Verzen(1894)–Willem Kloos– Auteursrecht onbekend Vorige Volgende [pagina 245] [p. 245] CLX. O ma trop courte et délicate vie, O ma triste âme, que saurais tu dire A celui qui, impudemment de pire En pire, désirerait lui, pour la triste envie De pouvoir être lui, lui seul, l'empire Absolument - non pas, la fausse lie De toute cette trop étrange vie, Vie? Mais non, délicieux délire O L' Imagination, terrible telle, Qu'elle puisse être dans sa forte fougue De voir en soi-même la pure extase D'être une âme durement rebelle, O, mais rebelle à tout ce tas de bougres, Pour qui la mort est une morte phrase. Vorige Volgende