue encore, en plein XVIIe, de Passie, dans l'église.
Des amateurs de rhétorique exhibent, le 8 juillet 1726, dans une auberge, Het leven van de heylighe Godelieve, tragédie.
Les Minnaers van de rym-en-redenkonst, ayant pour emblême de Cassauw, exhibent quatre fois, du 5 au 12 septembre 1756: Kloecke ende lofbaere opcomste van den Coninck David; de overwinninge van den reuse Goliath; den haet ende jalousie van Saul, eersten Koning van Israel, ende desselfs onderganck; met de dood van Koning Isboseth ende de straffe van Rechab en Baane, tragédie nouvellement composée et entremêlée de ballets.
Des représentations s'organisent, au mois d'août 1763, puisque l'imprimeur gantois P. De Goesin, livre, à cette date, trois cents programmes pour les rhétoriciens.
Le même imprimeur en fournit huit cents, le 20 juin 1764, pour la Jongheyd der prochie van Eecke, et sept cents, le 7 juin 1769, pour les amateurs d'Eecke op Landuyt.
La Leersuchtige Jongheyd en iverige beminders van Rethorica, dont l'emblême est: De witte Cassauw (la Marguerite blanche), jouent huit fois, du 31 mai au 4 juillet 1773: Het heyligh Bloed, pièce ornée de danses, et dédiée au comte et à la comtesse de Lichtervelde. Le directeur, on l'a vu, en est François-Tiburce De Groote, qui se dit:
Vendelmaker en componist,
Altyt (?) Synghem niet gemist.
Cette association prend part, en la même année, au concours